Le Libre Panzer
Démocratie Participative
18 février 2019
La France ayant été annexée, le moment est venu d’instaurer le délit de blasphème pour punir les Français qui refusent de se prosterner devant la théocratie juive et son bras séculier : Israël.
Des députés de tous bords proposeront, mardi 19 février, une résolution ou une proposition de loi pour que l’antisionisme soit reconnu comme un délit au même titre que l’antisémitisme, selon les informations recueillies par franceinfo lundi 18 février.
Techniquement parlant, ces députés sont du même bord : celui du pouvoir colonial juif.
C’est d’ailleurs la seule chose qui parvienne à rassembler ces différentes factions.
Ce « groupe d’études » travaille depuis des semaines sur le sujet. Son président, le député LREM de Paris Sylvain Maillard, estime que « la haine d’Israël est une nouvelle façon de haïr les juifs« . « On peut critiquer le gouvernement d’Israël, mais pas remettre en cause l’existence même de cet État. Personne ne remet en question l’existence de l’Etat français ou de l’Etat Allemand », explique-t-il.
Il va donc proposer à la trentaine de députés de son groupe d’études, des élus de tous les partis, de choisir entre les deux formules : une résolution votée par l’Assemblée nationale pour marquer une prise de position, ou une proposition de loi qui sera, selon Sylvain Maillard, plus longue à mettre en oeuvre. Ils rendront leur décision mardi après-midi, avant le discours d’Emmanuel Macron au dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) mercredi soir.
Macron doit rendre des comptes à ses maîtres très prochainement.
Son bilan, depuis son dernier acte de soumission au Louvre, est mauvais du point de vue juif.
Avec ces policiers déployés partout, ces Gilets Jaunes éborgnés et tabassés en masse, ces arrestations et peines de prison, la France n’a plus grand chose à envier aux Palestiniens.
Sauf peut-être murer les Français dans des camps de concentration à ciel ouvert pour contenir les tags antisémites.
Nous savons déjà qui surveillera la frontière.