Capitaine Harlock
Démocratie Participative
22 janvier 2018
Les juifs ont ourdi un complot contre Macron afin qu’il renonce à virer les quelques rares barbares clandestins qu’il s’était engagé à expulser.
C’est Yann Moix, le laquais du juif Bernard Henri-Lévy, qui est le commis aux basses oeuvres.
Le youpin Christophe Israël, numéro 2 du journal juif Libération, a relayé une « tribune » qui contient une vidéo montrant quelques nègres recevant d’insignifiants jets de gaz lacrymogène. Les images ont censément été prises par Moix.
VIDÉO – «Monsieur le Président,
vous avez instauré à Calais un protocole de la bavure», la lettre ouverte de Yann Moix à @EmmanuelMacron , images à l’appui #Calais https://t.co/UOceuZeMMb via @libe— Christophe Israël (@Christof_Israel) 21 janvier 2018
Toute cette affaire a été sciemment montée en épingle depuis le premier jour. Dès l’origine, il s’agissait de créer une opposition factice gonflée par les médias juifs en attaquant Macron sur la question de l’invasion migratoire de la France.
Bien sûr Macron n’est pas un opposant aux juifs mais les juifs veillent toujours à ce que personne ne glisse ne serait-ce que d’un millimètre du programme arrêté par eux. Avec les juifs, seule la soumission totale est admise. L’Aryen ne peut être qu’un esclave docile ou il doit encourir la colère fanatique tribale.
Moix, qui n’est que la prostituée du levantin Henri-Lévy, avait soigneusement ouvert une pseudo polémique chez Ruquier, le sodomite lui-même inféodé à Henri-Lévy.
La presse juive a ensuite pris le relais en feignant de s’interroger sur ces « accusations » afin de déplacer le débat sur la réalité ou non de ces « mauvais traitements ». Les juifs ont ainsi pris l’initiative en évacuant la question centrale – l’expulsion de quelques clandestins – pour y substituer une manipulation émotionnelle des masses dont ils ont le secret en ouvrant un pseudo débat « moral » sur les « violences policières ».
En créant une fausse polémique, puis en poussant immédiatement leurs médias à deviser sur la moralité de la police, les juifs voulaient imposer un choix simple à Macron : être présenté en monstre devant les foules ou se racheter et se retourner contre la police.
Il s’agit là d’un cas d’école de manipulation et de chantage juifs.
Les juifs, parfaitement conscients de la naïveté et de la générosité naturelles des Aryens, cherchent toujours à exploiter ces deux traits de caractère en les subordonnant à une fiction de moralité créée par eux pour les circonvenir et les neutraliser. C’est en contrôlant l’âme des goyim que ces juifs les encagent, les dominent et en font leurs esclaves volontaires.
Sans ce lavage de cerveau inlassable sur fond de guerre psychologique ouverte – dont le pilier principal est la culpabilisation -, ces youpins ne pourraient pas faire un pas dans les rues d’Europe.
Le juif Attali s’est manifesté sur BFMTV – autre média du juif Drahi avec Libération – pour mettre en scène ce « choix » qu’est le chantage juif précité. C’est exactement en termes pseudo moraux que ce youtre a posé les choses, évoquant le « pourrissement de l’âme » des Français si l’on tentait de virer quelque clandestin du tiers-monde que ce soit.
Ces juifs sont bien sûr les seuls qui pourrissent l’âme des Français en les violant psychologiquement en permanence pour les encourager à se souiller à la moindre occasion. Abaissement qui leur permet de maintenir en leur pouvoir les masses spirituellement diminuées par leur travail de sape incessant.
Ces juifs accusent toujours les autres de ce qu’ils font eux-mêmes, partout et tout le temps.
Macron a plié partiellement en acceptant de rentrer dans ce débat de facture hébraïque. Il a cru se défaire de l’étau en acceptant de poursuivre les policiers qui seraient « coupables » de « violences ».
C’était bien sûr une erreur psychologique élémentaire. Car les juifs, tapis dans l’ombre, attendaient précisément que Macron ne demande des « preuves ».
«J’affirme, monsieur le Président, que des fonctionnaires de la République française frappent, gazent, caillassent, briment, humilient des adolescents». Yann Moix fustige la politique migratoire d’Emmanuel Macron https://t.co/szCUEjDrBa pic.twitter.com/b2izk6gTLD
— Libération (@libe) 21 janvier 2018
Deux clandestins nègres gazés deviennent des victimes d’une entreprise de génocide.
Ne cherchez nulle part ailleurs les magnifiques histoires juives sur d’autres régimes ayant cherché à briser le rôle de ces empoisonneurs.
Notez que nous ne parlons pas d’un quelconque état nationaliste mais bien d’un président centriste ayant compris qu’il fallait, pour de simples besoins de communication, virer quelques centaines de nègres sur les centaines de milliers qui se ruent sur la vieille terre de Gaule chaque année.
Le secret face aux manipulations des juifs consiste à rappeler le degré de bassesse morale de cette engeance. Qu’il s’agisse du prédateur sexuel – incarné par les Weinstein, Strauss-Kahn, Allen ou Polanski -, de l’escroc financier international – représenté par les Madoff et autres -, ou les égorgeurs de sang froid comme les penseurs de l’Opération Plomb Durci.
Personne n’a entendu ces juifs lancer une violente campagne contre le nettoyage racial d’Israël par Netanyahou.
En toutes circonstances, cette race d’escrocs et de destructeurs de culture doit voir ses crimes rappelés aux masses et à quel point elle est prête aux pires bassesses morales pour parvenir à ses fins.
Il n’y a pas de race plus dénuée de scrupules que ces juifs.
Pour parfaire le tout, une fois que le Kahal s’est assuré d’une domination sans partage, il intensifie sa campagne préventive de neutralisation de la résistance indigène en dénonçant avec une virulence redoublée les « persécutions antisémites ».
Plus un pays est dirigé d’une main de fer par les juifs, plus la dénonciation de l’antisémitisme y est fanatique. Non pas que l’antisémitisme y soit encore développé, mais parce qu’ils savent que la victime tentera tôt ou tard de se débattre et de s’ébrouer.
Le persécuteur fait dire, chaque jour, comme il souffre des persécutions, enrôlant de force le bétail goy dans cette ultime perversion.