Les femmes blanches terrorisées après la fin du droit des traînées de tuer leurs enfants aux USA

La rédaction
Démocratie Participative
25 juin 2022

 

Donc, c’est officiel, le meurtre d’enfants à naître n’est plus un « droit » pour les putes en Amérique.

L’effet domino a immédiatement commencé.

Kristi Noem est une exception dans une Amérique rongée par la féminité toxique.

Le niveau de rage des traînées génocidaires est difficilement descriptible.

Je suis favorable aux chutes d’escalier.

Une traînée qui veut tuer son enfant doit encourir la peine qu’elle veut infliger, c’est-à-dire la mort. Je suis d’ailleurs favorable à l’établissement de la peine de mort pour les avorteuses, idéalement par pendaison et en public.

Le but est d’avorter la race blanche

Le meurtre des enfants à naître par leurs propres mères est devenu le pilier de l’identité collective des femmes blanches occidentales.

Ce pilier leur a été méthodiquement inculqué par les militants juives du féminisme, en plus de quelques lesbiennes sociopathes.

C’est la conclusion logique de la libération totale de l’hypergamie féminine promue par le féminisme.

Les traînées qui préfèrent être des putes que des mères veulent pouvoir corriger à tout instant les conséquences de leur mauvaise stratégie reproductive, ou plus exactement, ne pas avoir à assumer les conséquences de baiser n’importe comment, avec n’importe qui, parce qu’elles veulent pouvoir sauter d’une bite à l’autre.

Si les Blancs veulent un avenir, ils doivent d’abord s’assurer d’avoir une matrice reproductive pleinement fonctionnelle. Avec 1,3 enfant par femme dans les pays blancs, tolérer l’avortement est criminel. C’est le terreau du Grand Remplacement.

Quand on pense que face à cela le seul argument brandi est le droit des putes de se faire sauter en soirée par des Kevin, on ne peut que ressentir une profonde envie de recourir au ceinturon, et à grande échelle, contre la moindre garce blanche qui ose prêcher l’avortement.

Les femmes n’ont qu’une fonction sur cette terre : faire des enfants.

Pas être salariées, ni diriger quoi que ce soit.

Plus tôt nous abolirons l’égalité légale entre les hommes et les femmes, qui repose par définition sur une impossibilité biologique, mieux ce sera. Les femmes doivent être la propriété de l’homme, rien d’autre, sous aucune condition.

Les juifs, qui ont passé un siècle à militer pour la destruction de la matrice reproductive de la race blanche sous l’étendard sémitique du féminisme, sont sous le choc.

Le juif Glucksmann a cependant raison sur un point : la domination juive sur les sociétés n’a rien d’éternel.

Macron et sa bande ont tout de suite chercher à se positionner. Ils croient vivre en Amérique, comme s’ils avaient la charge d’un état américain.

Évidemment, c’est une course à l’échalote médiatique avec les traînées d’ultra gauche du NUPES.

La droite juive ne sera pas en reste.

Les Françaises continueront à faire 1,3, puis 1 enfant par femme pendant que le tiers-monde repeuple le pays, « parce que qui va payer nos retraites ? » et que la momie juive Veil doit être vénérée, mais aussi et surtout parce que les mecs blancs affamés y rampent littéralement devant les pétasses.

Il y a aussi une minorité de baisouilleurs du dimanche qui sont contents de passer d’une pouf à une autre et qui sont prêts à aider les pétasses à détruire la société pour les sauter, sans jamais assumer aucun rôle social.

Le jour où les hommes blancs commenceront à montrer les dents, à expliquer à ces garces qu’elles doivent obéir ou s’attendre à des corrections physiques très sévères, les femmes réapprendront la pudeur et la modestie et rempliront à nouveau le rôle qui est le leur : être des mères qui portent le futur du peuple.

Pulvériser l’avortement est le premier pas sur le chemin de la restauration du droit de propriété masculin sur les femmes sans laquelle il ne peut pas y voir de civilisation.

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