Captain Harlock
Démocratie Participative
05 janvier 2019
La police juive a été humiliée par un Aryen : Christophe Dettinger.
Et cette police hébraïque veut maintenant le crucifier.
Monsieur, vous qui avez frappé un collègue à terre, vous êtes identifié. Pour un boxeur, vous ne respectez apparement pas beaucoup de règles. Nous allons vous apprendre celles du code pénal. @EmmanuelMacron @EPhilippePM @CCastaner @NunezLaurent @DGPNEricMorvan @prefpolice pic.twitter.com/zBNcD9kWMs
— Commissaires Police Nationale SCPN (@ScpnCommissaire) 5 janvier 2019
Je pense que cela résume à peu près tout.
Des flics payés par les juifs pour prendre des coups pleurent comme des femmes quand un homme leur répond comme un homme.
Avec un handicap.
Et la, petite rencontre fortuite avec trois antisemites qui me reconnaissent. Insultes. Réponse par un geste peu classe mais très explicite.
— jean Yves Camus (@jeanYvesCamus1) 5 janvier 2019
Oui, du facho-soralien plus beuglard qu’autre chose. Celui qui m’intéresse, c’est le boxeur à bonnet. Un nom, vite!
— jean Yves Camus (@jeanYvesCamus1) 5 janvier 2019
Tous ces crochus sont tétanisés et veulent bien leur revanche.
Ces si pacifiques et démocrates #GiletsJaunes. Il est temps que ce cirque factieux prenne fin https://t.co/a9H3E2NkOB
— Haziza Frédéric (@frhaz) 5 janvier 2019
Car le youtre carbure au narcissisme et perdre la face est la pire chose qui puisse lui arriver.
Et ils vont faire exactement ce qu’ils ne devraient pas faire : un martyr.
? #SputnikVidéo Un «boxeur» fait reculer des gendarmes lors de l’acte 8 des #Giletsjaunes à Paris #acte5https://t.co/LeT5NvuTNY pic.twitter.com/R9MhUB4e4B
— Sputnik France (@sputnik_fr) 5 janvier 2019
Dans cette époque juive où les sous-hommes sont présentés aux masses comme des modèles, un retour aussi brutal à la réalité est extrêmement dangereux pour le pouvoir sémitique.
Parce qu’il active les réflexes de survie des Blancs et leur transmet ce message simple : le juif ne craint qu’une seule chose et cette chose c’est l’Aryen en colère.
Le juif n’a qu’une solution : les flics.
Toujours et encore les flics.
Et si ces flics n’inspirent plus la peur, leur régime est fini.