Captain Harlock
Démocratie Participative
27 décembre 2019
Les juifs ont le droit de préemption sur toutes les décisions prises au sein des nations blanches.
Les Ukrainiens, gouvernés par le juif Zelensky, en font l’apprentissage.
L’ambassade israélienne en Ukraine a demandé jeudi au Parlement du pays de retirer de sa « Liste de Héros » dix personnes qui ont supervisé des massacres contre les Juifs ou soutenu activement le régime nazi.
L’ambassadeur israélien en Ukraine, Joel Lion, a déposé une requête auprès d’une commission parlementaire spéciale.
« Je suis ravi d’avoir eu l’opportunité de présenter notre position concernant des personnalités ukrainiennes controversées. Nous avons eu une discussion ouverte et authentique », a écrit Lion sur Twitter.
La colonie juive de Palestine a une « position » sur la vie intérieure ukrainienne.
Pour être honnête, la vie intérieure ukrainienne relève effectivement de l’autorité israélienne.
Mais il faut parfois le rappeler au bétail slave qui a des difficultés à comprendre les subtilités du Talmud.
Parmi ces personnalités, figurent des collaborateurs nazis, des commandants de régiments de cosaques qui ont mené des pogroms contre des Juifs, ainsi que des personnalités culturelles qui appelaient à la coopération avec les nazis, a rapporté le site Ynet.
En 2020, l’Ukraine rendra hommage à ses héros nationaux au cours de divers cérémonies et évènements officiels. La requête d’Israël est controversée en Ukraine car la liste des personnes en question comprend des personnalités célèbres et vénérées à travers le pays.
Sur la liste figurent ainsi Andriy Melnyk, qui a été rattaché à des unités militaires qui ont collaboré avec des nazis ; Ulas Samchuk, un auteur proche du régime nazi et Maksym Zalizniak, un commandant cosaque impliqué dans un massacre contre les Juifs à Ouman au 18e siècle.
« Au 18ème siècle ».
Voilà qui permet de méditer sur la très vive mémoire du peuple élu dès lors qu’il s’agit de trouver un prétexte fallacieux pour faire chanter les goyim.
Etonnamment toutefois, ces hébreux sont amnésiques dès qu’il s’agit d’évoquer le rôle criminel joué par les commissaires politiques juifs lors du génocide ukrainien, dans les années 30.
C’est pourtant très documenté.
En fait, les juifs cultivent sciemment cette mémoire sélective.
Les maîtres internationaux du pays exigent depuis des décennies que la mort de 8 millions d’Ukrainiens aux mains de la police politique judéo-communiste d’URSS ne soit jamais comparée au mythe de l’Holocauste.
C’est ce qui se passe toujours avec ces escrocs.