La rédaction
Démocratie Participative
26 juillet 2022
Personne ne peut rien contre le besoin atavique des femmes d’attirer l’attention.
Les députées LFI arrivent en cravate à l’Assemblée nationale pic.twitter.com/iWKZ40GoiL
— BFMTV (@BFMTV) July 26, 2022
C’est vieux comme l’humanité, mais l’humanité veillait à tenir les femmes éloignées du politique, c’est-à-dire de la guerre.
Pas dans les démocraties vaginocratiques où la basse-cour mène le bal.
Une ère de paix et d’opulence excessive affaiblit les hommes qui relâchent la bride de leurs femmes, parce que leurs qualités viriles, entretenues par la guerre, se sont émoussées. Les femmes en profitent pour s’infiltrer partout, leur incompétence et leur superficialité précipitant la chute de l’État.
Les Talibans, comme les Grecs anciens, ont raison.
Ces bonnes femmes doivent être ramenées à la cuisine.
Que ça plaise ou pas.