Andre Du Pole
Minds
27 février 2020
Les anglo-saxons ont un concept intéressant : Repeated Social Defeat.
« En termes très simples, la ‘défaite sociale répétée’ survient lorsqu’un animal (ou un humain) est placé, de façon répétée, dans des situations d’échec inévitable. Deux rats de laboratoire sont placés dans une cage et sont en compétition pour la nourriture et d’autres récompenses. Si les scientifiques truquent le jeu de manière à ce que l’un des deux rats soit beaucoup plus récompensé que l’autre, l’autre rat, celui qui perd le jeu truqué, devient anxieux, développe une inflammation du cerveau due au stress de la défaite, et une dépression nerveuse résistante aux traitements antidépresseurs (cité par John Davis, « Family Court Reform, Suicide, and Repeated Social Defeat for Men », 2019)
Autrement dit, de l’ingénierie sociale.
L’article cité ici (vu dans les publications sponsorisées Minds) parle du système d’affaires familiales en Australie. Il évoque entre autres la misandrie qui est une politique quasiment officielle de ces tribunaux, avec des pères systématiquement séparés de leurs enfants, toujours suspects de mauvais traitements même quand c’est madame qui est partie faire la pute entre koupines, condamnés à payer de lourdes pensions alimentaires (exploitation) tout en se faisant cracher dessus (humiliation)…
Les affaires familiales telles qu’on les connaît aujourd’hui ont vu le jour dans les années 60. Elles sont arrivées en même temps que les boomers, la destruction de la famille comme institution, la glorification du divorce et l’épidémie de divorces qui a lieu depuis. Les affaires familiales sont les tribunaux en charge de ces divorces si nombreux lorsqu’il y a des enfants au milieu. Elles sont l’application d’une idée féministe, faire intervenir l’État dans les familles (Susan Moller Okin…) pour tout dissoudre, abolir l’identité et la place de chacun, en particulier les pères de famille. Dans la plupart des cas, les affaires familiales sont une machine à broyer les hommes. Ces tribunaux démolissent ce qui reste du foyer à coups de marteau et humilient l’un des deux parents, en général le père, devant le gosse.
Le taux de suicide est plus élevé chez les pères divorcés que dans la moyenne de la population… et les fils de divorcés ont 3x plus souvent des idées suicidaires !
Dès le début de la manosphere anglo-saxonne, le MRA regroupait beaucoup de pères divorcés privés de leurs enfants, de leur honneur, humiliés à répétition par ces cours de justice toutes-puissantes. Ces hommes étaient plus âgés que les PUA.
Si c’est vrai pour les affaires familiales, et le sujet a été creusé par des pères de famille/MRA qui se sont concentrés dessus, c’est aussi vrai dans plein d’autres domaines.
Toute la politique des juifs et des boomers vise à faire vivre au jeune Blanc la défaite sociale répétée.
• Être mis de côté parce que « discrimination positive » et coolitude médiatique des Autres 24/7 : check.
• Se faire bolosser par des barbares qui tiennent la rue, les écoles, les prisons impunément : check.
• Avoir son forum, le 15-18, puis le 18-25, insulté et traîné dans la boue par les médias officiels pendant que Morsay (pour ceux qui se souviennent…) passe tranquillou en reportage sur M6 comme « entrepreneur » : check.
• Des diplômes qui ne valent rien : check.
• Des recruteuses qui te traitent comme une merde : check.
• Grande périphérisation pour ceux qui vivent loin en banlieue, la ville même étant l’apanage des bobos et sa proche banlieue celui des boucaques, avec l’humiliation du RER au milieu des boucaques tous les jours et devoir rentrer tôt des soirées pendant que jean-bobo et mamadou peuvent serrer : check.
• Incellisation, les blanches autour de toi étant des PAN, des « trop chère pour toi », des moches ou des sorcières manipulatrices qui collectionnent les beta orbiteurs : check.
• Des parents boomers qui soit ont eux-même raté leur vie et vécu le déclassement, soit ont réussi à se maintenir, et dans le second cas ils ne te prennent jamais au sérieux : check.
• Des films, séries, pubs… où le « mâle blanc » est toujours plus un idiot, un antagoniste, une pédale ou un soumis, tandis que Mamadou est présenté comme viril, sage, et baisant la Blanche à la fin.
Je vais m’arrêter là, parce que faire une liste un peu exhaustive serait blackpill.
Mais sachez-le, tout ça est fait exprès.
Le déclassement, l’humiliation du Blanc est une politique de l’État profond et des juifs.
Les boomers y collaborent du moment que le Blanc mené au génocide est jeune et que les vieux peuvent conserver leurs privilèges. Ces boomers qui nient la réalité quand il s’agit de ce qu’on vit, ou pire, nous rendent responsables de l’enfer dans lequel ils nous ont jeté, deviennent tout d’un coup très réalistes et très tribalistes vieux lorsque Macron parle d’augmenter la CSG de quelques dizaines d’euros par an.
Humilier quelqu’un à répétition est une manière de pousser au suicide. Ça déprime, ça stérilise, ça affaiblit. Ceux qui vivent ça ont moins de testostérone, moins d’allant, moins d’énergie, une attitude de lose. Cette attitude existe parmi les jeunes parce qu’on nous a élevés pour ça.
On t’a conditionné à être soit un suiveur, un employé, quelqu’un qui s’assimile à un groupe ou tendance existante (cela peut être l’islam, le veganisme, le hipstérisme, une entreprise, peu importe), soit un être isolé qui crève à petit feu.
La France produit des névropathes parce que la défaite sociale répétée que les juifs nous infligent au quotidien via leurs proxys ne peut que rendre névropathe.
C’est pour cela qu’il faut réussir sa vie professionnelle, quitter la France, voire l’Europe de l’Ouest, et go muscu/manger sainement.
Le sport et l’alimentation saine donnent de la force, de l’énergie, mais ne suffisent pas à s’en sortir. Être esclave au quotidien créée une mentalité d’esclave. Que ce soit dans une « communauté » de cassos, à la fac ou en entreprise. Et c’est pour ça que les juifs tiennent à taxer le petit Blanc et à engeôler le Pick Up Artist : si on échappe à l’impôt usurier, on peut croître économiquement, si on a le courage d’aborder on sort de la peur de l’échec et on ouvre un chemin, aussi ténu soit-il, vers la réussite.
Que les défaites sociales répétées infligées par nos ennemis créent non des Blancs esclaves, mais des Blancs déterminés assoiffés de gloire et de justice.