Les femmes blanches d’Ukraine se remettent difficilement de la perte de leurs mecs

La rédaction
Démocratie Participative
08 février 2024

 

Pour être tout à fait honnête, ce n’est pas spécifiquement ukrainien.

Ou pas totalement.

C’est l’état moyen des femmes blanches en 2024, absolument partout.

‼️🚨 Le deuil ukrainien d’un soldat tombé au combat en 25 secondes.

🇪🇺🇺🇦‼️🚨 Ukranian mourning of a fallen soldier in 25 seconds. pic.twitter.com/OZRPVOvJ5M

— Lord Bebo (@MyLordBebo) February 7, 2024

Quelque part l’âme de cet homme est très, très en colère.

Quand on mesure à quel point les femmes ont la générosité d’âme d’un squale, on réalise pourquoi le chien est le meilleur ami de l’homme. Contrairement aux trous biologiques, il ne trahit jamais son maître.

Un des grands leviers de mobilisation des hommes dans un pays est la préservation du monopole de l’accès aux femmes, associées subliminalement à la terre natale sur laquelle elles vivent, donc à la perpétuation des gènes dans l’espace vital.

En Ukraine, les paysans mobilisés doivent encore espérer en ce genre de choses, même si la masse des femmes ukrainiennes en âge d’avoir des enfants a depuis longtemps migré vers les pays de l’ouest.

Mourir dans une steppe gelée pour ça fait froid dans le dos.

Et la sauvagerie des juifs pour expédier au front tout ce qui est de sexe masculin et qui peut marcher n’en est que plus frappante.

Un état digne de ce nom se doit de garantir une femme à chaque homme. Sans cela, il n’y a pas d’état.

Apparemment, dans ce nouveau paradigme vaginal, les femmes blanches ont l’autorisation de quitter le pays tandis que les hommes sont acheminés à l’abattoir à marche forcée pendant que les juifs remplissent leurs comptes offshore.

Je suis théoriquement hostile à la mobilisation des femmes en temps de guerre, mais ces succubes feront systématiquement la même chose partout. Cette idée ne valait que tant qu’elles restaient à la ferme pour veiller sur les récoltes et les enfants en attendant le retour du guerrier.

Aujourd’hui, il faut fermer préventivement les portes et s’assurer qu’elles aient une laisse numérique autour du cou. Il faut aussi que les états post-démocratique, post-vaginaux de demain assignent une femme par homme.

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