Capitaine Harlock
Démocratie Participative
07 mars 2018
La tyrannie juive, de plus en plus effrayée face à la prise de conscience des masses sur ses agissements, exige un renforcement encore plus brutal de la répression.
Le Monde :
La loi française n’est pas assez efficace face aux propos racistes, antisémites et discriminatoires sur Internet. C’est en tout cas la conviction de cinq associations antiracistes qui ont transmis, à la fin de février, au gouvernement, quatorze propositions de modifications législatives que Le Monde a pu consulter.
Le droit français, héritier d’une directive européenne, donne à de nombreuses plates-formes en ligne, lorsqu’elles se contentent de fournir des outils pour publier des contenus, le statut d’hébergeur. Ces derniers – un site de petites annonces ou un réseau social par exemple – ne sont pas responsables d’éventuels contenus illégaux postés par leurs utilisateurs, sauf lorsqu’ils leur ont été signalés.
Selon SOS-Racisme, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (Licra), L’Union des étudiants juifs de France (UEJF), J’accuse ! et le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), ce cadre « n’est plus adapté pour lutter efficacement contre les contenus à caractère raciste, antisémite, négationniste et discriminatoire ».
L’audace de cette juiverie.
« Cinq associations ». Autant dire que nous parlons de cinq juifs et de leurs avocats, payés par l’argent du prolétariat français.
Et comme par miracle, le journal du banquier juif Pigasse « Le Monde » est gratifié de l’exclusivité de ce très vénérable projet.
La loi actuelle « a montré des qualités, notamment quand on pense qu’elle a été adoptée en 2004 et qu’à l’époque il n’y avait pas de réseaux sociaux. Avec l’apparition de nouveaux usages, l’instantanéité des réseaux sociaux, il y a un besoin de muscler le dispositif pour faire face à l’impact que peuvent avoir les contenus haineux », précise au Monde le président de l’UEJF, Sacha Ghozlan. Même si elles ne souhaitent pas revenir sur le statut d’hébergeur, les associations proposent des mesures qui accroissent nettement les obligations et les sanctions à leur encontre.
Les associations souhaiteraient ainsi les obliger à supprimer tout contenu manifestement illicite et signalé sous quarante-huit heures – la loi prévoit actuellement qu’ils le fassent « promptement » – et « renforcer » les amendes – aujourd’hui jugées peu dissuasives – auxquelles ils s’exposent.
Lorsqu’elles désirent signaler un message litigieux, les associations peinent parfois à identifier un interlocuteur français. Aussi souhaitent-elles que toute entreprise proposant un service en ligne en France désigne un représentant vers lequel pourraient se retourner les associations et les pouvoirs publics. Elles souhaitent également que les peines prévues par le code pénal en matière de racisme, d’antisémitisme notamment, puissent s’appliquer à ce représentant.
Cette dernière exigence doit être traduite plus clairement car ce jargon hébraïque est incompréhensible au plus grand nombre : les juifs exigent un otage par entreprise numérique. Cet otage devra répondre sur sa tête de ce que les Français disent sur le net.
Il lui faut une police politique globale qui garantisse la purge absolue de tout ce qui est publié sur le net.
Si les associations reconnaissent que les grandes plates-formes ont fait des progrès, elles les jugent encore trop passives lors de certaines saisines judiciaires. Elles proposent de les obliger à recueillir davantage « d’éléments d’identification » de leurs utilisateurs à la création de leurs comptes (adresses courriel, noms, etc.) afin de pouvoir lever plus facilement la barrière de l’anonymat.
Les associations souhaitent aussi que puisse être fermé, par un juge, tout compte (profil Facebook, compte YouTube, etc.) diffusant des contenus illégaux si les éléments permettant d’identifier leur auteur sont insuffisants.
Elles veulent aussi alléger la procédure du signalement des contenus illégaux, en passant d’une lettre recommandée à un simple courrier électronique. Elles réclament également qu’un dispositif accessible à tout internaute de signalement des contenus diffamatoires, injurieux et négationnistes soit obligatoire, alors qu’il est actuellement limité, entre autres, à l’apologie de crimes contre l’humanité, à la provocation au terrorisme ou à la pédopornographie. Les associations voudraient en outre que ce mécanisme soit aussi proposé par les moteurs de recherche.
Bref, un système de dénonciation spécifiquement réservé à la police politique juive.
Malgré toutes les lois qui existent pour réprimer sauvagement le peuple français et l’empêcher de dénoncer les agissements de la cinquième colonne juive, cela n’est pas assez.
Pas encore suffisantes les lois Pleven, Fabius-Gayssot, Taubira, Lellouche. Malgré la systématisation de la prison pour ceux qui parlent librement des crimes de cette engeance diabolique, la juiverie ne parvient toujours pas à trouver le sommeil.
« Tant qu’il n’y a pas de réforme, nous serons confrontés à des difficultés gigantesques. Il y a toute une série d’acteurs qui essaient d’améliorer leurs systèmes de régulation, mais aussi beaucoup d’autres qui passent sous le radar et ne sont pas soumis à un cadre clair, ce qui laisse la haine se propager », explique Dominique Sopo, le président de SOS-Racisme. « L’enjeu n’est pas un bouleversement des principes, mais un bouleversement en termes d’efficacité. Ces propositions nous permettraient d’avoir un cadre légal et pratique qui soit plus efficace », veut croire M. Ghozlan.
Sous le radar juif.
Et les juifs, contrôlant désormais totalement l’état, entendent bien que chaque Français devienne un esclave dont on pourra détruire la vie s’il manifeste une opposition quelconque face à la mainmise juive sur la France ou face à leur projet de destruction du pays par submersion raciale.
Loin d’être cosmétiques, ces changements forceraient réseaux sociaux, plates-formes numériques et autres sites Internet à davantage réguler les contenus postés par leurs utilisateurs. Si les associations estiment aujourd’hui que la loi est trop laxiste envers les hébergeurs, renforcer leurs responsabilités risque d’avoir un effet sur des contenus légaux et d’empiéter sur la liberté d’expression. C’est ce qu’il s’est passé en Allemagne où un système d’amende extrêmement dissuasif pèse depuis le 1er janvier sur les réseaux sociaux laissant en ligne un contenu manifestement illégal. Dès les premiers jours de son application, des contenus licites ont été supprimés et le nouveau gouvernement pourrait être contraint de revoir sa copie.
Voilà ce qui arrive quand le juif parvient à infiltrer un état : il en fait l’instrument de sa tyrannie et le retourne contre le peuple qu’il est censé servir. En quelques années, les lois deviennent des lois d’inspiration sémitique, irriguée d’une haine fanatique pour tout ce qui n’est pas juif.
Le juif baisse le masque et s’assume comme le tyran qu’il est.
Si les choses continuent à ce rythme, la France sera d’ici quelques temps un état totalement bolchevisé qui n’aura rien à envier aux pires régimes judéo-communistes.
Le juif, rendu toujours plus frénétique par l’absence d’opposition, se met à nourrir des projets de liquidation toujours plus délirants. Ne doutez pas un instant du fait que si ces juifs le pouvaient, ils feraient arrêter tous leurs opposants pour les faire fusiller, exactement comme en URSS.
Ces monstres ne reculent devant aucune abomination pour asseoir leur pouvoir démoniaque.
L’éducation du peuple sur la menace juive est une nécessité absolue, ce que cherche précisément à empêcher le juif, coûte que coûte.