Captain Harlock
Démocratie Participative
26 juillet 2019
Le syndicat de flics Unité SGP Police vient de sortir une vidéo sur le thème, « quand est-ce que l’administration va s’occuper de nous ? »
C’est en réponse aux quelques 43 suicides recensés en 2019 parmi les flics.
Je n’ai jamais cru à cette histoire de flics qui se suicident uniquement à cause de leur travail.
Un type qui en a marre peut démissionner.
Celui qui se suicide est prédisposé psychologiquement au passage à l’acte. En général, ils mettent d’ailleurs des années à mûrir leur geste. C’est une simple réalité statistique : des gens naissent avec cette tendance.
En plus de la prédisposition dont j’ai parlé, il y a des tas de raisons qui poussent quelqu’un à se suicider.
Souvent, ça implique une bonne femme. Une bonne femme peut rendre fou un type qui est totalement sous son emprise. Les femmes sont dangereuses. C’est pour ça qu’il ne faut jamais se mettre une bonne femme en tête au point de devenir un chien perdu. C’est le début de très sérieux problèmes.
Vous avez des types qui sombrent à cause d’une gonzesse.
Il peut y avoir aussi des problèmes d’alcool, de drogue, de dettes. C’est la loterie.
Tout ça pour dire que le fait d’être flic vous met dans des conditions de stress qui exacerbe des problèmes latents. Mais le fait que ces flics se suicident n’est pas exclusivement lié au fait qu’ils soient flics. Il se trouve simplement qu’ils ont un flingue et qu’ils peuvent en finir immédiatement.
Les flics qui ont un vrai soucis professionnel se flinguent généralement dans les locaux de la Police, pour envoyer une onde de choc dans tout le personnel et au delà. Souvent après avoir été tourné en bourrique pendant des années par un supérieur puis saboté par ses collègues. A ce moment-là le flic veut les maudire en leur collant sa mort sur les épaules pour le restant de leur vie.
Ce qui est vain.
Statistiquement, les flics ne se suicident pas vraiment beaucoup plus que la population générale. 35 policiers se sont suicidés en 2018 pour un total de 150,000 fonctionnaires. Le taux de suicide général en France est de 12,3 pour 100,000 habitants.
C’est donc 23 suicides pour 100,000 flics, soit le double.
Les agriculteurs ont un taux de suicide d’au moins 40 pour 100,000, probablement plus.
Les flics ont quelques excuses
Il faut aussi comprendre une chose : quand on rentre dans la police, on perd les dernières illusions qu’on pouvait avoir sur la nature humaine.
Vous passez votre vie à passer le seau et la serpillière sur la vermine de ce monde.
Il y a des gens qui ne sont pas prêts à voir la crasse humaine en face, à plus forte raison dans une démocratie qui est par définition le terreau de la canaille. Ces gens sont entrés chez les flics pour devenir fonctionnaires sans jamais se douter de ce qu’ils allaient trouver en face d’eux.
Et c’est encore plus vrai dans le paradis multiethnique qu’est la France républicaine.
A ce moment-là, quand vous réalisez dans quoi vous avez mis les pieds, vous avez deux attitudes : se dissocier psychologiquement au maximum du boulot tout en essayant de suivre les consignes et mener une sorte de double vie intérieure, ou être à fond dans votre mission.
Si vous optez pour le deuxième choix, vous ajoutez la désillusion sur votre travail à celle que vous avez sur l’humanité. Parce que vous n’êtes pas entrés chez les chevaliers blancs mais dans une énième administration. Quelques mecs peuvent ne pas tenir le choc.
Globalement, les flics suivent la première voie.
L’autre excuse qu’ils ont, c’est que le principe même de la police est de protéger le régime en place, peu importe lequel. L’anarchisme n’est pas dans l’ADN d’une police. La police pense ordres, salaire, carrière, retraite.
Du coup, ils ont cette facilité de pouvoir se dire que si le régime est merdique, ce sont ceux qui votent pour mettre des balais à chiottes au pouvoir qui sont merdiques.
C’est-à-dire les gens qu’ils sont censés « protéger » au quotidien : vous.
Que vous soyez un électeur lepéniste n’est pas forcément inscrit sur votre front.
Ainsi donc, dans une démocratie tenue par les juifs, la maçonnerie et l’affairisme, la police en vient naturellement à concevoir une forme de rancoeur contre la plèbe qui les met dans une situation quotidienne foireuse en raison de leur vote stupide.
La plèbe pense exactement l’inverse : si les flics n’étaient pas là, le pouvoir en place ne créerait pas une situation quotidienne aussi foireuse.
Dans notre contexte : plus les flics saturent inconsciemment face aux conséquences du programme juif, plus ils votent Le Pen. Plus ils votent Le Pen, plus ils deviennent agressifs avec le gros du troupeau qui vote Macron.
Le gouvernement juif, dans ce cadre-là, peut trianguler sans problème le mécontentement des flics en leur désignant la plèbe comme le coeur du problème.
Une révolution arrive quand la triangulation cesse et que les flics décident de passer du côté de la plèbe.
La maçonnerie
Un autre point, c’est la maçonnerie.
Police et maçonnerie ne sont qu’une seule et même chose.
Pour les goyim, la maçonnerie se présente sous forme de syndicats.
La maçonnerie, comme le protestantisme, n’est qu’un judaïsme de synthèse dont l’usage est réservé aux larbins sélectionnés par les youtres.
Ce qui m’amène à revenir à ceux qui ont fait cette vidéo : le SGP Police.
Vous vous rappelez sûrement de ce syndicat : c’est celui qui a pour porte-parole une musulmane dénommée Linda Kebab (sic) et dont le chef de file réclamait de pouvoir tirer sur les Gilets Jaunes.
Il avait ostensiblement monnayé son zèle auprès du gouvernement juif.
« Nous réclamons une augmentation des salaires de l’ordre de 115€ pour tous les gardiens de la paix et gradés par la revalorisation de l’allocation de maitrise, nous exigeons des mesures fortes pour les gradés , gardiens de la paix, ASD et PATS » @ylefebvre40 @CNEWS pic.twitter.com/cCcA1aQuTh
— UNITÉ SGP POLICE (@UNITESGPPOLICE) December 17, 2018
Avant de trianguler le rapport police/population, le pouvoir juif s’assure de trianguler le pouvoir au sein même de la police.
Si nous avons une police et une gendarmerie aussi putréfiées, c’est d’abord et avant tout parce que ce sont de véritables foyers de pestilence sémitique.
Tout officier supérieur est infecté de sémitisme au terme d’un lavage de cerveau complet en loge.
Je m’empresse de préciser : n’importe quelle personne a déjà le cerveau lavé à la sortie du collège. Ce n’est donc qu’un raffinement dans l’enjuivement.
Si bien que pour un de ces gradés, un activiste antisémite est l’ennemi par excellence. Vous pourriez faire pleurer un colonel de Gendarmerie en lisant un discours sur la rafle du Vel d’Hiv.
Les rabbins savent y faire, ils leur rappellent à quel point ils ont (((trahi la France))).
Quand la police était française avant d’être juive
C’est très amusant. Ils y croient dur comme fer.
Aux 6 trillions de juifs transformés en abat-jour, je veux dire.
D’autant que désormais, plus un seul flic ne peut échapper à son stage spécial Holocauste. En plus de l’antiracisme dogmatique et de la promotion de l’homo-sidaïsme.
Plus ils servent leurs maîtres juifs, plus ces officiers ont le sentiment du devoir accompli.
Et plus la France devient accessoirement une immonde fosse à purin sur laquelle le dernier afghan de l’Hindu Kush peut ostensiblement déféquer.
Le rôle des officiers est de plus en plus délicat car leur première fonction consiste à s’assurer que le gros des flics colle au pouvoir politique, peu importe la situation.
Mais expliquer à leurs gars que le miracle de l’invasion marron est le nec plus ultra de ce qu’il faut faire pour servir la France devient tout de même exigeant intellectuellement parlant.
Sans parler des rouges et des anarchistes qui rêvent de saigner du flic aux côtés des nègres et des islamistes.
Mais rien n’y fait, la priorité est à la lutte antinazie.
Occupés à traquer les Blancs qui résistent pendant que le salafisme progresse à une vitesse hallucinante dans toutes les villes de France, les flics se recroquevillent sur eux-mêmes en dehors de tout schéma national ou patriotique.
La presse juive s’assure au reste de mettre sous pression la police en l’accusant en permanence de « bavure » contre un crouille ou un nègre.
Pour exciter la partie marxisée de l’opinion publique et ainsi tenir en respect une police déjà tenue par des officiers carriéristes et des syndicats mafieux.
Et le corporatisme des flics n’arrange rien.
A force d’avoir à faire à des populations racialement hostiles en plus de l’agitation rouge, ils en viennent à ne plus tolérer de critiques. Elles glissent sur eux comme de l’eau sur un canard. Si la maison est accusée de quoi que ce soit, le réflexe consiste à hausser les épaules.
Le boulot des commissaires politiques juifs est grandement facilité par ce réflexe. Il suffit qu’un juif à responsabilité dise du bien des flics tout en accusant des goyim des pires horreurs pour que les flics en soient convaincus.
Quelques légions d’honneur font le reste.
Les flics savent parfaitement à quel niveau se situe leur cote de popularité. Mais n’allez pas imaginer qu’ils savent pourquoi en raison de leur faible conscience politique. En plus du réflexe corporatiste dont j’ai parlé : si ça merde quelque part, c’est forcément ailleurs qu’il faut chercher.
Cependant, comme l’hostilité latente de la population ne peut pas laisser indifférent des flics qui sont condamnés à évoluer au sein de la plèbe, certains d’entre eux stressent et concèdent que « parfois » des consignes absurdes peuvent compromettre l’harmonie.
Ce cercle vicieux ne s’arrêtera pas tant que les flics suivront, ce qui est le paradoxe. Les flics sont leurs pires ennemis. Leur raison d’être est de conserver un système qui les entraîne toujours plus bas et leur haine se concentre, en raison de la triangulation dont j’ai parlé, contre les éléments qui peuvent déstabiliser cette république hébraïque.
Cette république ne tient plus que sur une chose : 20,000 CRS et Gendarmes Mobiles.
Si nous voulons que notre révolution raciste l’emporte durant ce siècle, nous devrons obtenir au moins l’inaction du gros de la police en faveur du régime juif lorsque la crise sera généralisée.
Je mets ici en garde contre tout sentiment anti-policier excessif : aussi médiocre soit-elle, une police n’est que l’image d’un régime. Comme n’importe quel outil, elle dépend de la main qui la tient.
Notre police n’aurait rien de commun avec cette police démocratique. Pas plus dans ses buts que dans ses méthodes ou son recrutement.
Inversement, nous ne devons pas nous comporter comme la Réaction qui signe des chèques en blanc dès qu’elle voit un képi. Précisément parce que nous savons que la main qui tient la police est une main juive.
Nous devons simplement avoir à l’esprit que c’est la tête qui doit être purgée.
A l’exception, bien sûr, de la crasse raciale qui est recrutée par les juifs pour tenir encore plus fermement la police entre ses mains.
Que peuvent faire d’utile les flics acquis à la cause ?
Aider passivement les racistes blancs traqués par le gouvernement et les juges à chaque fois que possible en fonction des circonstances.
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