Les covidistes paranoïaques sont en train de s’écrouler face au rhume Omicron

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 janvier 2022

Et derrière : le boomer

J’ai attiré récemment l’attention de mes lecteurs sur le mouvement provax.

C’est un mouvement sectaire dont le périmètre militant est très réduit. Ce mouvement est soutenu par les plus grands milliardaires occidentaux, la totalité des médias, des gouvernements et des plateformes sous influence comme l’OMS.

On trouve les provax essentiellement à gauche et à l’extrême-gauche, en plus de quelques rares macronistes exaltés qui ont typiquement trois seringues dans leur bio sur Twitter.

C’est plus particulièrement l’aile antifa de (((Pfizer))) qui m’intéresse ces derniers temps. Les antifas s’étaient passablement épuisés sur le thème des migrants clandestins, faute d’intérêt dans l’opinion. Ils se sont recyclés dans le covidisme radical.

La psychologie de base des antifas de (((Pfizer))) est celle de vieillards cacochymes absolument terrorisés. Leur truc du moment, c’est la fin du monde à l’école. Pour eux, ce sont les derniers jours de l’univers.

La fin du monde.

Ils sont convaincus que les cadavres s’empilent sous les gymnases.

Comme les gens normaux le savent, Omicron est 100 fois moins mortel que la grippe.

C’est un rhume.

Les antifas sont des cas psychiatriques lourds exprimant une intense fragilité. Ils ont peur de tout et grossissent démesurément n’importe quel truc pour justifier leur psychose collective.

Assez logiquement, ils appellent au secours l’Etat (bourgeois) pour les assister et terroriser tous ceux qui ne partagent pas leur bouffée psychotique.

Donc, actuellement, Omicron fait rire tout le monde, mais l’aile gauche de (((Pfizer))) est rongée par la peur.

CA

TA

CATASTROPHE

C’est un peu le même délire que lorsque les infirmières TikTok parlaient de « première ligne » à propos d’hôpitaux débordés qui étaient vides.

La fragilité psychologique de ces asociaux couplée à leur besoin pathologique d’assistanat étatique est le terreau culturel dont a besoin l’oligarchie pour justifier le totalitarisme covidiste.

Sans ces flippés de la vie et ces ratés, le système aurait déjà échoué.

C’est ça le mouvement provax qui plébiscite la censure des réseaux sociaux et applaudit les anathèmes de la bouche menteuse Patrick Cohen.

Le truc, c’est que la débâcle du discours vaccinal est déjà très avancée et le sentiment antivax progresse désormais très vite. La quatrième dose, déjà annoncée par Castex sur fond de suspension du passeport vaccinal pour les triple dosés qui refusent de suivre, précipite la victoire des antivax qui annoncent précisément ça depuis près de deux ans.

Beaucoup de double vaccinés sont actuellement en train d’expérimenter la très désagréable impression d’avoir été manipulés comme des bleus. Le décrochage vis-à-vis des rappels est quasiment certain, en dépit des interdictions. Cela peut vaguement durer un temps, mais sans aucune adhésion forte de la part de la population.

N’importe qui se rend sur Twitter constate à quel point le discours antivax est désormais archi majoritaire en commentaires. Le mouvement provax est une citadelle assiégée qui se résume aux profs qui écoutent les menteurs juifs de France Info et France Culture, plus les chômeurs antifas.

Ce n’était pas le cas au plus fort de la panique créée par les médias avant la campagne de vaccination globale, il y a plus d’un an.

Maintenant, Twitter déborde de gens qui alignent les incohérences et les mensonges du système et qui font des masses de RT impressionnants.

En dépit de tous les efforts de la censure, c’est devenu beaucoup trop massif.

Les journalistes les plus en vue, pourtant provax, traînent des pieds. Ils veulent bien suivre, mais uniquement si le terrain de l’opinion est sûr. Ils redoutent qu’un retournement brutal ne se termine par des lynchages de journalistes à grande échelle.

Même chez Hanouna, les chroniqueurs finalement rattrapés personnellement sortent du script et flippent en direct.

La narration est hors de contrôle.

Le gouvernement (((Pfizer))) le sait.

La panique orchestrée autour d’Omicron en décembre visait à faire voter en urgence le passeport vaccinal, un dispositif central pour la mise en place du Great Reset. Klaus Schwab et ses sbires de Davos vont vite constater que la résistance est beaucoup plus forte que prévu.

Ces gens ne vont pas rester l’arme au pied. Le Great Reset n’est pas négociable. Les dettes souveraines sont en train d’imploser et si les états socialisés occidentaux font défaut, tous les systèmes de retraite seront détruits du jour au lendemain. Ce serait une vague révolutionnaire qui traverserait tout le monde occidental.

L’effacement des dettes et la collectivisation verte sont les seuls moyens de l’oligarchie d’éviter leur renversement par la plèbe en furie.

Leur joker est la « cyber pandémie », une attaque globale contre l’internet pour justifier la soviétisation totale des sociétés. Ce n’est pas un secret, le Forum de Davos a déjà son discours prêt à propos du « Covid Digital ».

Naturellement, les conspirateurs de Davos mettraient une telle cyber-attaque sur le compte de la Russie et de la Chine, tout comme ils ont mis le Cohen19 sur le compte de la Chine en infiltrant Wuhan avec l’aide d’Yves Lévy et d’Agnès Buzyn.

La survie du système en dépend.

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