Le Libre Panzer
Démocratie Participative
29 novembre 2018
Les juifs aiment les Chrétiens
La bête satanique juive a posé de nouvelles exigences qui devraient rapidement trouvé un soutien inconditionnel auprès du serviteur de la synagogue : Jorge Bergoglio.
La Bible et d’autres ouvrages chrétiens devraient inclure des introductions et des notes de bas de page mettant en garde les lecteurs contre « l’antisémitisme » de certains de leurs passages, estime le Congrès juif européen (CJE). Lors d’une conférence organisée le 21 novembre à Vienne en Autriche par le chancelier Sebastian Kurz, le président de l’CJE, Moshe Kantor, a déclaré: « Les communautés juives d’Europe sont de plus en plus préoccupées par leur sécurité et pessimistes pour leur avenir« . Le CJE a présenté un « catalogue de mesures de lutte contre l’antisémitisme » de 150 pages , parmi lesquelles sont mentionnées la Bible et le Coran, rapporte la radio britannique Premier.
Un catalogue de 150 pages listant la totalité des exigences formulées par la juiverie.
Ces gens sont modestes.
Et parmi elles, la réécriture du Nouveau Testament par des rabbins.
Puisque nous en sommes au dialogue interreligieux, je propose que ces youpins commencent par expurger tous leurs livres des innombrables injures dont ils abreuvent le Christ en permanence.
S’ils s’y refusent, ce sera le signe de leur duplicité et une raison suffisante pour les faire tous arrêter, leurs biens saisis et leurs synagogues fermées et transformées en porcheries.
Dans le chapitre « Recommandations concernant les groupes et institutions religieuses », il est écrit: « Les traductions du Nouveau Testament, du Coran et d’autres littératures chrétiennes ou musulmanes ont besoin de gloses marginales (annotations, ndlr) et d’introductions soulignant la continuité avec l’héritage juif du christianisme et mettant en garde les lecteurs contre leurs passages antisémites« . Le texte se poursuit ainsi : « Bien que des efforts aient été faits dans ce sens dans le cas du christianisme, ils doivent être étendus et cohérents dans les deux religions ».
Ce n’est pas assez, goy.
Ce ne sera jamais assez.
Tout ceci et bel et bon, mais il faut également parler argent.
On ne peut décemment pas parler d’antisémitisme et de juifs sans évoquer les milliards que devra débourser le bétail goy pour la sécurité de ses maîtres.
Parmi les autres recommandations présentées à Vienne, la CJE a proposé que « chaque pays s’engage à consacrer chaque année un pourcentage de son PIB à financer la lutte contre l’antisémitisme » et que les entreprises du web soient « tenues responsables du contenu antisémite » sur leurs plateformes.
Un pourcentage du PIB de chaque état de la planète.
On appelle ça un tribut.
Le Larousse le définit comme « ce qu’un peuple, un état était obligé de fournir à un autre dont il était dépendant ».
C’est assez bien résumé.
Extorsion, ça fonctionne aussi :
« Infraction consistant à obtenir la remise de fonds, d’un bien quelconque, ou une signature, un engagement, une renonciation ou la révélation d’un secret, au moyen de violences, menaces ou contrainte. »
C’est une demande assez étonnante compte tenu du fait que la banque juive prélève déjà des milliards de milliards d’euros sur les goyim.
Le Congrès juif européen, basé à Bruxelles, affirme sur son site Internet représenter « 42 communautés juives nationales en Europe, comprenant environ 2,5 millions de Juifs« .
Ces 2,5 millions de juifs exigent donc qu’un milliard de Chrétiens soumettent leurs textes aux tribunaux rabbiniques tandis que toutes les nations blanches d’Europe paieront pour la race de vipères qui se déchaîne chaque jour pour les détruire.
Bien sûr.
Une race innocente, animée par la plus haute moralité, étrangère à toute forme de mal.
A moins que ce ne soit l’inverse.