Captain Harlock
Démocratie Participative
28 février 2019
Le marqueur psychologique probablement le plus définitif pour déterminer si vous avez à faire à une pute à nègre : la danse africaine.
Autrement dit, la négrification mentale et corporelle, prélude à la négrification sexuelle du gène.
Tapez « danse africaine » dans Google et vous verrez la physionomie du problème.
Notez ceci : on ne danse pas seul.
Danser est une activité sociale. Apprendre à danser vise à absorber des codes, des rythmes qui permettent de communiquer par le corps avec d’autres corps.
En fait, avec des hommes.
Que remarquez-vous dans la vidéo ci-dessus ?
Exact : les « professeurs » sont des mâles nègres et les élèves des femelles blanches.
Ces traînées ne viennent donc pas là pour « danser » mais pour se faire baiser. Inutile de vous dire que la négraille subventionnée par les municipalités socialo-gauchistes pour faire remuer cette graisse blanche le font surtout pour baiser de la Blanche et, idéalement, pomper leur blé.
La véritable danse occidentale est une danse de couple, même en groupe, très technique.
La négraille ignore tout de la danse de couple. La danse nègre est un prétexte à l’excitation sexuelle de la tribu.
Par exemple, des millénaires séparent ces deux performances :
Exact, hormis la distance, rien ne sépare la danse des nègres US de celle de leurs congénères du Zimbabwe.
Le tango, inspiré des danses nègres à l’origine, n’a ainsi plus que l’aspect obscène de ses origines premières.
Pour le reste, elle exprime la nature profonde de ceux qui la pratiquement aujourd’hui, c’est-à-dire les Blancs de souche latine.
La brutalité sexuelle du nègre a été remplacée – mais pas totalement effacée – par une sensualité suggestive que tempère le motif même du couple nucléaire.
Le niveau technique parle de lui-même.
Les putes blanches qui se commettent dans de la « danse africaine » opèrent un retour de plusieurs dizaines de millénaires en arrière.
Bien avant l’antiquité.
Ici, vous pouvez voir comment dansaient les Anciennes Grecques, il y a 2,500 ans.
Ceci sur la base de documents archéologiques.
Vous retrouvez dans cet exemple la recherche de l’harmonie des corps et la maîtrise, par une technique complexe, des lois de l’apesanteur qui régissent ces corps.
La danse nègre, a contrario, ne procède pas de la partie supérieure du cerveau qui fait de la danse une pratique culturelle rigoureuse à des fins spirituelles, mais sur sa partie animale dans le but de porter ceux qui la pratiquent à la reproduction.
Tout, chez le nègre, appelle à exciter les instincts primitifs. La danse nègre est agressive, lourde, répétitive, exubérante.
Lorsque vous parlez à des femmes qui vous intéressent, faites-leur passer le test de la danse et de la musique africaines.
Si Laure aime taper son cul par terre devant un cafre lubrique, passez votre chemin.