Captain Harlock
Démocratie Participative
24 Avril 2020
Qu’il est doux de vivre en Dar al-Islam, les frères.
Ce télégramme qui appelle les policiers du Calvados à intervenir dans certains quartiers uniquement pour « les atteintes aux personnes ou atteintes graves aux biens » en période de ramadan laisse percevoir une certaine fébrilité dans la hiérarchie policière. Daté du 24 avril, le document que le Parisien s’est procuré émane du chef d’état-major de la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP) du Calvados et s’adresse à tous les services de polices du département.
Ce commandant divisionnaire indique donner ses instructions au nom du directeur départemental de la sécurité publique. « Sauf atteinte aux personnes ou atteinte grave aux biens (dégradations par moyen dangereux pour les personnes, de bâtiment, véhicule), il n’y a pas lieu d’intervenir dans les quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan, pour relever un tapage, contrôler un groupement de personnes rassemblées après le coucher de soleil pour s’alimenter », est-il écrit.
La fameuse police islamophobe qui persécute les croyants.
Se pourrait-il que la communauté des croyants soit passablement agressive ?
Depuis une semaine, des incidents émaillent certaines banlieues d’Ile de France et de villes de province. Jeudi 23 avril, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a fait valoir que ces tensions actuelles dans certains quartiers populaires étaient dues notamment à « l’effet de la dureté du confinement ». Mais le patron de la place Beauvau, invité sur BFMTV, a assuré que les forces de l’ordre intervenaient « systématiquement ». Le ministre a par ailleurs « condamné » les violences, en réaffirmant que « l’ordre républicain (devait) être présent partout ».
Castaner est une péripatéticienne qui sait exactement comment courtiser les bougnoules pour le compte de Macron qui compte bien faire le plein de voix en 2022 dans ces poches djihadistes.
Le reste, c’est du flan.
Voilà pour le discours. Mais sur le terrain, les choses paraissent moins claires. Tout au moins dans le Calvados, comme l’indique le télégramme. « Monsieur le directeur demande à tous les personnels de la DDSP de faire preuve de discernement en la matière, afin d’éviter qu’un manquement aux règles de confinement ne dégénère et provoque un trouble supérieur de violences urbaines », peut-on encore lire dans ce document. Et le chef d’état-major de souligner : « Les opérateurs répondront aux requérants [population] que leur appel est pris en compte, et veilleront à ne pas faire de commentaire ».
Ces recommandations d’extrême prudence se limitent-elles au Calvados, ou sont-elles généralisées à tous les départements ? Dans une visioconférence reliant Beauvau aux préfets des zones de défense, dont le contenu avait été révélé par le Canard Enchaîné, Laurent Nuñez, secrétaire d’Etat à la sécurité, exprimait, le 18 mars, son inquiétude de voir les cités, au bord de l’implosion, s’embraser si le confinement y était appliqué de manière (trop) stricte.
Le maghrébin d’Andalousie Nunez fait preuve d’une bien légitime magnanimité à l’endroit de ses congénères du Maghreb.
Qui peut l’en blâmer ?
Et puis, il a d’autres priorités. Comme persécuter les Blancs qui bronchent devant l’invasion.
Que du classique, dans la République des métèques.
Ce petit numéro de la part des faux-culs du ministère de l’Intérieur résume tout ce qu’il y a à savoir sur cet état français putréfié qui rampe devant les forts et joue du tonfa avec les faibles et les honnêtes gens pour les délester du peu d’argent qu’ils ont.
On l’a vu à l’oeuvre, depuis un mois et demi.
Il serait dommage de nuire à ce jeûne si particulier qui consiste à bâfrer la nuit. Le Ramadan est le seul « jeûne » qui a pour effet de faire éclore les palettes de bouffe en promotion dans les supermarchés.
Ces bougnoules appellent leur prise de lipides différée un « jeûne ». Et cette vermine engraisse comme jamais durant ce mois passé à se gaver en famille jusqu’à l’épilepsie.
C’est cette orgie crouille qu’affectent de respecter avec obséquiosité les flics républicains.
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