La rédaction
Démocratie Participative
14 septembre 2023
Les gynécologues sont des féministes endurcies. Pendant plus d’un demi-siècle elles ont régné sur l’univers féminin avec une poigne de fer. On leur doit l’avortement maximal comme bras armé du planning familial.
Leur domination touche désormais à sa fin.
Olivia, une femme à bite de Pau, est entrée en guerre contre les TERF de la gynécologie.
Un pénis et des boules, c’est exactement la même chose qu’un vagin. Aucune tolérance pour la haine. Pas de faiblesse contre les discriminations.
« C’est la même chose que n’importe quelle femme »
Un gynécologue refuse de recevoir une femme car elle est transgenre. Olivia Ciappa, une femme transgenre vient témoigner sur le plateau de #TPMP pic.twitter.com/3Q6iWmOUlC
— C8 (@C8TV) September 13, 2023
L’homosexuel à moustache Maxime Maes a mis les choses à plat.
Les femmes gynécologues toucheront des bites.
Polémique transphobe: « On ne peut pas refuser la prise en charge des personnes transgenres au motif de leur identité de genre » souligne Maxime Haes (STOP Homophobie) pic.twitter.com/AIvNaVuKze
— BFMTV (@BFMTV) September 13, 2023
Que ça leur plaise ou pas, la rééducation professionnelle est prévue.
Les refus de soins ne seront plus tolérés, les gynécologues devront longuement touché des pénis de femmes à bites homosexuelles, c’est-à-dire des hommes déguisés en femmes qui aiment les femmes.
Polémique transphobe: « Les gynécologues vont devoir se former à la prise en charge » des personnes transgenres, souligne Philippe Deruelle (gynécologue-obstétrique) pic.twitter.com/wKIZPkzI7e
— BFMTV (@BFMTV) September 13, 2023
Je suis totalement favorable à la domination mascu-transgenre.
L’âge d’or démocratique a véritablement commencé.
Oups, désolé, j’ai éjaculé docteur. C’est ma trithérapie.