Les femmes ruinent les états blancs pour faire du shopping

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 juillet 2017

 

Les femmes modernes sont une des causes, avec les Boomers, du désastre financier qui guette les états occidentaux.

Voici un graphique pour les USA. Il montre l’impact fiscal des gens selon leur sexe.

En résumé : les hommes sont productifs et dépensent moins qu’ils ne gagnent, ce qui leur permet de se constituer une retraite. Ils ne représentent pas un coût pour la société. S’il n’y avait qu’eux, le système socialisé de retraite serait globalement solvable.

Si vous ajoutez les femmes, vous découvrez qu’elles vivent à crédit toute leur vie. En fait, plus elles vieillissent, plus elles crament l’argent qu’elles n’ont jamais pu produire toutes seules. Comment ? Grâce aux pigeons auxquels elles s’accrochent.

Les femmes sont naturellement conçues pour rester au foyer, élever des enfants et, au maximum, se livrer à quelques travaux liés à la vie immédiate du foyer. La productivité au travail dans une entreprise, la prise de risques et la créativité ne font pas du tout partie de leurs attributs.

Sauf qu’en dépit de cette réalité, elles veulent s’émanciper des hommes. C’est-à-dire bénéficier de tous les aspects positifs de la masculinité, sans jamais assumer les aspects négatifs : la prise de responsabilité dont la solvabilité est la toute première.

Mais comment être responsable en premier lieu quand on ne parvient pas à financer ce qu’une femme moderne veut ?

Il faut de nouvelles lois, notamment sur les divorces et les pensions, pour qu’elles puissent avoir une maison ou un appartement sans avoir à vivre aux côtés d’un homme dont elle ne pourrait pas se débarrasser. L’explosion des divorces, conséquence directe du féminisme, est directement liée à l’explosion de l’endettement des sociétés occidentales. En plus de la dénatalité bien sûr.

Sitôt « libérée », une femme moderne crame tout son argent dans des conneries hors de prix qui sont centrées sur une chose : son nombril et son statut social. Bref, singer la réussite masculine. Sauf que pour cela, il faudrait produire dans les mêmes proportions. Ce qui n’arrive, pour ainsi dire, jamais. Hormis les executive women ultra castrastrices que l’on ne retrouve quasiment nulle part dans la vie réelle.

Et c’est là qu’intervient l’escroquerie de « l’égalité salariale » : faire payer aux hommes blancs la sous-productivité des femmes blanches qui veulent disposer d’un standard de vie tel qu’elles en rêvent sans avoir à le payer. Bref, du communisme via transferts sociaux et salariaux.


Et c’est bien sûr une demande plus que raisonnée, se traduisant par des choix éclairés en matière de dépenses.

Il s’agit du même dispositif de parasitisme que celui mis en place au profit des métèques.

Dans un couple, une femme utilise la séduction pour parvenir à ces fameux transferts. En d’autres termes, elle négocie le sexe et sa gentillesse contre des cadeaux. Bagues, voyages, sacs à main, chaussures. Pour une femme, le mec devrait consacrer sa vie à la satisfaire. Dans son esprit, c’est logique.

Sauf qu’elle ne veut pas de l’autorité qui va naturellement de paire.