Captain Harlock
Démocratie Participative
21 novembre 2021
C’est vraiment une Une de L’Equipe, en 2021
Une nouvelle mission pour toi, homme blanc : mourir pour le droit des femmes jaunes à poster des trucs sur les réseaux sociaux.
Alors que l’ancienne N.1 mondiale de tennis semble avoir disparu depuis la publication d’un message accusant Zhang Gaoli, un puissant ex-responsable du Pari communiste chinois, des photos où elle apparaît souriante ont été publiées sur les réseaux sociaux.
Des photos montrant Peng Shuai, souriante, ont fait leur apparition sur les réseaux sociaux, tandis qu’un influent journaliste chinois promet une apparition publique prochaine de la joueuse, au moment où la pression internationale s’accroît sur la Chine pour obtenir des informations.
L’ancienne N.1 mondiale en double, âgée de 35 ans, n’a fait aucune apparition publique depuis un message sur les réseaux sociaux dans lequel elle accuse Zhang Gaoli, un puissant ex-responsable du Parti communiste de 40 ans son aîné, de l’avoir contrainte à un rapport sexuel.
Ces accusations prennent un relief particulier après le mouvement mondial #MeToo, contre les violences faites aux femmes.
Le 2 novembre, un message publié brièvement sur le compte officiel Weibo de la joueuse (équivalent à Twitter en Chine) décrit une relation sentimentale contrariée avec Zhang Gaoli, marié, avant qu’il n’occupe de hautes fonctions.
Zhang Gaoli a été de 2013 à 2018 l’un des sept hommes politiques les plus puissants de Chine. Mais l’affaire ne concerne pas la période pendant laquelle il était à ce poste.
Dans cet écrit attribué à Peng Shuai, la joueuse explique que Zhang Gaoli a repris contact avec elle en 2018 lorsqu’il a pris sa retraite. Un rapport sexuel contraint est évoqué.
Zhang Gaoli, aujourd’hui septuagénaire, n’a pas réagi à ces déclarations.
Il n’est pas clair si le message a été personnellement publié par Peng Shuai.
Le message de la championne a rapidement été effacé mais des captures d’écran ont été faites. Ces dernières ont rapidement été censurées sur l’internet chinois et le sont toujours.
L’accusation portée par Peng Shuai a cependant été publiée sur Twitter – bloqué en Chine – ce qui lui a permis de connaître un écho mondial.
En Chine, le nom Peng Shuai apparaît toujours dans les résultats de recherche sur internet, mais l’affaire ainsi que les recherches associant la joueuse et M. Zhang ne donnent aucun résultat.
Sur Twitter, le hashtag #WhereIsPengShuai a pris de l’ampleur. Les plus grands joueurs de tennis mondiaux l’ont utilisé pour exprimer leur inquiétude à son sujet.
L’ancienne N.1 mondiale Naomi Osaka s’est ainsi dite « choquée par la situation ».
« Honnêtement, c’est choquant qu’elle ait disparu », a également déclaré à la presse le N.1 mondial Novak Djokovic.
L’Américaine Serena Williams s’est dite « bouleversée et choquée ». « Ça doit faire l’objet d’une enquête et nous ne devons pas rester silencieux », écrit l’Américaine sur Twitter.
« J’espère qu’elle sera bientôt retrouvée, parce que l’on ne parle pas ici d’un match de tennis ou d’une compétition, mais on parle de vie humaine », a pour sa part déclaré l’Allemand Alexander Zverev.
L’organisation Amnesty International fait part de sa « profonde préoccupation » en l’absence d’apparition publique de Peng Shuai.
La WTA, qui gère le circuit professionnel féminin de tennis, a appelé à « une enquête approfondie, juste et transparente concernant les accusations de violences sexuelles à l’encontre de Peng Shuai ».
En début de semaine, le patron de la WTA, Steve Simon a dit « avoir reçu confirmation, de plusieurs sources incluant la fédération chinoise, qu’elle est en sécurité et pas menacée physiquement ».
Sollicitée par l’AFP, cette dernière n’a pas souhaité faire de déclarations à ce sujet, tout comme le ministère chinois des Affaires étrangères.
Plusieurs pays dont les États-Unis et la France se sont dit vendredi « préoccupés » par le sort de la joueuse chinoise.
L’ONU a demandé des preuves qu’elle se porte bien.
Dans la foulée, quatre clichés de la championne de tennis sont publiés vendredi par le compte Twitter @shen_shiwei, libellé « média affilié à l’Etat chinois » par le réseau social.
L’AFP n’a pas été en mesure d’établir de manière indépendante à quel moment elles ont été prises.
Une photo montre notamment la joueuse souriante avec un chat dans les bras dans ce qui semble être son domicile.
Le compte Twitter en question – réseau social bloqué en Chine – affirme en anglais que ces photos ont été postées en privé par la joueuse pour souhaiter « bon week-end » à ses contacts.
Hu Xijin, influent rédacteur en chef du quotidien chinois Global Times, affirme avoir confirmation que ces clichés sont « bien des photos actuelles » de Peng Shuai.
« Ces derniers jours, elle est restée chez elle en toute liberté et ne voulait pas être dérangée », affirme-t-il en anglais sur Twitter, précisant que Peng Shuai « se montrera bientôt en public ».
Mercredi, la télévision publique chinoise CGTN avait publié la capture d’écran d’un courriel attribué à Peng Shuai et qu’elle aurait envoyé personnellement à la direction de la WTA.
La chaîne de langue anglaise et destinée au public étranger en dévoile son contenu supposé : les accusations « sont fausses » et Peng Shuai affirme qu’elle « se repose ». « Tout va bien. Merci encore d’avoir pris de mes nouvelles » conclut l’email.
Le contenu du message et son authenticité laissent perplexe Steve Simon.
L’Occident est dans une telle réalité parallèle qu’il en arrive à exiger que le gouvernement chinois se justifie à chaque fois qu’une Chinoise s’absente des réseaux sociaux plus d’une journée.
J’ai du mal à croire que ce soit vrai, mais c’est notre réalité.
Notre pays est profondément attaché au respect des droits de l’homme. La transparence est absolument nécessaire sur les accusations d’agression sexuelle comme la situation de Peng Shuai.
Nous suivons avec attention ce sujet en lien avec les instances du tennis et le Quai d’Orsay— Roxana Maracineanu (@RoxaMaracineanu) November 19, 2021
Les Chinois sont visiblement déstabilisés. Ils ne savent pas exactement ce qu’implique ce concept. D’un côté ils doivent répondre aux accusations délirantes des médias juifs occidentaux, de l’autre ils ne voient pas exactement ce qu’ils sont censés faire quand une femme chinoise ne poste rien sur les réseaux sociaux.
Leur réponse immédiate consiste à envoyer des équipes de babysitteurs sur place pour confirmer que cette femme chinoise est toujours dans les environs.
Evidemment, elle est toujours dans les environs.
Peng Shuai s’est présentée à la cérémonie d’ouverture de la finale d’un match de tennis pour adolescents à Pékin, dimanche matin. Le reporter photo du Global Times, Cui Meng, l’a photographiée sur place.
Peng Shuai showed up at the opening ceremony of a teenager tennis match final in Beijing on Sunday morning. Global Times photo reporter Cui Meng captured her at scene. pic.twitter.com/7wlBcTMgGy
— Hu Xijin 胡锡进 (@HuXijin_GT) November 21, 2021
J’ai acquis deux clips vidéo, qui montrent que Peng Shuai dînait avec son entraîneur et ses amis dans un restaurant. Le contenu des vidéos montre clairement qu’elles ont été tournées le samedi, heure de Pékin.
I acquired two video clips, which show Peng Shuai was having dinner with her coach and friends in a restaurant. The video content clearly shows they are shot on Saturday Beijing time. pic.twitter.com/HxuwB5TfBk
— Hu Xijin 胡锡进 (@HuXijin_GT) November 20, 2021
Je suis d’ailleurs déçu qu’elle soit toujours dans les environs.
Un état a le devoir de contrôler l’activité des femmes sur les réseaux sociaux, faute de quoi elles détruisent l’ordre social. En fait, aucune femme ne devrait pouvoir accéder à un réseau social. C’est justement parce que les autorités chinoises laissent les femmes importer l’insurrection vaginiste occidentale sur leur territoire qu’elles se retrouvent à devoir se justifier en faisant des vidéos de ce genre pour assurer que les femmes chinoises détruisent l’ordre social en toute impunité.
Si le gouvernement chinois ne restreint pas rapidement l’accès des femmes chinoises aux réseaux sociaux, elles feront entrer les juifs.
Les femmes font toujours entrer les juifs.
Quoi qu’il en soit
Je ne sais pas si vous parvenez à mesurer la portée de ce qui se passe. Les relations internationales sont en train d’être redéfinies par l’état hormonal des femmes occidentales et du besoin névrotique de leurs beta orbiters de les calmer. Par comparaison, une course aux armements est un paradigme infiniment plus stable et prévisible que ce paradigme-là.
Une course aux armements est quantifiable parce qu’elle est ancrée dans la réalité. Les lignes peuvent être définies sur des critères objectifs que chacun reconnaît parce qu’on peut les mesurer de la même façon, partout.
Rien de tel avec ce dont nous parlons ici.
Aucun traité ne peut encadrer une crise ovarienne de masse.
La prochaine guerre mondiale n’aura très certainement rien à voir avec une histoire d’armement ou de territoire. Elle démarrera à cause d’une crise d’hystérie de millions de femmes blanches portées au point d’ébullition par les médias juifs. Un ultimatum sera posé par une femme blanche et les Chinois n’auront aucune idée de ce qu’ils devront faire pour garder la situation sous contrôle parce que leur perception de la réalité est encore fondée sur la réalité objective, contrairement à celles qu’ils auront face à eux. Juguler une telle bouffée de folie hormonale sera totalement hors de leur portée.
Le prochain Sarajevo sera une embrouille impliquant des femmes sur un réseau social.
C’est inévitable.
La peur primale des femmes est commandée par leur hypergamie. Rien ne les effraie plus que la perspective d’avoir un enfant avec un mauvais parti génétique. Le viol incarne cette menace existentielle et les juifs le savent pertinemment. Pour mobiliser l’opinion occidentale masculine en faveur d’une guerre contre la Chine, les juifs devraient recourir à des arguments rationnels. Par évidence, il n’y a rien de rationnel en faveur d’une telle guerre, par définition nucléaire, et aucun homme européen ne verrait pourquoi il devrait mourir pour des histoires incompréhensibles qui se passent dans un pays situé à 10,000 kilomètres de chez lui où des gens mangent avec des baguettes. C’est un exercice qui devient superflu dès lors que l’on s’adresse aux femmes. Il suffit de désigner la Chine comme un état dirigé par des violeurs jaunes pour convaincre les femmes occidentales d’entrer en guerre contre ce pays.
Il se trouve que les femmes représentent 50% de la population occidentale et que cela suffit en démocratie puisque l’on y ajoute les homosexuels.
Si vous pensez que ce que je dis est délirant, dites-moi pourquoi tous les médias occidentaux sont soudainement saturés de gros titres à propos d’une femme jaune qui ne poste rien sur les réseaux sociaux depuis quelques jours tandis que des gamines blanches se font violer tous les jours par des gangs de musulmans dans l’indifférence de ces mêmes médias ?
Et surtout, dites-moi pourquoi leurs betas agressent les Chinois ?
C’est là où se situe la société occidentale depuis qu’elle est tombée sous la coupe des femmes et des juifs.
Evidemment, les juifs agissent par cynisme. Ce récent développement médiatique illustre parfaitement les intentions de la juiverie qui s’appuie prioritairement sur la stupidité quasiment illimitée des femmes pour mobiliser l’opinion occidentale contre un état que les juifs veulent abattre.
Dire que les juifs sont particulièrement mal à l’aise avec l’idée de voir un état autoritaire racialement homogène d’un milliard d’hommes anéantir leur projet de tyrannie globale est un euphémisme.
Prenez la LICRA. Officiellement, cette organisation juive s’occupe d’attiser la haine des arabes qu’ils importent en France contre les Français. Subitement, elle se téléporte au beau milieu de l’Asie pour demander des comptes à Pékin.
Les juifs savent que leur règne est menacé à l’intérieur des frontières de leur empire démocratique par les Blancs insurgés, et à l’extérieur par les Chinois.
Ces juifs veulent nous entraîner à toute force dans un conflit mondial contre la Chine dont ils espèrent qu’il empêchera les Chinois de mettre un terme à trois siècles d’impérialisme juif total sur le monde.
Les tyrannies ont besoin d’ombre et de silence pour commettre leurs crimes, alors braquons les projecteurs sur elle et faisons résonner son nom à travers le monde: #OuEstPengShuai#WhereIsPengShuai pic.twitter.com/gaPANUGPZN
— Raphael Glucksmann (@rglucks1) November 19, 2021
Personne n’est obligé d’aimer les Chinois.
Mais personne n’est obligé de faire les guerres des juifs à la place des juifs non plus.
Nous devons systématiquement refuser de mordre aux hameçons que ces juifs disséminent pour nous amener dans leur projet cataclysmique contre la Chine.
Les Chinois font ce qu’ils veulent en Chine, cela ne nous regarde pas. C’est tout ce qu’il y a à savoir. Si ces juifs veulent faire la guerre, notre réponse doit être toujours la même : « Allez-y, nous vous regardons. »
Si Glucksmann et ses congénères se portent personnellement aux premières lignes pour établir leur démocratie en Chine, je serais le premier à réclamer des livraisons d’armes pour défendre Taïwan, libérer les Yaourts ou garantir le droit des instaputes chinoises d’accuser n’importe qui de viol. Mais pas d’excuses : uniquement des poitrines juives sur les plages de Taïwan. Pas même un seul brancardier aryen.
Croyez-moi : si nous imposions systématiquement cette exigence, la soif de guerre d’un Glucksmann se transformerait en un interminable prêche pour la paix. Il se mettrait même au mandarin pour louer la sagesse de Xi Jinping.
Quand une bouche juive se met à cracher sa haine d’une nation à coups d’accusations invérifiables, nous devons systématiquement exiger qu’elle monte personnellement au front, sans intermédiaire. C’est notre meilleure garantie pour empêcher une guerre mondiale.
En attendant ce jour où nous verrons ces juifs médiatiques prendre les armes pour faire eux-mêmes leurs guerres, nous avons d’autres choses bien plus urgentes à régler, à commencer par l’invasion non-blanche que ces mêmes juifs organisent en Europe. Tout ce qui nous détourne de cette priorité absolue doit être violemment rejeté, de préférence avec de virulents slogans antisémites.