Captain Harlock
Démocratie Participative
15 novembre 2018
Voilà, les choses se formalisent.
Il y a deux mois, la Commission européenne a publié sa proposition de règlement « censure antiterroriste ». Nous le dénoncions, expliquant que ce projet aura pour effet de détruire l’ensemble du Web décentralisé. Depuis, nous avons rencontré les ministères français en charge du dossier : nos craintes se sont amplifiées.
La France, avec le soutien de l’Allemagne et du Parlement européen, va tout faire pour empêcher un débat démocratique sur ce texte : le gouvernement n’en parle pas dans la presse, veut forcer son adoption urgente et invoque le secret-défense pour empêcher tout débat factuel.
Pourquoi tant de secret ? Probablement parce que ce texte, écrit en collaboration avec Google et Facebook, aura pour effet de soumettre l’ensemble du Web à ces derniers, à qui l’État abandonne tout son rôle de lutte contre les contenus terroristes. La collaboration annoncée lundi par Macron entre l’État et Facebook n’en est que le prémice, aussi sournois que révélateur.
Avant de poursuivre, il faut parler un peu de cette fameuse « Quadrature du Net » et de ses équivalents de la presse spécialisée dans le numérique qui prétendent défendre vos droits sur le net. En braves PNJ, ils ne défendent en fait que ce que les juifs veulent bien qu’ils défendent et ce qu’eux-mêmes veulent défendre.
C’est-à-dire : les juifs, les pédés et les nègres.
Vous avez par exemple ce Guillaume Champeau, fondateur du machin gauchiste Numerama. Ce type fait son beurre sur le thème des libertés numériques. Il vit littéralement de ça. C’est sa carte de visite.
Et bien Guillaume n’a rien dit du plus grand procès en censure numérique de l’histoire française : le nôtre.
Rien.
En fait, c’est juste pour éviter d’avoir à avouer, à la face des gogos qui suivent cette tanche, qu’il soutient totalement la censure juive dans la mesure où ça permet de corriger le marché des idées où les gauchistes sous-performent de manière chronique.
Bon article qui montre bien que la neutralité dont veut se draper (à raison ou par hypocrisie) une plateforme n’est pas viable dans un cadre légal et jurisprudentiel qui autorise trop. Les plateformes en sont conduites, pour être légitimes, à créer du droit et l’appliquer. (…) https://t.co/5kcX77P5g9
— Guillaume Champeau (@gchampeau) 29 octobre 2018
(…) du coup, alors que j’étais plutôt de philosophie américaine sur la liberté d’expression, je suis de plus en plus favorable à la vision européenne plus restrictive. Il nous faut des lois, décidées par et pour les citoyens, qui fixent les bornes. Sinon on privatisera la loi.
— Guillaume Champeau (@gchampeau) 29 octobre 2018
C’est le même Champeau qui vous vend son moteur de recherche Qwant comme le nec plus ultra de la liberté. Sauf que, bien sûr, dès lors que c’est français et créé en France, vous signez pour le droit de veto intégral du gouvernement juif d’occupation. C’est-à-dire son droit souverain à vous censurer.
Par exemple, sur Qwant, democratieparticipative.biz n’existe pas.
Imaginez ça : le site qui associe les termes « démocratie » et « participative » le plus populaire du net francophone n’apparaît nulle part sur ce moteur de recherche censée servir d’alternative aux produits des juifs de Google.
Donc, quand vous entendez des ahuris dire, « Ho ho, nous avons une alternative 100% fronçèse à Google », ils se foutent de vous. Tout ce qui est produit en France est toxique par défaut.
La France est un état soviétique sous contrôle juif. Tout ce qui s’y fait est surveillé a priori. La moindre entreprise qui pourrait gêner le statu quo serait écrasée en quelques mois si elle s’aventurait à promouvoir un système, n’importe lequel, capable de rendre la censure et la surveillance inopérantes.
Toutes ces petites lopettes de la gauche numérique se foutent des libertés : ils veulent simplement pouvoir censurer ceux qu’ils n’aiment pas.
C’est l’impasse judéo-gauchiste par excellence.
Donc, oubliez toutes ces larves qui jouent les héros du net : les héros de la liberté d’expression sur le net, c’est nous, les racistes et les antisémites.
Ces petites fiottes gauchistes ne sont là que pour faire illusion. Pour envoyer les goyim sur une voie de garage qui fait dans le verbiage techniciste.
Pour ce qui concerne les juifs de QdN
La Quadrature du Net est tout sauf un organe réellement indépendant qui lutterait pour que les juifs cessent de réduire chaque jour un peu plus la liberté d’expression des Blancs.
Pour une raison simple : c’est une création juive. Avec des agitateurs comme (((Jérémie Zimmermann))) ou (((Benjamin Sonntag))).
Ce Jérémie Zimmermann pourrait être un rabbin hassidique dans une banlieue de Jérusalem.
Et là encore, c’est le même numéro.
Après des semaines d’une campagne médiatique sans précédent pour permettre la censure de Démocratie Participative par l’Etat sur ordre du pouvoir juif, cette fameuse Quadrature du Net n’a pas une seule fois évoqué le dossier.
Imaginez-vous ça : cette organisation se perd en conjectures sur des détails techniques sans fin au sujet des « libertés sur internet » mais ne voit pas, depuis 6 semaines, l’enchaînement d’articles du Monde, du Figaro, de Libération, de l’AFP, de toute la presse régionale, les reportages israéliens, télés ou radios, au sujet de l’interdiction de Démocratie Participative à la faveur d’un référé. Sur pression de toute la juiverie organisée, CRIF et Licra en tête.
Maintenant, l’article que ces juifs de la QdN ont écrit se base sur des données factuelles sur lesquelles ils n’ont aucune espèce de prise.
La seule chose qu’ils peuvent faire, c’est d’utiliser les mots « Google » et « Facebook » pour ne pas dire « juifs ».
Car Google et Facebook sont des synonymes pour dire juif.
Les frères Page de Google et Zuckerberg ne sont pas exactement des Berrichons catholiques.
D’accord ?
Ok.
Comme nous l’avons dit il y a peu, le programme des juifs de Google pour les Blancs, partout sur cette terre, est assez simple à résumer : l’éradication après la destruction de leurs libertés.
Une fois que nous avons ça à l’esprit, continuons de lire cet article.
Pour rappel, le texte, poussé par la France et l’Allemagne, utilise le prétexte de la lutte contre le terrorisme pour soumettre l’ensemble des hébergeurs (et pas seulement les grandes plateformes) à des obligations extrêmement strictes :
1) Retrait en une heure de contenus qualifiés de terroristes par une autorité nationale (en France, ce sera l’OCLCTIC, le service de la police chargé de la cybercriminalité) ;
2) La mise en place d’un « point de contact » disponible 24h/24 et 7j/7 ;
3) L’instauration de « mesures proactives » pour censurer les contenus avant même leur signalement ; si ces mesures sont jugées insatisfaisantes par les États, ces derniers peuvent imposer des mesures spécifiques telles que la surveillance généralisée de tous les contenus.
D’un point de vue humain, technique et économique, seules les grandes plateformes qui appliquent déjà ces mesures depuis qu’elles collaborent avec les polices européennes seront capables de respecter ces obligations : Google, Facebook et Twitter en tête. Les autres acteurs n’auront d’autres choix que de cesser leur activité d’hébergement ou (moins probable, mais tout aussi grave) de sous-traiter aux géants l’exécution de leurs obligations.
Ce texte consacre l’abandon de pouvoirs régaliens (surveillance et censure) à une poignée d’acteurs privés hégémoniques. Pourtant, la Commission et les États membres, en 146 pages d’analyse d’impact, ne parviennent même pas à expliquer en quoi ces obligations pourraient réellement être efficaces dans la lutte contre le terrorisme.
Une (((poignée d’acteurs hégémoniques))).
Les juifs de Google et de Facebook ont négocié la création d’un intranet chinois avec l’UE.
Ces dernières semaines, nous avons fait le tour des ministères chargés de la rédaction et de la négociation de ce texte au niveau européen. Il en résulte que le gouvernement français, chef de file sur ce dossier, veut convaincre les autres États membres et les institutions de l’Union européenne d’adopter le texte tel qu’il est écrit aujourd’hui, et dans un calendrier très serré (adoption avant les élections européennes de mai 2019) afin d’empêcher tout débat démocratique sur le sujet.
Toutefois, dans la perspective des élections européennes, aucun parti politique du Parlement européen ne semble prêt à combattre la stratégie sécuritaire du gouvernement français, en lien avec l’Allemagne et d’autres États membres. Alors que ce texte semble directement inspiré par les politiques autoritaires mises en place par le gouvernement chinois pour contrôler Internet, Emmanuel Macron et Angela Merkel démontrent que leur « axe humaniste » mis en exergue dans le cadre de la campagne des européennes n’est que pure posture politicienne. Ce projet de règlement est une véritable insulte au projet démocratique européen.
Quand nous avons dit aux ministères que leur texte détruirait l’ensemble du Web décentralisé, ne laissant qu’une poignée de géants en maîtres, on nous a laissé comprendre que, oui, justement, c’était bien le but.
Tranquillement, nos interlocuteurs nous ont expliqué que Google-Youtube et d’autres multinationales numériques avaient convaincu le gouvernement que la radicalisation terroriste était facilitée par les petites et moyennes plateformes, et qu’il fallait donc laisser la régulation du Web aux seuls géants prétendument capables de la gérer. Où sont les preuves de cette radicalisation plus facile en dehors de leurs plateformes ? Nulle part. Sans aucune honte, le gouvernement s’est même permis de sortir l’argument du secret défense, complètement hors sujet, pour masquer son manque de preuve et afficher son irrespect de toute idée de débat démocratique. C’est comme ça : Google l’a dit, ne discutez pas.
Que ce soit clair : les arguments de Google et de Facebook visent simplement à détruire leurs concurrents. De fait, ce texte vise à faire disparaître les petites et moyennes plateformes, et à sous-traiter aux géants une censure massive et automatisée.
Dans ce dossier, la menace terroriste est instrumentalisée pour transformer le Web en GAFAMinitel, pour acter la fusion de l’État et des géants du Net, et ainsi consacrer la surveillance généralisée et la censure automatisée de nos échanges en ligne. Tout ça pour quoi ? Pour lutter contre une auto-radicalisation fantasmée dont la preuve serait secret-défense (la bonne affaire !), et alors que les enquêtes sérieuses sur la question montrent que les terroristes ne se sont pas radicalisés sur Internet.
Les juifs veulent l’abolition de la liberté d’expression des Blancs, partout.
Vous avez tous ces idiots de la droite pro-juive qui pensent qu’ils seront exemptés de censure parce qu’ils se taisent sur le cas de Démocratie Participative. Rassurez-vous : après le référé du 27 novembre contre DP et le projet de loi de 2019 rédigé par les juifs, en plus de cet intranet mis en place par les juifs de Google et Facebook, ils y passeront également.
Ils se mettront à pleurnicher, mais ce sera trop tard : la presse juive ne parlera pas d’eux. Elle aura concentré tous ses efforts contre nous et, une fois la légalisation de la censure obtenue, les autres suivront dans l’indifférence des plumitifs du système.
Vous aurez tous ces idiots de la droite réactionnaire qui se mettront à geindre et personne ne fera même attention à ce qu’ils disent.
« Mais on veut pas passer pour des neon-nazis, tu comprends »
Tous les hébergeurs vont être soumis à une pression massive de la part de l’UE : ils ne pourront plus opérer dans l’Union Européenne s’ils ne se conforment pas à la censure juive.
Ce que Macron appelle (((l’internet humaniste))).
Quand vous entendez ce mot, « humaniste », c’est comme pour Google ou Facebook : c’est un euphémisme pour dire juif.
Quoi qu’il en soit, tout va progressivement tomber. Tout.
Soit vous produirez du contenu homologué par les juifs, soit vous disparaîtrez. Les sites qui resteront debout seront tellement édulcorés que personne ne fera la différence entre eux et le journal juif Le Figaro du gang hébraïque Dassault.
La transgression offerte par ces sites consistera à vendre de la Jeanne Dark mulâtre, du youpin hyper patriote et la dénonciation des salafistes homophobes qui persécutent nos arabes homosexuels.
Donc, soyez prêts
Cela va obliger à passer à passer vers un nouvel internet.
Nous sommes, à Démocratie Participative, le seul site d’information francophone situé sur le Dark Web. Et nos lecteurs financent leur site en crypto-monnaies.
Nous sommes, en résumé, des pionniers.
Apprenez à utiliser les outils de lutte contre la censure : navigateur Brave, VPN+TOR, etc..
Vous allez devoir apprendre à aller chercher le contenu que vous voulez car ce que vous laisseront les juifs en clair sera insignifiant.
N’allez pas croire cependant que c’est une défaite : c’est une victoire stratégique énorme. Sans cette paranoïa que nous contribuons à alimenter, le gouvernement français contrôlé par les juifs ne ferait pas pression pour mettre en place cet intranet aussi vite.
Or, ce truc va coûter des centaines de millions d’euros à mettre en place et à entretenir, pour ne rien dire du coût politique exorbitant qu’il représente. Car la censure a toujours un coût politique gigantesque qui dépasse de beaucoup les bénéfices momentanés qu’elle peut apporter.