Les conseillers de Trudeau avouent avoir déclaré l’état d’urgence contre les routiers sur ordre de Davos

La rédaction
Démocratie Participative
19 novembre 2022

 

Après s’être fait gifler publiquement comme une salope par Xi Jinping au G20, Trudeau a de nouvelles difficultés.

Ses services commencent à le lâcher.

L’enquête sur la déclaration de l’état d’urgence l’an dernier, décrété par Trudeau dans le but de traquer les routiers de la liberté qui s’opposaient à la tyrannie sanitaire, fait trembler les cadres du régime.

Lors d’une audition, ils ont admis que c’est la panique des gouvernements du G7, et évidemment de Davos, devant l’émergence d’un mouvement global qui a poussé Trudeau à sauvagement réprimer les routiers.

La greffière du Conseil privé, Janice Charette, propose une nouvelle définition de la menace pour la sécurité nationale après avoir échoué à atteindre les seuils prévus par la Loi sur le SCRS.

« Ce qu’on voyait dans d’autres parties du monde, c’était des manifestations avec des camions avec des drapeaux canadiens dessus. Le PM recevait des questions. »

Cette utilisation de l’état d’urgence par Trudeau pour réprimer l’opposition politique canadienne sur ordre de Davos et du G7 est une trahison caractérisée.

Le système globaliste sait que la situation s’aggrave de mois en mois.

 

L’objectif du Great Reset est de gérer le défaut de paiement des démocraties occidentales afin d’éviter une révolution. La campagne de terreur sanitaire décidé par Davos participe de ce plan contre-insurrectionnel.

Schwab et ses créatures ont été pris de court par quelque chose qu’ils n’anticipaient pas : c’est leur plan contre-insurrectionnel – le contrôle et la surveillance sanitaires – qui a déclenché le premier soulèvement en passe de s’internationaliser.

Ces gens savent ce qui les attend s’ils perdent le contrôle.

Si Trudeau perd la main et que la clique de Schwab échoue, il finira en taule.

S’il a de la chance.

Le peuple va exiger des têtes et les flics ne voudront pas voir les leurs finir sur des piques. Ils préféreront voir celle de Trudeau à la place. C’est la jurisprudence Ceaucescu. Quand les flics se sentent menacés par une révolution, ils exécutent les chefs eux-mêmes pour s’acheter un billet de sortie.

Voir les sous-fifres de Trudeau commencer à expliquer qu’ils ne font qu’obéir aux ordres venant de l’étranger est le premier signal que les rats sont prêts à quitter le navire.

« ma décis… mon conseil d’invoquer la loi (sur l’état d’urgence) » Elle allait dire que c’était sa « décision ». Et elle utilise des mots en vogue pour s’assurer qu’elle ne sera pas punie pour l’avoir invoquée. Elle sait qu’ils n’avaient pas l’autorité nécessaire pour l’utiliser contre une manifestation légale et non-violente.

Il suffit de voir ce qu’est Trudeau, humainement, pour savoir que cette instagrameuse n’est pas prêt pour ce qui va arriver.

Au vu de l’énorme montagne de corruption sur laquelle ils sont assis, ce n’est pas étonnant. Entre FTX, les deals avec (((Pfizer))), le cash pour la guerre en Ukraine, la censure des réseaux sociaux, la répression, l’ampleur de la putréfaction est inégalée.

Pas étonnant que ces gens cherchent à détourner l’attention en provoquant une guerre avec la Russie.

La pression monte économique et financière monte sur leur empire en faillite et l’hyperclasse ne pourra pas contenir éternellement la colère des goyim.

Commentez l’article sur EELB.su