Captain Harlock
Démocratie Participative
17 novembre 2019
Le narco de la Pachamama Morales a légalement érigé la cocaïne au rang de dieu de la Bolivie, divinité officiellement reconnue par le Pape de Satan Bergoglio
Les troupes indiennes du grand sachem et dealer de coke Evo Morales se font sérieusement étrillées par la police bolivienne et c’est vraiment beau à voir.
Cinq de ces sous-hommes ont été abattus après avoir semé l’anarchie dans les rues de Cochabamba, la capitale des indigènes producteurs de cocaïne de Bolivie d’où vient Morales.
#Bolivie : la police ouvre le feu sur des partisans de Morales. 5 morts pour l’instant. En hommage au chroniqueur de LCI qui a acclamé le coup d’état https://t.co/zCehbrVrhJ
— Paul Moreira (@PaulMoreiraPLTV) November 15, 2019
Maduro a envoyé des hommes à lui soutenir les troupes de Morales.
Un fonctionnaire des services vénézuéliens d’intelligence « SEBIN », a été arrêté alors qu’il faisait parti des affrontements qui ont eu lieu à Sacaba (à côté de Cochabamba) le 15/11/2019. #Bolivie #Bolivia ?? pic.twitter.com/AKSZlMCq5U
— Hugo ?? (@ElCochabambino) November 16, 2019
Il était temps d’en finir avec ce chamane marxiste.
C’est exactement ce qui se passe. La nouvelle présidente veut le voir dans une cage.
J’aurais aimé qu’ils prennent une présidente mieux foutue.
Une sorte de Lara Croft latina par exemple.
Mais je digresse.
Ces narcos redoutent le retour de la DEA américaine dans la région. Pour la vermine communiste indigène, c’est une potentielle réduction de ses moyens de financement.
En représailles, elle annonce vouloir sacrifier des gens.
Les peuples indigènes de #Bolivie, principales victimes annoncées du coup de force antidémocratique de la droite contre #EvoMorales se préparent à reprendre le chemin de la guérilla.
Ils se déclarent en guerre civile.
Le sang va encore couler…#Bolivia pic.twitter.com/3brzNaSDLC— Marcel Aiphan (@AiphanMarcel) November 13, 2019
En Bolivie, à Cochabamba l’armée et la police doit faire face aux groupes narcos armés aidés des paysans cultivateurs de coca. #Bolivie #Bolivia #BoliviaLibre ?? pic.twitter.com/RwraWJBdv2
— Hugo ?? (@ElCochabambino) November 16, 2019
Vous entendez les rouges dénoncer « un coup d’état fasciste », mais la bande de Morales est l’équivalente du Sentier Lumineux : un groupe communiste dont 90% de l’activité consiste à écouler de la dope dans le monde occidental.
Morales avait fait passer une nouvelle constitution en 2009 limitant à deux mandats l’exercice de la présidence. Évidemment, l’indien est devenu gourmand et s’est illégalement présenté en 2016 puis encore cette année.
La deuxième fois de trop, ce que les rouges se gardent de dire.
Un maire du MAS (parti de Morales), William Cervantes, admet qu’il y’a eu des fraudes électorales et c’est pour ça qu’il a rejoint le mouvement de protestation du 20 octobre. #Boliviehttps://t.co/GBAUWpyVxY
— Dante Ibrahim Matta (@IbrahMatta) November 15, 2019
Ce n’est pas que je crois en la démocratie mais pour débunker les mensonges délirants de la pourriture communiste jusque chez nous.
Les racistes de Bolivie prennent le pouvoir – Nouvelle note de blog à découvrir et partager. https://t.co/E1QtnGZgst
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) November 12, 2019
Je suis déçu cependant que l’adorateur du dieu de la coke Morales n’est pas été arrêté, écorché vif, éviscéré puis empaillé.
J’aurais tellement aimé que son crâne serve de calice pour célébrer l’extermination des démons marron des Andes.