Captain Harlock
Démocratie Participative
02 Février 2021
De nombreux papes et évêques seront damnés pour avoir servi les juifs
Au vu de l’effondrement complet de l’Eglise Catholique en France, l’observateur rationnel se serait attendu à ce que les évêques s’interrogent sur la meilleure façon de conjurer la disparition de leur religion.
Mais ils ont une autre priorité en tête : sauvegarder la domination juive.
La Croix :
Dans une déclaration signée lundi 1er février, les évêques de France s’engagent à s’impliquer dans le travail de lutte contre l’antisémitisme et pressent les fidèles catholiques à faire de même.
Non seulement refuser l’antisémitisme, mais plus encore « lutter énergiquement contre toute forme d’antisémitisme politique et religieux ». Tel est l’engagement solennellement pris par les évêques français lundi 1er février à travers la signature d’une déclaration par Mgr Éric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France (CEF), lors d’une cérémonie organisée au siège parisien de la CEF.
« La lutte contre l’antisémitisme doit être l’affaire de tous », assure avec force la déclaration remise à Haïm Korsia, grand rabbin de France, et à Francis Kalifat, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif). Et ce devoir, estiment les évêques, incombe particulièrement aux chrétiens en raison de leur « lien spirituel unique avec le judaïsme ». « La foi en Jésus nous distingue et nous sépare, elle nous oblige aussi, dans la mémoire des heures terriblement sombres de l’histoire », insiste la déclaration, car « guérir de l’antisémitisme et de l’antijudaïsme est le fondement indispensable d’une véritable fraternité à l’échelle universelle ».
Le christianisme a au moins un lien historique avec le judaïsme, à savoir le meurtre du Christ sur ordre des rabbins.
Ce meurtre était d’ailleurs le fondement même du christianisme pendant près de deux millénaires.
C’est pour ça que dans n’importe quelle église on retrouve une croix sur laquelle le Christ est crucifié, pour rappeler aux Chrétiens que les juifs ont persécuté leur sauveur et que les juifs entendent bien leur faire subir le même sort.
Jésus, mis à mort par les juifs
Si j’avais été évêque, j’aurais donc plutôt mis à profit une telle rencontre pour demander à ces hiérarques juifs pourquoi ils ont fait assassiner le Christ.
Mais les évêques d’aujourd’hui n’ont visiblement jamais lu les évangiles. Ils ne doivent même pas savoir que les rabbins avec lesquels ils discutent descendent de ceux qui ont perpétré cet assassinat.
Non, pour eux, l’urgence est d’aider les assassins du Christ afin qu’ils n’aient pas à rendre de comptes pour les crimes abominables dont ils se sont rendus coupables, tout particulièrement en France.
« Cette déclaration est motivée par une actualité générale très préoccupante, explique à « La Croix » Mgr Thibault Verny, évêque auxiliaire de Paris et membre du Conseil pour l’unité des chrétiens et les relations avec le judaïsme de la CEF. Il y a d’une part un antisémitisme sanglant avec des attentats et des meurtres, mais il y a également un antisémitisme rampant, fait d’insultes sur les réseaux sociaux et nourri de préjugés qui reviennent en force. »
Hormis la tuerie de l’Hypercasher par un noir musulman, on chercherait en vain des « meurtres antisémites » en France.
Les deux ou trois incidents systématiquement cités, comme celui concernant la vieille Knoll, n’ont aucune motivation « antisémite ». Ce sont des montages médiatiques et judiciaires que fabriquent les tyrans du CRIF pour alimenter le mythe du juif injustement persécuté.
En revanche, on ne compte plus le nombre de Français de souche assassinés par les maghrébins et les noirs. Les mêmes étrangers que l’Eglise Catholique accueille en France avec pour conséquence des incendies criminels jusque dans les cathédrales, comme à Nantes.
Ces morts-là n’intéressent pas du tout la prêtraille.
En même temps, les curés sont eux-mêmes de plus en plus souvent des migrants africains. On les imagine mal se condamner eux-mêmes.
« Alors que le problème de l’antisémitisme ressurgit avec force en Europe, les évêques veulent sensibiliser à cette question », renchérit le père Christophe Le Sourt, directeur du service national des relations avec le judaïsme au sein de la CEF. Pour appuyer son propos, il n’hésite pas à fournir des chiffres : si les Français de confession juive ne représentent que 1 % de la population, ils sont la cible de plus de 4 actes de violence ou de haine sur 10. Une réalité qui, selon le père Le Sourt, a conduit au départ vers Israël de près de 10 % des juifs de France en 10 ans. « En tant que citoyens et en raison de notre lien spirituel, insiste-t-il, nous devons combattre l’antisémitisme avec les juifs. »
Le « lien spirituel » qu’évoque ce curé est le meurtre du Christ, comme j’en parlais plus haut.
Vous pouvez lire les extraits des évangiles relatifs au procès ignoble que les juifs lui ont intenté pour justifier son exécution. On jurerait entendre Francis Kalifat ou Alain Jakubowicz. C’est le même bruit hébraïque.
On retrouve dans les évangiles la même haine fanatique que celle qu’affiche aujourd’hui toute la juiverie organisée de France.
Les juifs n’ont pas changé en 2,000 ans. Du moins en bien.
De leur côté, ces derniers se félicitent de la déclaration épiscopale. Pour Haïm Korsia, cette « belle démarche » souligne l’existence de « tentations » antisémites dans la société actuelle. Face à ce risque, considère-t-il, « il est important de rappeler les choses avec les mots d’aujourd’hui et de dire que ce serait une trahison du catholicisme que de se laisser glisser sur la pente de l’antisémitisme. Peut-être l’époque nous oblige-t-elle à faire des déclarations pour réaffirmer ce qui est important. » D’autant, note-t-il, que les jeunes générations n’ont pas été marquées par la dernière prise importante de position des évêques en la matière, la déclaration de repentance de Drancy, remontant à 1997.
Le rabbin en chef de la juiverie française est désormais celui qui ce qui est ou n’est pas catholique.
A sa décharge, les évêques le supplient de le faire.
Voulue par la présidence de la CEF dans la foulée des attentats d’octobre dernier à Conflans-Sainte-Honorine et à Nice, et de la publication de l’encyclique Fratelli Tutti, du pape François, cette déclaration dont le titre affirme que « Lutter ensemble contre l’antisémitisme et l’antijudaïsme sera la pierre de touche de toute fraternité réelle » doit désormais être transmise dans les diocèses de France. « Chaque évêque va faire en sorte que le document soit connu et partagé, assure le père Le Sourt. Le but est de rejoindre tous ceux qui ne mesurent peut-être pas encore le grand danger que représente l’antisémitisme pour la société tout entière. »
Je prends note avec satisfaction de cette déclaration officielle d’allégeance de l’épiscopat français à la juiverie organisée.
Cela fait longtemps que la prêtraille rampe aux pieds des juifs, mais cette déclaration franchit une étape importante puisque c’est une déclaration de guerre à tous ceux qui refusent la domination de la race juive sur le monde.
Naturellement, quand une organisation déclare la guerre à tous ceux qui refusent de subir l’oppression juive, elle doit s’attendre à être cataloguée comme ennemie du peuple et combattue en tant que telle. Le moment est donc venu de combattre ce bras flasque de la juiverie qu’on appelle l’Eglise Catholique avec ses curés africains et ses évêques homosexuels.
Nous n’aurons pas beaucoup d’énergie à y consacrer dans la mesure où cette organisation n’a plus aucune force vitale et qu’elle n’est plus qu’une excroissance de la natalité négroïde en France.