Captain Harlock
Démocratie Participative
14 Mai 2020
Prudence, homme blanc, ces créatures démoniaques veulent te perdre
Une des missions que Démocratie Participative s’est fixé dès l’origine a été de déconstruire un ensemble d’idées reçues assez tenaces qui a cours chez les plus hommes les plus jeunes à propos des femmes. Pour une raison simple : comme tout objet utilitaire, on ne peut rien faire avec une femme sans un guide explicatif.
Et les plus jeunes ont besoin d’un guide explicatif pour éviter de perdre des années à ne pas comprendre le fonctionnement de ce rubik’s cube qu’est une nana. Un rubik’s cube n’est pas difficile à maîtriser, il faut simplement travailler la technique.
Il y a déjà toute une littérature alternative sur la question de la femme réelle (par opposition à la femme légale). Si vous avez besoin d’une introduction à ce sujet, cette chaîne YouTube est un bon début en langue française. Mais le meilleur est de loin disponible en anglais. Sérieusement, bossez votre anglais, c’est le meilleur service que vous pouvez vous rendre.
Le mâle beta féministe
Une sorte de règle empirique se vérifie systématiquement : moins un homme connaît les femmes, plus il est perméable au féminisme. Une autre règle empirique se vérifie systématiquement, un mâle beta connaît moins les femmes parce que les femmes ne veulent pas de mâles beta.
Ce qui se traduit par l’apparition de mâles beta féministes foutus comme des plumeaux. A chaque fois que je regarde un homme s’abaisser devant une femme en se disant « féministe » dans l’espoir de pouvoir un jour accéder au sexe, j’ai mal pour le type.
Un peu comme ces sketchs malaisants en caméra cachée que vous ne voulez pas voir jusqu’au bout.
Sérieusement, vous voulez finir comme ça, avec une marinière ?
Ce n’est pas simplement une question d’égo masculin – même si c’est très important -, c’est d’abord une question de dignité.
Si seulement tu savais à quel point les choses sont pires qu’il n’y parait
N’importe quel petit garçon rêve de devenir un héros. C’est-à-dire d’incarner un des archétypes masculins de la force et de la domination. C’est pour ça qu’il consomme si avidement des histoires en bande dessinées, en dessins animées, en jeux : pour chercher des modèles qui l’inspire.
Ce besoin est conditionné par une réalité humaine indépassable : celle de la guerre, de la lutte pour la survie et, par extension, du combat pour la domination sociale qui incombe à l’homme. La génétique s’exprime dans les différences de jeu entre garçons et filles.
La démocratie est ontologiquement anti-masculine
Tout cela a été réprimé par la paix et la démocratie. La paix a comprimé l’instinct de conservation et le besoin d’un exutoire à leur potentiel de violence chez les hommes. La démocratie a permis aux femmes de voter au nom de l’imposture égalitaire mais surtout, avec le virage consumériste de l’économie après la guerre, de devenir des salariées-consommatrices. Les femmes sont connues pour cramer un fric ahurissant. Le féminisme essaie de démentir ce genre de vérités élémentaires, mais c’est vrai : une femme dépensera tout son fric et tout votre fric si vous n’êtes pas vigilant.
Au début, un homme ne comprend pas ça. Quand un mec va dans un magasin, il sait pourquoi il y va, ce dont il a besoin et espère conclure sa course le plus vite possible. L’homme essaie donc de trouver une explication rationnelle au comportement des femmes dans un magasin. Il se dit qu’il y a une raison mystérieuse mais forcément logique qui explique pourquoi une femme peut passer 4 ou 5 heures à errer entre les rayons. Pour finalement découvrir qu’il n’y en a pas.
Une femme tourne sur elle-même et n’a pas besoin d’explication pour tourner sur elle-même.
C’est là qu’un homme doit intervenir : devenir l’axe autour duquel la femme tourne et trouve sa raison d’être. C’est quand elle devient mère que la consommation d’une femme commence à ressembler à quelque chose de rationnel. Et encore, jamais complètement.
Il ne faut jamais perdre de vue qu’une femme a une tendance à la manipulation innée et la démocratie en temps de paix a permis aux femmes d’apprivoiser les hommes comme jamais auparavant.
Elles cherchent désormais à produire des mâles beta dont la seule fonction sera de servir les femmes.
Ce genre de traînées est incapable de comprendre le fonctionnement d’un groupe humain. Elles sont trop préoccupées par le besoin de devenir le centre de l’attention pour ne serait-ce que penser le collectif.
Transformer les futurs hommes en tanches féministes rendrait le groupe sans défense face à une agression extérieure.
Le féminisme est xénophile
C’est d’ailleurs ce qui se passe : plus le féminisme progresse, plus la xénophilie progresse. La France est un des pays du monde le plus xénophile. Précisément parce que les mâles beta abandonnent leur territoire aux mâles allogènes agressifs explicitement venus pour s’emparer de leurs terres ET de leurs femmes.
Pour les femmes, sur le court terme, le bénéfice est net : d’un côté des mâles betas affamés qui ramperont dans l’indignité jusqu’au suicide dans l’espoir qu’une de ces traînées leur lâche quelques miettes de sexe, de l’autre un arrivage constant de bites marron venues les sauter. Le pourvoyeur docile d’un côté, le baiseur sauvage de l’autre.
Car, je le répète, les bougnoules et les nègres viennent en France pour manger gratis et baiser des Blanches et des millions de traînées en sont parfaitement conscientes. Ne vous faites aucune illusion à ce sujet.
Les féministes veulent être violées par des allogènes
Je suppose que vous avez été exposé au torrent de propagande féministe sur la « culture du viol » dont Schiappa est le porte-parole officiel.
Sachez premièrement que ce dont les féministes parlent réellement lorsqu’elles évoquent la « culture du viol », c’est de leur fantasme du viol. Toutes les traînées qui parlent de « culture du viol » veulent croire que quelqu’un, quelque part, veut les violer. C’est ce qui les excite. La menace théorique du viol, habilement mise en scène par ces manipulatrices, vise à faire augmenter leur valeur intrinsèque aux yeux des mâles et ainsi à améliorer leur statut dans l’ordre social.
Mais cette manipulation n’est qu’une manipulation.
Les traînées émancipées n’ont rien contre le viol, à une condition : qu’il soit le fait de mâles allogènes ayant fait des milliers de kilomètres pour venir les baiser.
Je vous recommande visionner ce petit micro-trottoir ci-dessous. A un moment donné, on demande à des putes de Sciences-Po ce qu’elles pensent de l’expulsion des violeurs étrangers. Vous ne serez pas déçu du voyage.
Imaginez que des millions de femmes venues d’Ukraine, de Biélorusse, de Russie, des Pays Baltes, de Hongrie se ruent aux frontières de la France avec un seul et unique objectif : trouver un homme français et rester en France. Imaginez que certaines de ces immigrées, en bande, violent des Français isolés dans les parcs. D’après vous, quelle serait la réaction de toutes ces pétasses progressistes ?
C’est une arnaque.
L’immigrationnisme : le CAC40 + le lobby des chattes à herpès
La question de l’immigration est évidemment liée à la question de l’émancipation des putes dans le monde occidental ces 50 dernières années. Dans une démocratie juive matriarcale, l’enfer est quotidien pour l’homme blanc hétérosexuel.
C’est simple : sauf exception, il perd tout le temps dans un jeu expressément truqué pour le faire perdre.
Sans réaction des mâles blancs pour la suprématie sur leur espace vital et leur droit de propriété sur les femmes, l’invasion se poursuivra avec l’aide des traînées et des mâles beta féministes. Elles ont trop à perdre dans un changement radical pour fermer les frontières et consentir à vous rendre ce qui vous appartient.
L’immigrationnisme des juifs est purement tactique. Celui du CAC40 est mû par une avidité sans limite. Celui des traînées par l’arrivage de bites marron gratuites perpétuel.
C’est la véritable raison pour laquelle toutes ces magistrates ont vidé les centres de rétention pour clandestins à la première opportunité offerte par le Covid19.
Et si d’aventure une traînée féministe peste contre l’islam ou l’attitude des bougnoules en général à leur égard, ce n’est que parce qu’elles estiment que la vaginocratie qui leur a tant offert d’avantages au détriment des hommes blancs est menacée de disparition.
C’est pourquoi, il ne faut jamais céder face aux prétentions féminines à « l’égalité ». C’est un subterfuge pour perdre l’homme.