Via Breiz Atao
Démocratie Participative
Au Canada, un jour après l’attentat djihadiste de Londres, le gouvernement socialiste a voté en faveur d’une motion appelant à combattre toute critique de l’islam au nom de la « lutte contre l’islamophobie ».
C’est une députée musulmane pakistanaise, Iqra Khalil, qui est à l’origine d’un texte visant à réprimer toute opposition à l’islam et à l’idéologie multiculturaliste.
Huffington Post Québec (source) :
Une motion qui vise à condamner l’islamophobie a été adoptée à 201 voix contre 91 à la Chambre des communes, jeudi après-midi. Tous les députés libéraux, néo-démocrates ainsi que la chef du Parti vert, Elizabeth May, se sont levés pour appuyer la motion de la libérale Iqra Khalid.
Le parlement canadien a pour l’occasion inventé un concept, celui de « racisme anti-religieux » :
Le Comité permanent du patrimoine canadien entreprendra donc des études pour tenter de trouver une approche pangouvernementale afin d’éliminer les formes de discriminations fondées sur le racisme et la religion.
Certains députés ont naturellement discerné la manoeuvre des socialistes alliés aux musulmans :
Le député conservateur de Louis-St-Laurent, Gérard Deltell, estime que M-103 était une manœuvre partisane de la part des libéraux. Ces derniers ont refusé d’amender leur motion pour éviter de la « diluer » selon leurs dires. « Écoutez, lorsqu’il est question d’islamophobie, c’est très difficile à définir exactement et ça peut porter atteinte, à un certain degré, à la liberté de parole », a-t-il dénoncé, après le vote.
Naturellement, cette loi d’esprit marxiste vise à criminaliser la résistance identitaire blanche et à empêcher les populations de s’opposer au remplacement migratoire. Tout l’arsenal antiraciste – c’est-à-dire antiblanc – vise à armer les masses de colons allogènes, surtout musulmans. L’alliance entre l’internationale socialiste et la nébuleuse islamiste internationale n’étant plus à démontrer depuis l’ère Obama.
Les masses de colons musulmans deviendront ainsi les auxiliaires omnipotents de la gauche néo-communiste et un utile réservoir de voix.
Au surplus, le terme « islamophobie » étant relatif au champ psychologique et ne signifiant rien d’autre que « peur de l’islam », virtuellement toute personne redoutant l’expansionnisme musulman pourra être frappée par les mesures terroristes que prendra dans les mois à venir le gouvernement canadien.