Capitaine Harlock
Démocratie Participative
20 octobre 2017
Nous vivons en direct l’effondrement de la civilisation occidentale et cela se traduit par un anarchisme de plus en plus omniprésent. Plus aucune règle sociale commune n’est admise, plus aucune convention qui facilite les rapports sociaux.
Et les femmes, libérées de l’autorité bienveillante et civilisatrice de l’homme, participent aux côtés du nègre et du juif à la promotion de la sauvagerie partout et tout le temps.
Dernier épisode en date, les femelles féministes veulent désormais nous coller leurs serviettes hygiéniques maculées de sang sous le nez, à l’heure du repas.
BFMTV :
La marque d’hygiène féminine Bodyform (Nana en France) a décidé de montrer la véritable couleur des règles dans une publicité. « Une transgression intelligente » selon le patron de l’agence Australie.
« Les femmes n’ont pas de sang bleu ». Voilà comment la marque Bodyform (le nom de Nana en Grande-Bretagne) justifie sa dernière campagne de pub. Dans le spot en effet, le traditionnel liquide bleu utilisé dans les réclames pour les serviettes hygiéniques est remplacé par un liquide rouge.
Une pub très réaliste qui fait sauter un des grands tabous du secteur. « Par une convention un peu invraisemblable, on s’était dit que c’était choquant de montrer le sang des règles en rouge, explique Vincent Leclabart, le patron de l’agence de pub française Australie. La marque fait preuve d’une grande audace en transgressant de cette façon ».
La publicité tente de plus en plus de sortir d’une communication aseptisée pour montrer des situations plus réalistes. « On montre aujourd’hui plus facilement des gens sur des toilettes et on a eu récemment en France une pub avec un bébé qui fait dans ses couches et dans laquelle on souligne la mauvaise odeur. Mais attention, il ne faut pas oublier non plus que c’est une manière d’impacter l’imaginaire et que la transgression fait vendre ».
Demain, le papier cul au fond des chiottes et la capote utilisée sur un trottoir.
J’ai déjà le slogan : « T’es bonne chérie ».
En fait, ces bonnes femmes veulent punir les hommes parce qu’ils n’ont pas de règles. C’est une façon de se rebeller contre leur assignation biologique et de se venger en tentant, par tous les moyens, d’y soumettre les hommes.
Elles peuvent mettre des pantalons et bénéficier de lois paritaires délirantes, une chose ne varie pas : elles ont leurs règles et aucune loi ne peut abolir cette réalité. Ce qui les ramène à leur condition première : la maternité.
Cette publicité ne vise donc pas un public féminin mais un public masculin, pour l’agresser visuellement. « Nana » veut capitaliser sur la haine des femelles devenues folles en donnant des gages de misandrie.