Le Libre Panzer
Démocratie Participative
05 juin 2018
Dans leur lutte pour la destruction de l’homme blanc, les juifs et leurs idiotes utiles féministes ont trouvé en Bertrand Cantat le parfait candidat pour les besoins de leur terrorisme.
Krisztina Rady, qui a eu deux enfants avec Bertrand Cantat, s’est donné la mort en janvier 2010 au domicile conjugal à Bordeaux.
Des extraits d’un message laissé par l’ex-épouse de Bertrand Cantat avant de se suicider ont été rendus publics lundi par l’avocat du chanteur qui a évoqué des « mensonges » en réponse à la réouverture de l’enquête sur le suicide.
La procureure de Bordeaux a confirmé que l’enquête avait été rouverte sur le suicide pour vérifier « des éléments » transmis par la présidente d’une association féministe, mais que cela ne devrait pas « remettre en question » les premières conclusions qui avaient mis hors de cause le chanteur.
Cantat offrait toutes les garanties. Anarchiste et antiraciste revendiqué, chanteur « engagé » avec lequel toutes les femelles blanches de gauche de 20 ans et 30 ans rêvaient de coucher, il endossait volontairement le rôle archétypal du poète rebelle et drogué, tout cela sans jamais remettre en cause l’ordre établi.
Du moins, jusqu’à ce qu’il éclate Marie Trintignant, une putain notoirement camée qui avait eu des enfants avec les juifs Kolinka et Benchetrit.
Cette pute à juif était toujours en train de fricoter avec son juifard à l’époque, ce qui bien sûr a toujours été occulté.
La détention de Bertrand Cantat, prolongée pour l’heure jusqu’au 29 janvier, devrait être renouvelée jusqu’à son procès. Les trois juges lituaniens qui décideront de son sort vont devoir reconstituer ce qui s’est vraiment passé à Vilnius, dans la nuit du 26 au 27 juillet 2003, après qu’un SMS envoyé par le dernier mari de Marie Trintignant eut mis Cantat hors de lui. Le chanteur a longuement détaillé sa version des faits, pour les besoins des enquêtes lituanienne et française, lors d’une audition capitale.
Une fois cette pute à juif allumée, Cantat a vu le système qui le soutenait le diaboliser à outrance.
Aujourd’hui, peu importe son « engagement » passé, il n’est plus qu’un mâle blanc à abattre parce qu’il a fondu un plomb à cause d’une Blanche dégénérée amatrice de chibres circoncis qui le trompait ouvertement.
Ce sont les femelles juives qui veulent sa tête.
Pour Yael Mellul, présidente de l’association Femme et Libre, « ces éléments » sont des messages qu’elle a échangés sur internet avec « la compagne d’un ancien membre de Noir Désir » et faisant état de violences à son encontre.
Me Antonin Lévy, l’avocat de Bertrand Cantat, a riposté en dévoilant sur le plateau de BFMTVdes extraits d’une lettre laissée par Krisztina Rady avant son suicide en 2010. Il a expliqué les raisons de son geste :
« La famille de Mme Rady a été contrainte, et vraiment ce n’était pas de gaieté de cœur, de venir dévoiler les termes de la lettre. Quand on dévoile les derniers mots d’un suicidé c’est pas par plaisir, mais parce qu’à un moment on ne peut pas laisser dire tous les mensonges ».
Ce que ces juives voient à travers Cantat, ce n’est pas l’anarchiste pro-sans papiers. C’est l’homme blanc.
#Cantat
« Les anciens membres de Noir Désir avaient une parfaite connaissance du comportement violent de Bertrand Cantat (…) Ils ont sciemment menti au procès à Vilnius sur la mort de Marie Trintignant »
➡ @YaelMellul présidente de l’association “Femme et libre”#BourdinDirect pic.twitter.com/rB7nRrwWuD— RMC (@RMCinfo) 4 juin 2018
Sur @BFMTV @RaphaelleRL rappelle pour @osezlefeminisme que « pour nous c’est une violence insupportable de voir que #Cantat soit ainsi célébré », et que notre mobilisation féministe intense de ces derniers permet de dénoncer l’acceptation sociale des #féminicides
— Osez le féminisme ! (@osezlefeminisme) 4 juin 2018
Et ce qui rend folle ces juives, c’est que les femelles blanches, loin de s’écarter de Cantat, sont encore plus excitées par sa violence potentielle de mâle dominant. Cette violence passionnelle les excite.
Les femmes qui continuent de l’admirer et de l’écouter voient en lui l’homme qui tient sa femme comme sa propriété et qui est prêt à tout pour la garder. Y compris par la force, même létale.
Ce que Cantat révèle, c’est l’inconscient féminin qui est autrement plus noir et ambivalent que ce que les hommes pensent.
Très nombreuses sont les femmes qui veulent être dominées, y compris par la violence. Vous seriez surpris de voir le nombre de femmes qui recherchent une relation masochiste.
Tout le discours judéo-féministe sur ce point est précisément invalidé par le succès que Cantat continue d’avoir.
Et c’est précisément pourquoi les femmes qui plébiscitent l’arrivée massive de nègres et de musulmans sont célibataires ou mal baisées : elles veulent des mâles violents qui les prennent de force après une mise en compétition brutale avec les mâles indigènes.
C’est un test grandeur nature généré par la faiblesse des hommes blancs.
Plus les hommes blancs sont faibles, complaisants et dociles vis-à-vis de leurs femmes, plus elles deviennent frustrées et agressives. Agressivité qu’elle présente comme étant générée par le manque d’égalité quand, en réalité, c’est exactement l’inverse : le surplus d’égalité.
Cantat est le thermomètre vivant de tout cela.