Captain Harlock
Démocratie Participative
11 mai 2021
Aya Nakamura avant Aya Nakamura
J’attends d’une minute à l’autre la réaction enthousiaste de Marine Le Pen et du Remplacement National.
France 3 :
« Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il n’y a pas assez de femmes au Panthéon, qu’elles ne représentent pas la place des femmes qui devraient y être, et Joséphine Baker a tout pour y être« . Voilà comment commence Laurent Kupferman, à l’initiative de la pétition « Joséphine Baker au Panthéon » . En effet, à l’heure actuelle, seules cinq femmes sont entrées au Panthéon sur quatre-ving Illustres, une paille.
Laurent Kupferman n’est pas seulement juif, c’est aussi un militant maçonnique.
La judéo-maçonnerie étant une « théorie complotiste d’extrême-droite », à l’instar du Grand Remplacement, il ne faut pas extrapoler.
L’ idée a déjà été initiée par l’écrivain et philosophe Régis debray qui, en 2013, en avait soufflé un mot à François Hollande avant d’écrire une tribune dans le Monde « Rien ne serait plus dépaysant, moins hypocrite et narcissique, que de hisser cette Américaine naturalisée en 1937, libertaire et gaulliste, croix de guerre et médaille de la Résistance, au cœur de la nation. Elle est à hauteur d’homme. »
Régis Debray, l’ex-militant marxiste qui a balancé Che Guevara à la CIA, n’a décidément que des envies d’empoisonnement.
Je croyais que ce vieux con était mort depuis des années déjà.
A l’époque il en parle à Brian Bouillon-Baker, fils de Joséphine Baker, qui obtient l’assentiment de tous ses frères et sœurs, pourvu que son corps n’y soit pas transféré. Ainsi, toutes les conditions sont réunies pour une panthéonisation car Joséphine Baker ne s’y est jamais opposée de son vivant, comme elle n’y a jamais pensé. « Elle aurait été très fière mais aurait quand même été surprise, et par modestie aurait dit: Y a d’autres personnes bien plus prioritaires », précise Brian Bouillon-Baker.
Le projet n’aboutit pas sous Hollande, mais les propos d’Emmanuel Macron en janvier au Panthéon ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd. Le fils se souvient. « Le président en a parlé de lui-même au mois de janvier, en parlant de l’intégration d’étrangers en France et en prenant l’exemple de ma mère ».
Aussi quand Laurent Kupferman reprend le flambeau du projet de Régis Debray, à l’aide d’une pétition publique, Brian Bouillon-Baker se réjouit: « L’intérêt c’est de rassembler des artistes, des politiques et des anonymes surtout. Quoi qu’il arrive, ce sera de toute manière une réussite pour célébrer la mémoire de ma mère. »
Joséphine quitte les Etats-Unis quand elle a 18 ans. Elle quitte un pays segmenté, coupé en deux par les lois raciales, et parvient à se faire une place dans les plus grands cabarets de l’hexagone.
En l’espace d’un an, avec sa « revue nègre », la jeune femme noire devient une star et dira de la France, qu’il est un pays où on la regarde normalement et où elle peut se réaliser en tant que femme.
Les années qui suivront seront celles d’un succès retentissant au travers d’autres revues, d’autres spectacles de music-hall, mais également à travers des rôles au cinéma. La carrière de Joséphine Baker était intimement liée au mouvement dit de Renaissance nègre dont elle fut une militante acharnée.
Française depuis 1937, Joséphine n’hésite pas une seconde au début de la guerre et devient lieutenant au 2ème bureau du contre-espionnage dès septembre 1939.
Puis après la bataille de France, elle s’engage le 24 novembre 1940 dans les services secrets de la France libre, en France puis en Afrique du Nord. « Les douaniers lui demandaient des autographes plutôt que de vérifier ce qu’elle transportait comme documents. Elle avait alors dans ses partitions des documents écrits à l’encre sympathique pour aider les alliés » raconte Laurent Kupferman.
Elle organise également des concerts pour financer l’armée de la France Libre, et tente de remonter le morale des troupes avec des représentations.
Ses activités durant la guerre sont telles qu’elle sera gratifiée de la médaille de la Résistance française avec rosette et quelques années plus tard des insignes de chevalier de la Légion d’honneur et la Croix de guerre 1939-1945.
« Maman était profondément reconnaisante à la France d’avoir pu accéder à une certaine notoriété et sutout à une liberté d’opinion. Ça a servi de socle pour promouvoir ce Droit à la différence » évoque Akio Bouillon, fils de Joséphine Baker.
Une négresse antiraciste venue d’Amérique qui s’engage aux côtés des gaullo-communistes pour rétablir la république juive en France, le profil est parfait.
D’autant que son engagement incarne parfaitement une certaine idée hébraïque de la France.
Avec Jo Bouillon, qu’elle épouse en 1947, elle achète le château des Milandes en Dordogne qu’elle loue depuis 1937 et où elle vivra jusqu’en 1969. Elle y accueille douze enfants de toutes origines qu’elle a adoptés et qu’elle appelle sa « tribu arc-en-ciel ».
Le projet juif pour la France ne date pas d’hier.
Et il s’est toujours appuyé sur des subordonnés raciaux.
En 1955, elle amplifie en Europe la vague d’indignation soulevée par le meurtre (dans le comté de Tallahatchie, Mississippi, États-Unis) du jeune afro-américain Emmett Till, suivi de l’acquittement des deux assassins, puis de leurs aveux cyniques après le jugement, une fois assurés de l’impunité. Joséphine Baker est initiée, le 6 mars 1960, au sein de la loge maçonnique « La Nouvelle Jérusalem » de la Grande Loge féminine de France.
En 1964, Joséphine retourne aux États-Unis pour soutenir le mouvement des droits civiques du pasteur Martin Luther King. Elle participe en 1963 à la Marche sur Washington pour l’emploi et la liberté organisée par Martin Luther King, lors de laquelle elle prononce un discours, vêtue de son ancien uniforme de l’armée de guerre et de ses médailles de résistante. À cette époque, elle est engagée depuis un moment dans l’action de la LICA qui deviendra la LICRA en 1979.
Effectivement, c’est une opération des juifs de la LICRA pour occuper le terrain face aux millions d’afro-musulmans qui s’émancipent de plus en plus radicalement de leur tutelle.
Les « racialistes » tant décriés par la droite casher.
« Une femme libre et féministe, mais aussi résistante pendant la 2nde Guerre mondiale et engagée contre le racisme. Sa panthéonisation serait un puissant symbole d’unité nationale, d’émancipation et d’universalisme à la française » @L_Kupferman https://t.co/bgAjjnazBS
— Licra (@_LICRA_) May 8, 2021
Voilà le dernier produit médiatique du fameux « universalisme » hypocrite de ces juifs qui visent à empêcher les autres groupes ethniques de s’affirmer pour ne laisser que la seule juiverie en mesure de défendre ses intérêts raciaux.
Nous pouvons considérer l’affaire comme conclue.
Dans cette France crépusculaire, tout ce que le juif exige, il l’obtient immédiatement.