Captain Harlock
Démocratie Participative
06 février 2019
Je ne sais pas qui va voir ça.
Enfin, je ne sais pas, je n’ai pas d’idée arrêtée je veux dire.
Là, c’est à très forte concentration.
Qu’ont-ils (encore) fait pour un tel succès ? La nouvelle comédie de Philippe de Chauveron, Qu’est-ce qu’on a encore fait au Bon Dieu ? a enregistré 1 853 000 entrées depuis sa sortie en salles le 30 janvier, rapporte Le Parisien, lundi 4 février. Ce nombre tient compte des 155 000 entrées des avant-premières du 1er janvier. Durant le premier week-end de projection, la comédie a attiré 1,1 million de spectateurs réalisant ainsi le 13e plus gros démarrage de tous les temps pour un film français.
Comme dans le premier volet, la comédie réunit les familles Verneuil et Koffi avec leurs enfants et leurs gendres. Après avoir fait connaissance avec leur belle-famille dans le premier film, les parents Claude et Marie Verneil doivent désormais faire face à l’envie de leurs filles de partir vivre à l’étranger avec leur mari. Un projet difficile à comprendre pour ce couple bourgeois, qui ne perd pas une occasion pour faire une remarque raciste. En 2014, le premier opus avait rassemblé 12,5 millions d’entrées.
En revanche je sais qui fait voir ça.
Ce film joue outrancièrement sur l’hypergamie féminine.
Ce genre de films est spécifiquement conçu par les producteurs juifs pour les Blanches.
Ce n’est pas un hasard s’il s’agit de 4 filles blanches qui sont mises en scène avec 4 métèques. Dans ce film, elles sont la marchandise de luxe que se disputent les mâles marrons.
De retour chez elles, les Blanches parties voir ce film se disent, consciemment ou inconsciemment, que plus il y aura de mâles marrons à venir en France, plus leur valeur relative sur le marché sexuel augmentera.
Inutile de dire que cela excite un certain nombre de traînées qui se voient dépeintes en princesses à métèques.
En revanche, elles n’auront accès qu’à des pouilleux du Soudan, des dealers sénégalais des Yvelines ou des pointeurs algériens.
En revanche, ce type de productions fait exploser de rage les femmes marrons, singulièrement les négresses.
Normalement elles devraient faire exploser de rage les hommes blancs mais une large part d’entre eux a identifié que pour conserver les Blanches en leur possession, il faudrait recourir à la Sharia Blanche et à la guerre raciale, ce que nombre de tanches masculines refusent par principe.
Si vous voyez des mâles blancs se coller de plus en plus avec des négresses, c’est précisément à cause de ce déséquilibré rendu possible par la fiottisation des hommes, l’abolition du patriarcat, l’immigration massive de mâles arabes et nègres.
Ce qui passe, bien sûr, par un savant travail d’ingénierie sociale antiraciste.