Captain Harlock
Démocratie Participative
29 Mai 2020
Il y a trois jours, je m’ennuyais à mourir. Mais c’était avant que les noirs ne m’offrent ce qu’ils sont en train de m’offrir : du spectacle.
Je n’en ai pas encore parlé mais Trump est engagé depuis 48 heures dans une confrontation ouverte avec Twitter après avoir classé un de ses tweets comme une « fake news ». Trump, rappelé à l’ordre publiquement devant des dizaines de millions de gens par Twitter à quelques mois de l’élection présidentielle, a réagi en annonçant qu’il allait signé un décret pemettant de poursuivre les plateformes qui censurent le contenu de leurs utilisateurs.
Je n’en ai pas encore parlé parce que j’attendais de voir si Trump brassait de l’air comme d’habitude ou s’il était enfin décidé à faire quelque chose après 4 ans de censure systématique de la parole blanche par les juifs de la Silicon Valley.
Et de fait, Trump a bien signé ce décret.
Je ne vais entrer dans les détails juridiques mais disons que les plateformes digitales sont considérées par la loi américaine comme des distributeurs (neutres) de contenus et non pas des médias à proprement parler. Elles ne sont donc pas responsables légalement du contenu qui est publié par les utilisateurs sur leurs plateformes. En cas de litige, ce sont les utilisateurs qui doivent être assignés en justice.
Avec ce décret, cette dérogation qui protégeait les plateformes digitales est suspendue et peuvent désormais être considérées comme des médias à proprement parler. Elles peuvent donc être poursuivies en justice par des utilisateurs. En l’espèce, comme Twitter, Facebook ou YouTube censurent les contenus, ils peuvent à présent être considérés comme des éditeurs et non plus de simples distributeurs. Or, au terme de la loi américaine, une entreprise privée ne peut pas priver un citoyen américain de ses droits constitutionnels, à commencer par le Premier Amendement qui garantit la liberté de conscience et d’expression.
Trump a donc changé la nature légale des réseaux sociaux aux USA et toute leur politique de censure et de bannissement va entraîner des poursuites à grande échelle par les utilisateurs lésés. Soit ces plateformes décident d’être saignées à blanc financièrement par des millions d’Américains armés de leurs avocats, soit les juifs de la Silicon Valley capitulent et il sera à nouveau possible de diffuser ce que l’on veut sur YouTube, à commencer par des vidéos d’Adolf Hitler.
J’attends d’ailleurs d’avoir plus de détails juridiques pour savoir comment ouvrir des comptes sur toutes ces plateformes américaines qui opèrent aussi en France, ce décret ayant le potentiel de pulvériser la Loi Taïeb/Avia.
C’est dans ce contexte que Twitter vient de partiellement censurer le dernier tweet de Trump sur les violences raciales organisées par l’extrême-gauche et les nègres à Minneapolis.
Le contenu est le suivant :
« Je ne peux pas rester en retrait et regarder ça arriver dans une grande ville américaine, Minneapolis. Un manque total de leadership. Soit le très faible maire de gauche radicale, Jacob Frey, se ressaisit et met la ville sous contrôle, soit j’envoie la Garde nationale et je ferais faire le boulot correctement. Ces voyous déshonorent la mémoire de George Floyd et je ne laisserai pas cela se produire. Je viens de parler au gouverneur Tim Walz et lui ai dit que les militaires sont à fond derrière lui. A la moindre difficulté nous prendrons le contrôle mais, si les pillages commencent, les tirs commencent. Merci ! »
….These THUGS are dishonoring the memory of George Floyd, and I won’t let that happen. Just spoke to Governor Tim Walz and told him that the Military is with him all the way. Any difficulty and we will assume control but, when the looting starts, the shooting starts. Thank you!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) May 29, 2020
Lol.
« Nous avons placé une notice d’intérêt public sur ce Tweet de @realdonaldtrump. »
We have placed a public interest notice on this Tweet from @realdonaldtrump. https://t.co/6RHX56G2zt
— Twitter Comms (@TwitterComms) May 29, 2020
« Ce Tweet viole nos règles concernant la glorification de la violence basées sur le contexte historique de la dernière ligne, son lien avec la violence, et le risque qu’il pourrait inspirer des actions similaires aujourd’hui. »
This Tweet violates our policies regarding the glorification of violence based on the historical context of the last line, its connection to violence, and the risk it could inspire similar actions today. https://t.co/sl4wupRfNH
— Twitter Comms (@TwitterComms) May 29, 2020
« Nous avons pris des mesures pour empêcher que d’autres personnes ne soient incitées à commettre des actes violents, mais nous avons conservé le Tweet sur Twitter parce qu’il est important que le public puisse toujours le voir, étant donné sa pertinence pour les questions d’importance publique en cours. »
We’ve taken action in the interest of preventing others from being inspired to commit violent acts, but have kept the Tweet on Twitter because it is important that the public still be able to see the Tweet given its relevance to ongoing matters of public importance.
— Twitter Comms (@TwitterComms) May 29, 2020
« Comme c’est le cas pour cette notice, les engagements avec le Tweet seront limités. Les personnes pourront le retweeter avec un commentaire, mais ne pourront pas l’aimer, y répondre ou le retweeter. »
As is standard with this notice, engagements with the Tweet will be limited. People will be able to Retweet with Comment, but will not be able to Like, Reply or Retweet it. https://t.co/V3T521zjnj
— Twitter Comms (@TwitterComms) May 29, 2020
Twitter assure que le message de Trump « glorifie la violence » au motif qu’il menace de faire usage de la force pour rétablir l’ordre à Minneapolis.
Je ne sais même comment ces gens peuvent
Enfin si, je sais. Le responsable de la censure des contenus sur Twitter n’est autre que le juif d’extrême-gauche Yoel Roth qui considère que Trump et ses conseillers sont « de vrais Nazis ».
I was banned from Twitter for paraphrasing Ralph Waldo Emerson, but a Twitter executive, responsible for “site integrity,” can tweet this without fear… pic.twitter.com/84xH9jScGP
— James Woods (@RealJamesWoods) May 28, 2020
C’est donc ce juif qui a décrété qu’un commandant en chef des Etats-Unis ne peut pas utiliser la force pour restaurer l’ordre face à des agitateurs marxistes et des nègres qui pillent et incendie une grande ville américaine.
C’est dans la droite ligne de la méthodologie trotskiste : saboter les communications de la direction politique d’un état blanc tandis que des bandes rouges répandent le chaos pour s’emparer du pouvoir.
Ces sales juifs n’ont pas varié d’un millimètre en un siècle. La seule chose qui a changé, c’est le pays. En 1918, c’était en Russie. En 2020, c’est en Amérique.
La bonne nouvelle c’est que Trump va fondre un plomb et Trump n’est jamais aussi imprévisible que lorsqu’il fond un plomb.
Le spectacle s’annonce exaltant.