Les Glières : la reine noire Assa Traoré va privatiser les cérémonies de la résistance, la droite antiraciste hurle au racisme

Captain Harlock
Démmocratie Participative
17 mai 2021

La propriété intellectuelle est décidément malmenée en France. Les bonzes antifas du résistantialisme se font dévaliser par la diversité intersectionnelle.

Assa Traoré est invitée par une association marxiste au plateau des Glières, un endroit où des pinpins gaullistes et des espagnols rouges s’étaient faits pulvériser par la Wehrmacht en 1944.

Toute la droite réactionnaire hurle au racisme – littéralement.

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Alors que la guerre n’a pas encore trouvé son issue, le 5 décembre 1944, Charles de Gaulle se recueille devant 80 tombes surmontées d’une simple croix de bois blanc. Ces tombes, sobres, sont celles des résistants tombés lors des combats du plateau des Glières. Un rituel est né : les présidents de la République sont nombreux, de François Mitterrand à Emmanuel Macron, à être venus se prosterner devant le mémorial des Glières ou la nécropole de Morette. Il s’agit d’honorer la bravoure des résistants et de se rappeler que nous sommes tributaires de leur sacrifice. Il s’agit surtout de renouer avec cette période, terrible et controversée, en réaffirmant un récit national tel qu’insufflé par Charles de Gaulle.

La symbolique du lieu est forte : ici, des Français ont dit non à la destruction de leur patrie et à la barbarie nazie. Ici, des Français ont décidé de mener un combat perdu d’avance, parce que la défaite dans l’honneur leur était préférable à la paix dans la honte. Ici, la résistance française a forgé et éprouvé sa devise, son cri de ralliement : « Vivre libre ou mourir. »

Pour couper court à cet exercice de mythomanie, personne n’a résisté en France. Le pays était ultra-majoritairement derrière le Maréchal Pétain, absolument excédé par 4 années de bombardements de terreur sur les villes françaises qui firent 75,000 victimes civiles dont le régime républicain ne parle jamais.

Les Alliés l’ont constaté et reconnu : les Français n’ont jamais voulu être « libérés ».

Même ce vieux juif de Hessel le répétait à qui voulait l’entendre.

En août 1944, les Français se sont donc retrouvés « libérés » au milieu des ruines, sans avoir rien demandé à personne, leur pays anéanti par l’aviation anglo-américaine.

Immédiatement, un putsch extrêmement sanglant mené par les gaullistes et les communistes aboutissait à la restauration du régime républicain sous lequel nous agonisons depuis.

Dès 1940, De Gaulle s’était engagé auprès de la juiverie new-yorkaise de rétablir la main complète des juifs sur le pays.

Ce qui fut fait, comme on sait.

La « Résistance », ce ne fût que ça : un putsch juif sanglant pour rétablir le pouvoir juif que les Allemands avaient ébranlé. Pour se venger, les juifs organisèrent l’invasion de la France par des millions et des millions de migrants de couleur.

Depuis, chaque année, les juifs et leurs serviteurs organisent une sauterie pour fêter Pourim.

Nicolas Sarkozy fera du plateau un pèlerinage annuel, donnant lieu à la tenue de contre-événements de protestation. L’association organisatrice s’engouffre dans la brèche en condamnant pêle-mêle « la fabrique des garçons » et les contrôles au faciès, à grands coups de communiqués de presse illustrés de poings levés. L’édition 2021 annonce la venue de la « militante antiraciste » (sic) Assa Traoré. Le thème de ce rassemblement ? « Parole de résistance »…

Hasard des destins, la promotion 2021 de l’Ecole Spéciale Militaire de Saint-Cyr porte le nom de Capitaine Anjot, lui-même ancien élève de l’école, chef du maquis succédant à Tom Morel et mort au combat le 27 mars 1944. Il y a quelques jours, la promotion est venue célébrer l’armistice du 8 mai dans les montagnes de Haute-Savoie. Parmi ces jeunes soldats engagés sous les armes de la France figurent plusieurs aspirants issus de l’immigration. Quel triste spectacle que de voir succéder, à ceux qui mettent leur diversité au service de la Nation, ceux qui veulent mettre la société tout entière au service de leur prétendue diversité.

Ils ragent parce qu’ils veulent des nègres dociles !

Des tirailleurs sénégalais.

Ce qu’Assa Traoré n’est pas.

Pour rappel, Assa Traoré n’hésite ainsi pas à affirmer que « tous les jeunes des quartiers populaires peuvent potentiellement mourir entre les mains de la police », que « les hommes noirs et arabes ne sont pas en sécurité en France » en exhortant la France à « reconnaitre le crime contre l’humanité qu’ont subi [ses] parents et [ses] aïeux » et à « déconstruire » son histoire faite « de violences policières » et « de racisme systémique ». Une souffrance personnelle peut conduire à manquer de discernement et le besoin de justice est indéniable. Ils ne peuvent cependant pas fonder à eux seuls une critique péremptoire et généralisée de la France, de son histoire et de ses institutions.

Si des hommes sont tombés les armes à la main, c’est parce qu’ils défendaient la France, et ce indépendamment de leurs origines diverses (de nombreux immigrés espagnols composaient leurs rangs) ou leurs différences politiques (plusieurs communistes figuraient parmi les maquisards). Cette France qu’ils voulaient léguer à leurs enfants est un idéal que beaucoup nous envient : celui de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. C’est aussi la possibilité de s’élever par ses vertus et ses talents, comme le rappelle la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. La France offre l’opportunité de faire siens près de 2000 ans d’histoire et d’en écrire les prochaines pages sans avoir à en justifier l’héritage du sang. Les discours de haine n’y ont pas leur place, quand bien même ils se pareraient des oripeaux d’une victimisation importée des États-Unis.

De quoi ces ahuris atteints de confusion se plaignent ?

Ils voulaient une France cosmopolite et antifasciste, ils l’ont.

Assa Traoré va le leur expliquer.

Le festival prévu au plateau des Glières se présente comme un lien entre les résistants d’hier et ceux d’aujourd’hui. N’est-il pas affligeant que la « résistance », qui reposait sur l’impérieuse nécessité de faire triompher l’idéal universaliste français face au nazisme, soit aujourd’hui détourné sans vergogne par ceux qui promeuvent un racisme débridé sous couvert d’antiracisme ? Comment oser comparer celle qui dénonce le « racisme systémique » supposé de notre pays avec ceux qui sont morts au champ d’honneur en combattant le racisme avéré de l’Allemagne nazie et ses millions de victimes ? Tous les combats ne se valent pas. L‘assimilation de ces deux combats est particulièrement déplacée : l’universalisme républicain est flétri et, au pied du mémorial comme partout ailleurs dans nos campagnes françaises, des soldats doivent se retourner dans leur tombe.

L’autisme de ces réactionnaires antifas. Ces gens ne font même pas le lien entre la victoire de la clique gaullo-communiste et la transformation de la France en société juive.

En tout cas, laissez-moi vous dire qu’ils ne parviendront jamais à déborder les racisés sur le thème du « qui sera le plus authentiquement antiraciste ».

Ces faces de craie encravatées n’auront pas le dernier mot face à la diversité.

Quant aux soldats français, ils se sont mille fois retournés dans leur tombe à la vue de ce qu’en ont fait de la France les libérateurs de 1945 : une poubelle du tiers-monde recouverte de mosquées où les enfants adoptés par des sodomites sont déguisés en femmes.

Le plateau des Glières est un mythe fondateur : c’est le mausolée sur lequel la Nation a pu renaître tout en renouant avec son histoire et la concorde ; c’est le lieu sur lequel chaque chef d’État éprouve le besoin de puiser les forces nécessaires à la conduite des affaires du pays. En 1944, presque chaque jour, radio Londres diffuse : « Trois pays résistent en Europe : la Grèce, la Yougoslavie, la Haute-Savoie. » L’Europe, la France et la Haute-Savoie doivent encore résister face aux différents maux qui les rongent. Ne trébuchons pas dans le piège facétieux des artisans de la haine : soyons dignes de notre héritage et refusons l’humiliation collective que représente cette apologie de la « déconstruction ». Cette inversion des valeurs porte en elle les ferments assumés du morcellement de notre Nation.

Je ne crois pas au hasard.

Les Glières, c’est le lieu où 76 héros de la Milice ont été assassinés par les hordes du bolchevisme juif.

Les bandits responsables du désastre actuel se font châtier à l’endroit exact de leurs crimes.

Et quoi de mieux que d’expier par là où ils ont péché : l’antiracisme.

Cette nation est morte avec l’échec de Vichy, tentative trop timide et tardive pour faire la différence. La décomposition démocratique, d’abord lente, devient désormais visible à l’œil nu.

A présent, les millions nègres et de musulmans que cette république a importé veulent dévorer vifs tous ces serviteurs des juifs.

Cela me va tout à fait.

Je veux Assa Traoré aux Glières. Je la veux aussi à Oradour. Et à Colombey-les-deux-Mosquées. Partout où ce sera possible pour transformer le décorum grotesque du résistantialisme en tribune du gangsta rap et de la guerre raciale totale.

C’est inévitable. C’est ce qu’il nous faut.

Grand-remplacer les grands-remplaceurs, sur leur terrain.

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