Captain Harlock
Démocratie Participative
22 novembre 2018
#JournalistesEnnemisDuPeuple
Les terroristes de la presse juive sont désormais ceux qui doivent goûter à la terreur.
La terreur populaire.
Les youpins de France Info ont produit un article particulièrement long sur la terreur qui prévaut dans les rangs de la (((presse menteuse))).
Insultes, accusations de censure, humiliations, menaces… Depuis le début de la mobilisation des « gilets jaunes », le 17 novembre, de nombreux journalistes présents sur le terrain ont été victimes d’agressions physiques ou verbales de la part de certains manifestants. « Une situation qui ne peut plus durer », estime Gwen Saulnier, journaliste pigiste depuis vingt ans. Dimanche soir, « fatiguée » face aux nombreux témoignages de violences subies par ses collègues, elle décide de réagir. « D’un coup, je me suis rendu compte que je n’en pouvais plus. Que ces actes de violence gratuite envers les journalistes n’étaient plus possibles. »
Il semble que ces actes soient possibles puisqu’ils ont lieu.
Il semble également que ce ne sont pas les bourgeois gauchistes sortis des écoles de (((journalisme))) qui pourront empêcher des millions de gens de les haïr.
Sous le pseudo « Paulette la pigiste », elle appelle ses confrères à témoigner des agressions dont ils ont été victimes durant les manifestations des « gilets jaunes » ou lors d’autres événements. Le but ? « Mettre en lumière ces agressions, et créer un dialogue avec ceux qui ne nous font plus confiance », détaille à franceinfo la journaliste. Quelques jours seulement après sa création, le groupe Facebook regroupe déjà plus de 2 000 membres, et des dizaines de témoignages y ont été publiés. « On veut dire stop. On ne peut plus se faire cracher dessus, taper, recevoir des œufs… se désole-t-elle. C’est quoi la prochaine étape ? On se fait tabasser ? On se fait tuer ? »
Oui.
Je pense effectivement que la population va se mettre à exécuter des journalistes. C’est l’issue la plus probable.
Ils pourraient bien sûr s’excuser d’avoir pendant tant de décennies mener des opérations terroristes contre les populations pour légitimer l’invasion afro-maghrébine au profit du gouvernement juif d’occupation, mais cela n’arrivera pas.
Parce que ces petites frappes issues de la bourgeoisie de gauche se croient investies d’une mission : civiliser, par la mélanine, le prolétariat blanc qui refuse de crever.
Gwen Saulnier explique « avoir eu le déclic dimanche soir », après avoir entendu le témoignage d’une de ses consœurs, Céline Durchon. Cette pigiste de 26 ans, qui travaille notamment pour BFMTV et M6, a été violemment prise à partie lors d’une manifestation des « gilets jaunes » à Montpellier. « Classique, la rédac m’appelle vers midi pour réaliser un portrait croisé de ces ‘gilets jaunes’, détaille la jeune femme à franceinfo. Mais, dès que je suis arrivée, je me suis retrouvée dans une ambiance extrêmement tendue. »
Alors qu’elle se rend sur un blocage filtrant tenu par les manifestants, Céline Durchon est interpellée par un manifestant. « Il m’a vue, et m’a littéralement hurlé dessus, à 20 centimètres de mon visage. ‘Menteurs, vendus, corrompus !’ Il aboyait sur moi », témoigne-t-elle. Refroidie, elle se dirige tout de même vers les autres manifestants, « un groupe de 100 à 200 personnes ». « Et là, ils m’ont encerclée en me criant dessus, comme un enfant harcelé à l’école primaire. ‘Menteurs, vous appartenez au pouvoir, vous censurez, vous êtes à la botte de Macron !' »
Ce n’est qu’un aperçu.
Ces terroristes de la presse juive sont finis. Parce que l’internet a totalement redistribué les cartes de l’information et que ces gens, comme les mineurs dans les années 80, sont obsolètes.
La seule chose qui fasse encore tenir debout ces médias juifs, ce sont les capitaux juifs. Les journalistes sont comme les djihadistes de Syrie : les terroristes indispensables aux opérations de subversion juives.
Mais tout a radicalement changé.
Vous avez ces grandes entreprises pyramidales qui tentent de conserver le contrôle de la narration face à un système d’information décentralisée où d’innombrables partisans contre-attaquent partout et tout le temps.
La seule réponse qu’un système aussi lourd peut apporter, c’est la censure généralisée qui a pour effet de radicaliser encore plus les masses.
La jeune pigiste tente d’expliquer son métier, rien n’y fait. « J’ai reçu plusieurs crachats, une dame a failli faire tomber ma caméra… » Au bout d’un moment, l’organisateur de la manifestation exfiltre Céline Durchon de la foule, s’excuse et la défend auprès de ses camarades. « C’est seulement à cet instant que certains ‘gilets jaunes’ sont venus me parler, m’expliquer que ce n’était pas contre moi, mais contre ce que je représentais, souffle Céline Durchon. Je suis finalement rentrée chez moi lessivée de stress, de fatigue. »
Crachez à la gueule des journalistes : oui.
Si vous avez la crève, gardez quelques glaviots pour le premier de ces terroristes venus.
Céline Durchon est loin d’être un cas isolé. Sur la page Facebook #Payetoiunjournaliste, les témoignages s’enchaînent, rapportant des menaces ou des insultes entendues sur le terrain : « Se faire traiter ‘d’enculé’ par un ‘gilet jaune’, ça c’est fait » ; « De toute façon t’es journaliste, t’es pas humaine ! » ; « Si on croise un journaliste, on lui met la misère. On y va franco. Tous les coups sont permis. »
Une ambiance délétère qu’a dû affronter Stéphanie Roque, journaliste pour LCI, lors de la manifestation des « gilets jaunes » du 17 novembre, à Paris. Envoyées sur la place de la Concorde avec une de ses collègues, elles ont été « prises à partie, insultées, traitées de menteuses, de collabos, de médias corrompus… Impossible de faire un duplex », raconte-t-elle, déplorant un climat « qui empêche parfois de faire son métier correctement. Et s’il n’y a plus de journalistes, il n’y a plus de démocratie. »
Effectivement. Quand nous aurons détruit la presse juive, la tyrannie juive qu’est la démocratie bancaire aura disparue.
Et les juifs avec.
Une violence qu’elle subit de nouveau le lendemain, lors d’un reportage. « J’étais envoyée dans un gros rassemblement en Normandie, et là, quelques dizaines d’excités nous traitent (ma JRI et moi) de ‘salopes’ et de ‘youpins macronistes’, confie-t-elle à franceinfo. Maintenant, je vous avoue qu’on ne va plus vraiment sur ce genre de manif la fleur au fusil et le sourire aux lèvres. »
« Youpins macronistes ».
OUI.
Exactement.
C’est le terme.
Les youpins macronistes de la presse terroriste juive.
« A la suite de ces attaques, la rédaction a dépêché sur place des agents de sécurité, pour qu’on puisse continuer à travailler », déplore Stéphanie Roque, qui précise avoir déjà bénéficié de ce type de dispositif, notamment lors de certaines manifestations. « Mais là, c’était différent. Ça se justifiait pleinement. Je sentais qu’ils étaient nécessaires », souffle-t-elle.
« D’habitude, on mythonnait, mais là, oui, c’est vrai, le peuple veut vraiment notre peau, ils veulent nous assassiner ».
Kek.
Mais certains n’ont pas eu cette chance. Sur le groupe #Payetoiunjournaliste, « Paulette la pigiste » a diffusé le communiqué de presse de Radio Bip, un média indépendant et associatif, dont un des photographes a été brutalement agressé lors d’une manifestation à Besançon (Doubs). « Mon collègue et moi étions présents à une mobilisation près d’une route départementale, qui se passait très bien dans l’ensemble, témoigne auprès de franceinfo Emma Audrey, la consœur du journaliste agressé, qui ne souhaite pas témoigner. Mais un petit groupe bizarre, qui m’avait déjà interpellée en insistant sur mes origines, a commencé à tourner autour de mon collègue. D’un coup, ils ont commencé à l’insulter violemment, avec des injures racistes. Puis l’un d’eux lui a foncé dessus et lui a asséné deux coups d’une extrême violence au visage, qui lui ont cassé l’os zygomatique. »
HAINE RACIALE
A
I
N
E
R
A
C
I
A
L
E
OUI !
La tempête se lève.
Le photographe (bénévole), originaire du Laos, réfugié et établi en France depuis trente ans, est « traumatisé », selon sa collègue. « Il a porté plainte, et il bénéficie d’un suivi psychologique. » Pour Emma Audrey, la diffusion de ce témoignage sur les réseaux sociaux est « essentielle » : « Nous voulions informer, puisqu’après tout c’est notre métier. Les gens peuvent avoir quelque chose contre un média, contre une ligne éditoriale. Mais de quel droit se permettent-ils d’agresser les journalistes sur le terrain ? »
HA HA HA HA !
« Suivi psychologique ».
Allez, Ching Chong, retourne au Laos noircir du papier.
Sur le groupe Facebook #Payetonjournaliste, les témoignages de reporters affluent, mais pas seulement. La page est ouverte à n’importe quel citoyen, même si les administrateurs précisent que « les propos injurieux et haineux ne sont pas tolérés ». « Nous tentons de répondre à un mal-être réel, de la part des journalistes, mais aussi des citoyens, souligne Coralie Pierre, l’une des fondatrices du mouvement, à franceinfo. Nous ne voulons pas que ce soit juste un constat, un ‘mur’ où chacun peut poser sa complainte. Nous voulons ouvrir cette discussion à tout le monde, créer une pédagogie, recréer du lien. »
Non.
Nous allons recréer une ligne.
De chemin de fer.
Pour les faire bosser parce que, comme dit l’adage, « le travail rend libre ».
Les journalistes interrogés par franceinfo sont en effet unanimes : sur le terrain, les insultes et les menaces sont de plus en plus régulières ces derniers mois. « Il ne faut pas se leurrer, s’il y a tant de défiance, c’est qu’il y a une raison, soulève Gwen Saulnier. Le dialogue est rompu depuis trop longtemps. Il faut rappeler aux gens que l’essence même de notre métier est de les écouter, en toute objectivité, et ce groupe peut mettre en lumière cette bonne volonté de notre part. »
Ces traînées arrogantes sont prises entre le marteau et l’enclume. Le marteau des ordres que leur donnent leurs maîtres juifs et l’enclume populaire de plus en plus gagnée par la juste colère aryenne.
La haine est notre carburant.
Et ce carburant va nous amener très loin.
Quant à ces terroristes de la presse juive, qu’ils sachent que la patience populaire à des limites.
Désormais, dès que le cas des journalistes arrive sur la table – réseaux sociaux ou IRL -, utilisez l’expression : #JournalistesEnnemisDuPeuple.