Captain Harlock
Démocratie Participative
08 octobre 2020
En Grèce, la démocratie juive explique aux goyim ce que le mot démocratie veut vraiment dire.
«Pávlos a gagné, nous avons gagné, ils sont condamnés !» s’est exclamée Magda Fyssas en sortant du tribunal d’Athènes mercredi, bras levés vers le ciel et poings serrés. Elle, c’est la mère courage qui a incarné le combat contre le parti néonazi sur le banc des accusés : Aube dorée. Chaque jour, vêtue de noir, elle a participé au procès depuis le début, en avril 2015. Et si Magda Fyssas proclame aujourd’hui sa victoire, c’est parce qu’au terme de cinq ans et demi d’audition, Aube dorée vient d’être reconnue «organisation criminelle». Son chef et fondateur Nikólaos Michaloliákos, 62 ans, négationniste et admirateur du national-socialisme, a été reconnu coupable d’avoir «dirigé» et «appartenu à une organisation criminelle», ainsi que six autres cadres du parti néonazi. Quarante-cinq autres députés et militants ont été reconnus coupable d’«appartenance». Parmi les crimes jugés lors du procès, l’assassinat du fils de Magda, Pávlos Fyssas, par un membre d’Aube dorée.
C’était le 18 septembre 2013. Agé de 34 ans, ce militant de gauche, rappeur connu sous le nom de Killah P., est tué à l’arme blanche par Giorgos Roupakias, devant un café de son quartier de Keratsini, une banlieue de l’ouest d’Athènes. D’autres membres d’Aube dorée avaient déjà perpétré des tentatives d’homicide : l’une à l’encontre de pêcheurs égyptiens, le 12 juin 2012, l’autre visant des membres d’un syndicat communiste, le 12 septembre 2013. Et les militants étaient connus pour des agressions contre les immigrés, des «ratonnades» dans la capitale, ou encore des attaques contre des militants de gauche et d’extrême gauche, ou des employés d’ONG. Ils scandaient alors leur motto : «Sang, honneur, Aube dorée.»
Pourtant, dans le même temps, le parti intégrait le paysage politique grec. A la base, il n’est qu’un groupuscule néonazi créé dans les années 80 par Nikólaos Michaloliákos et regroupant des nostalgiques de la dictature des colonels et de la collaboration pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais au fil des années 2010, au fur et à mesure que la Grèce s’enfonçait dans la crise, l’austérité, la pauvreté, il est devenu la troisième force politique du pays, passant de moins de 1% aux élections législatives de 2009 à 7% en 2012. Dès lors, il obtient des députés à la Vouli, le Parlement hellène, comme au Parlement européen. Quand son procès démarre le 20 avril 2015, quatre mois après l’arrivée de Syriza, le parti de gauche mené par Alexis Tsipras, au gouvernement, le parti néonazi détient 17 des 300 sièges de la Vouli. Et aux élections de septembre 2015, bien que sur le banc des accusés, la formation parvient à en conquérir 18. Elle finira par disparaître de la représentation nationale aux élections législatives de juillet 2019, mais détient toujours un siège au Parlement européen. Qu’en sera-t-il désormais qu’Aube dorée est jugée «organisation criminelle» ?
Avant toute chose, il faut rappeler le plus important : c’est un procès politique orchestré par la finance juive internationale et comme dans toutes les opérations de ce type, on retrouve leurs chiens marxistes en première ligne pour exécuter sa basse besogne.
Après les premiers succès électoraux d’Aube Dorée, le congrès juif mondial décréta que la rébellion des goyim en Grèce devait être écrasée à tout prix et qu’Aube Dorée devait être détruit, purement et simplement.
La juiverie était intéressée au premier chef par les développements politiques en Grèce. Après avoir supervisé le trucage des comptes du pays pour précipiter son adhésion à l’Euro avec l’aide de la gauche grecque, la banque juive Goldman Sachs faisait face en Grèce à une menace systémique d’effondrement de la zone euro après la crise financière de 2008, totalement orchestrée par cette même juiverie.
L’Aube Dorée était le seul parti qui dénonçait la responsabilité de la finance internationale dans ce désastre qui avait permis à tous les partis pourris de la démocratie grecque de s’enrichir pendant des années. L’Aube Dorée était aussi le seul parti à exiger la sortie de l’Euro en Grèce pour sauver l’économie du pays.
Il était enfin le seul parti à vouloir endiguer la submersion migratoire de la Grèce et de l’Europe au moment où Athènes recevait l’ordre d’ouvrir les portes de l’invasion, ce qui aboutit au cataclysme de 2015.
Ce cataclysme était le résultat direct de la guerre en Syrie déclenchée par les démocraties occidentales, les pétromonarchies, Israël et la Turquie. Les juifs, ne perdant pas de vue leur projet génocidaire contre la race blanche, voulaient faire d’une pierre deux coups : mettre au pouvoir les islamistes en Syrie et pousser un maximum de déchets biologiques mahométans en Europe.
Pour toutes ces raisons, les victoires électorales de l’Aube Dorée représentaient une menace mortelle pour les juifs en Grèce.
La finance internationale ne tarda pas à mobiliser en sous main ses fidèles commis aux basses œuvres : les antifas. Les mêmes qui aujourd’hui se déchaînent dans les rues américaines.
Ce que ces médias juifs cachent actuellement, c’est que les ultra-marxistes reçurent le feu vert du système pour tuer nos camarades d’Aube Dorée. Ces antifas à la botte de la finance juive se livrèrent à une débauche de sauvagerie difficilement descriptible ici.
Les locaux du parti étaient visés par des attentats terroristes et tous les militants menacés de mort pour simplement appartenir au seul parti grec déterminé à lutter contre l’esclavage financier.
Comme en 2013 où deux jeunes nationalistes furent assassinés par un terroriste rouge.
Bien évidemment, aucun procès à grand spectacle n’a jamais été organisé contre l’extrême-gauche pour cette campagne de terreur bolchevique.
Au contraire, elle était massée hier devant le tribunal d’Athènes pour acclamer l’écrasement des nationalistes par le gouvernement dirigé par la droite affairiste qui administre la colonie grecque pour le compte de la finance juive.
Une nouvelle fois, les marxistes se sont affichés pour ce qu’ils sont : les larbins de la banque juive et de la bourgeoisie. Il en a toujours été ainsi, il en sera toujours ainsi.
Face à l’activisme d’Aube Dorée et à la déconfiture complète des partis juifs, le système comprit qu’il fallait orienter les masses grecques vers un leurre capable d’empêcher une révolution.
C’est là qu’on vit sortir un gauchiste de nulle part, l’antifa Tsipras. Avant de remporter les élections en 2015 face à la droite affairiste à la tête d’une coalition marxiste dénommée « Syriza », Tsipras enchaînait les discours virulents contre la finance tout en restant très vague quant à l’identité raciale de ceux qui la contrôlent.
Une fois élu, il organisa un référendum qui portait sur l’arrêt du pillage du pays par la finance internationale via l’UE. Sans surprise, 61% des Grecs votèrent pour l’arrêt de cette politique de destruction économique. Un tel refus avait pour conclusion logique la sortie à brève échéance de la Grèce de la zone Euro. Une fois le résultat connu, Tsipras déclara que le référendum qu’il avait organisé n’avait aucune valeur et qu’il obéirait aux décisions de la finance juive et qu’il continuerait de saigner à blanc le pays pour rembourser les banques hébraïques qui avaient plongé la Grèce dans la dépression économique en achetant ses politiciens pour faire adhérer le pays à l’Euro quelques années auparavant.
Tsipras était aussi un bruyant militant pro-palestinien. Vraiment bruyant.
Mais là aussi, les choses ne tardèrent pas à changer.
Sitôt devenu premier ministre, Tsipras le marxiste pro-palestinien se transforma en quelques jours en défenseur radical de la suprématie juive au Proche-Orient. Il courtisa avec assiduité Bibi Netanyahou, lui assurant le soutien de la Grèce.
La boucle était bouclée. Les anciens partis avaient été totalement déconsidérés par la corruption et la dépression économique, mais les juifs avaient repris la main grâce à un parti marxiste qui, par son sans-frontiérisme, sa haine de la race blanche et sa soumission complète aux financiers juifs, ne pouvait pas sérieusement menacer les bases du pouvoir bancaire en Grèce.
Au moment où Syriza était progressivement porté au pouvoir par l’oligarchie occidentale et ses relais, commençait la campagne de terreur judiciaire contre l’unique parti d’opposition du pays à l’esclavage financier : Aube Dorée.
L’arrestation de ses parlementaires fut même filmée par les médias juifs pour mettre en scène sa toute puissance et terroriser le peuple grec.
Il faut dire qu’Aube Dorée avait revendiqué publiquement vouloir devenir le Hezbollah de la Grèce, du nom du parti révolutionnaire chiite du Liban qui tient tête depuis des décennies à l’hydre juive dans ce pays. C’était un ton très différent de celui de Tsipras et des factions rouges sur la question du chancre colonial juif de Palestine.
Quoi qu’il en soit, voilà l’histoire réelle de ce que les médias juifs appellent « l’organisation criminelle » Aube Dorée dans une inversion accusatoire caractéristique. La seule organisation criminelle qui exista jamais dans ce pays est le cartel des partis de gauche et de droite stipendiés par la finance internationale et l’UE pour maintenir la Grèce dans la servitude.
Les mensonges de la presse juive sont autant de marques d’honneur pour les nationalistes d’Aube Dorée qui ont affronté avec héroïsme les forces titanesques de la juiverie financière à la tête d’un petit parti dans un petit pays ruiné et submergé par l’invasion islamique.
«Cette qualification signe la fin de ce parti», estime le journaliste Yannis Androulidakis, qui a suivi le procès depuis le début. Le verdict était loin d’être acquis. En décembre, la procureure générale avait réclamé l’acquittement pour les membres d’Aube dorée, suscitant la stupeur d’une part de la population. En effet, pendant les cinq ans et demi de procès, 153 témoins ont été auditionnés, des dizaines d’avocats sont venus plaider, des centaines de vidéos ont été visionnées et plus de 6 000 documents récoltés. Ce dossier qui pèse environ 1,5 téraoctet a démontré qu’Aube dorée était constituée selon une structure hiérarchique et militaire. Aujourd’hui, la satisfaction et le soulagement dominent. Les applaudissements en témoignent : ils ont éclaté dans la salle du tribunal comme sur l’imposante avenue Alexandras, qui jouxte le bâtiment, où des milliers de manifestants étaient rassemblés. Sur ses masques, ses pancartes et ses banderoles, la foule proclamait : «Le peuple veut que les nazis soient en prison.»
Même le procureur Adamantia Economou a appelé à relaxer les élus du parti et son président en raison de l’absence du moindre élément quant à leur supposée implication dans un plan de meurtres d’adversaires politiques.
Il s’agissait de détruire l’unique force d’opposition dans le pays.
«A plusieurs titres, c’est un procès historique», explique Yannis Androulidakis. Il rappelle ainsi qu’il s’agit du «plus long procès antifasciste depuis celui de Nuremberg». Or, rappelle-t-il, «jamais, en Grèce, il n’y avait eu de condamnation des nazis et des fascistes en tant que tels. Ils avaient gagné le procès de 1946, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, et avaient même, ensuite, intégré les structures de l’Etat.» Cet avis, la documentariste Angélique Kourounis, qui a réalisé Aube Dorée, une affaire personnelle le partage : «Ce procès marque profondément le pays. Pour la première fois, il rompt avec son passé collaborationniste et fasciste.» Les membres d’Aube dorée condamnés mercredi connaîtront leur peine lors d’une prochaine audience. Ils risquent entre cinq et quinze ans de prison. Le meurtrier de Pávlos Fyssas encourt, lui, la perpétuité.
Effectivement, il s’agit d’une réédition du procès truqué de Nuremberg, lui aussi organisé par la coalition antifa des ultra-capitalistes et des ultra-communistes.
Mais ces marxistes enjuivés ne devraient pas se réjouir trop vite. Pas plus que ce gouvernement de droite à la botte de la finance juive. Le très précaire calme qui règne en Grèce va bientôt être emporté par la dépression économique mondiale qui se profile à l’horizon et cette fois l’extrême-gauche ne pourra pas refaire le coup de 2015 avec Tsipras.
D’autant que la Grèce dépend quasi exclusivement du tourisme européen pour vivre et que cette industrie est désormais condamnée par la nouvelle gouvernance sanitaire globale, le trafic aérien étant voué à être réservé à l’hyperclasse occidentale.
Les militants d’Aube Dorée verront leur mise en garde se matérialiser devant les yeux de la population grecque et cette fois la mafia politique du pays ne pourra pas botter en touche avec des expédients, de fausses alternatives électorales ou des procès truqués.
Le système devra porter sur ses épaules toutes les conséquences de sa propre politique.
En tant que structure, l’Aube Dorée est peut-être interdite, mais jamais l’interdiction administrative d’un parti n’a empêché un mouvement révolutionnaire d’agir. Quant à ses membres, ce sont des héros qui maintiennent la flamme de la résistance. Qu’ils soient libres ou en prison pour avoir défié la tyrannie financière juive.
L’Aube Dorée a ravivé l’esprit national hellénique.
Il a redonné vie à la mystique fasciste à un moment critique.
Le mouvement a sûrement commis quelques erreurs ici et là, comme tous les mouvements. Mais ce n’est pas le look de tel ou tel membre d’Aube Dorée qui est l’origine de ce procès politique juif. Le RN de Marine Le Pen comporte des tas de membres qui ont arboré un T-Shirt ou tatouage du même genre que ceux de certains membres d’Aube Dorée et Marine Le Pen peut tranquillement vivre de ses rentes sans craindre quoi que ce soit.
Parce qu’elle déclare sans cesse qu’elle obéira toujours au pouvoir juif.
L’Aube Dorée a déclaré sans cesse qu’il ne se soumettrait jamais au pouvoir juif. Pour ça, j’admire les militants d’Aube Dorée.
Ce qu’il faut retenir comme enseignement de cette sauvage répression
Au plan purement politique, Ilias Kasidiaris continue la lutte à la tête d’un nouveau parti créé en juin, du moins pour ceux qui croient en l’utilité de « partis » politiques dans une tyrannie juive.
Pour ma part, s’il y a un enseignement à tirer de cette répression d’un mouvement de libération nationale sans équivalent en Europe depuis des décennies, c’est que nous sommes dans une lutte à mort et que les méthodes d’antan sont obsolètes.
Il y a encore beaucoup trop de gens qui dorment debout sur le sujet. Même parmi nos lecteurs, il y a des gens qui veulent à tout prix organiser des trucs publics en dépit de nos avertissements répétés. Sauf à être des indics et des provos, ces gens sont de dangereux naïfs. Dangereux pour eux-mêmes comme pour les autres. Il est aussi avisé d’organiser une structure officielle en France en 2020 que d’organiser une structure officielle en Union Soviétique en 1938. Peu importe cette vérité d’évidence, vous avez des gens qui reviennent à la charge encore et encore et qui semblent obsédés par une seule chose : se retrouver en clair sur le net et IRL pour que la police politique puisse identifier un maximum de gens en un minimum de temps. Quand vous leur dites non, ils deviennent encore plus virulents sur la question. « Mais comment c’est qu’on va renverser le pouvoir juif si on s’organise pas en public avec l’autorisation des juifs ? » est généralement leur première réaction face à un tel refus. Bizarrement, ces personnes n’arrivent jamais à comprendre que les juifs ne vont pas les laisser tranquillement s’organiser en tant qu’organisation blanche, fasciste, antisémite, raciste ou ce que vous voulez. Ils pensent qu’il suffit de vouloir faire la « révolution » dans le calme après une demande auprès de la préfecture pour que la transition est lieu en bon ordre, sans désagréments ni prison.
Au bout d’un moment, c’est avec fascination que j’en suis venu à observer ce phénomène d’incontinence anti-anonymat.
Si vous voulez détruire vos vies, c’est la recette du succès. Créez un groupe public sur Facebook avec pour condition de s’inscrire sous sa vraie identité, moyennant copie de Carte d’Identité. Appelez ça « Génocide 88 » pour être sûr que ce soit ce qu’il y a de plus radical sur le marché et n’oubliez pas de répéter que seuls les demeurés ne font rien en clair et que c’est la formule gagnante pour prendre le pouvoir à Paris.
Si vous voulez exister en clair sans ennuis judiciaires, vous devez accepter de ne rien dire de pertinent sur rien. C’est-à-dire de ne pas déranger l’ordre juif établi. Vous arriverez peut-être à rassembler mille personnes, si vous êtes très efficaces et ces mille personnes ne parleront de rien d’utile. Ils seront obligés de dire des trucs moins radicaux que ce que Zemmour dit à la télévision. Dans quinze ans, malgré le fait que la France sera dans une situation dix fois pire qu’aujourd’hui, ils diront des trucs encore moins radicaux qu’actuellement car la tolérance du système à la critique se sera encore drastiquement réduite.
Si vous voulez dire des choses pertinentes sur des sujets cruciaux, vous devez agir dans l’ombre comme toute structure révolutionnaire doit le faire face à un système juif en crise.
Simplement pour prendre la mesure de ce qui se passe, Chouard et ses gentils « constituants » sont désormais considérés comme des extrémistes dangereux par le pouvoir juif. C’est officiellement un « négationniste », comme le leader de l’Aube Dorée, Nikos Michaloliakos.
Je pense pouvoir dire que nous sommes tous beaucoup plus radicaux que Chouard sur la question juive et sur des tas d’autres questions mais curieusement, des gens pensent que plus on est radical sur cette question et sur les autres, plus il faut s’afficher officiellement et donner tous les moyens à l’Etat de ficher l’opposition raciale blanche.
Nos gens devraient sérieusement commencer à étudier l’histoire du parti bolchevique avant sa prise du pouvoir en Russie en 1918. Plus particulièrement en étudiant la vie de Lénine. Ils apprendraient comment on organise une révolution et jetteraient aux orties les réflexes bourgeois légalistes.
Notre force collective est d’être des radicaux placés en embuscade dans l’ombre, occupés à diffuser nos idées sous le manteau et à harceler les juifs quotidiennement par dix mille micro-attaques verbales. Nous n’avons pas à être une majorité et à récolter 51% des voix. Aucune révolution ne commence majoritaire. Une révolution n’est rien d’autre que la dictature d’une minorité déterminée à briser la tyrannie de la classe dominante pour rétablir l’équilibre social. Une révolution est généralement le fait de 3,000 ou 4,000 hommes totalement fanatisés qui parviennent à exploiter avec succès les défaillances de plus en plus grandes du système qu’ils veulent renverser.
La décennie 2020-2030 sera la plus brutale en terme de répression politique, tant en France qu’en Europe ou en Occident en général. Nos méthodes doivent évoluer en conséquence. La résistance doit être souterraine, larvée, asymétrique. Nous devons utiliser à outrance nos avantages comparatifs comme l’anonymat. Nous sommes dans une guerre de longue durée pas dans une loterie électorale. Nous jouons notre peau ici et nous n’avons tous qu’une seule chance.
Commentez l’article sur EELB.su