Captain Harlock
Démocratie Participative
23 mai 2019
Les femmes ont le cerveau programmé pour réagir comme les gens marrons.
Les hommes ont toujours chaud et les femmes ont toujours froid.
C’est (presque) vrai dans n’importe quel bureau et les études confirment que les hommes préfèrent généralement des températures intérieures basses tandis que les femmes les préfèrent plus élevées.
Il n’y a pas de réponse définitive sur l’origine de ce phénomène même si la mode masculine tend à préférer couvrir plus le corps tandis que les femmes ont moins de graisse pour se chauffer les pieds, le cou et leurs mains éternellement froides.
Peu importe la cause, ces préférences contradictoires sont si bien établies qu’elles sont été surnommées « la bataille du thermostat » et c’est une bataille que les femmes sont plus sûres de perdre, partant en frissonnant tandis que leurs collègues hommes se sentent parfaitement à l’aise.
Le cerveau des femmes semble mieux fonctionner à des températures plus élevées et celui des hommes à des températures plus basses selon des chercheurs de la Marshall School of Business à Los Angeles et au WZB Berlin Social Science Center.
Afin d’étudier la bataille du thermostat, l’équipe de chercheurs a mené une série d’expérience dans un laboratoire de Berlin. Chacune de ces expériences a été conduite dans une pièce réglée à une certaine température – allant de 16 degrés Celsius à 33 degrés – où des sujets ont passé des tests et récompensés avec de l’argent pour chaque réponse correcte.
En tout, près de 550 jeunes participants ont réalisé trois tests :
Un test de mathématique où on leur a demandé d’additionner cinq chiffres à deux nombres en utilisant une calculatrice. Les participants avaient cinq minutes pour répondre à 50 de ces questions et donner autant de réponses correctes que possible.
Un test verbal où les participants ont reçu un lot de dix lettres et cinq minutes pour former autant de mots que possible. Plus les mots étaient longs, plus élevées étaient les récompenses.
Un test de réflexion cognitive où les participants ont été confrontés à trois puzzles logiques qui les forçait à réfléchir au delà de la réponse apparemment évidente.
Les résultats de l’expérience ont été publiés dans le journal PLOS ONE.
A des températures plus élevées, les femmes ont réalisé de meilleurs performances en mathématiques et en test oral. A des températures plus faibles, les hommes ont mieux rempli ces tâches.
A leur température préférée, chaque sexe a semblé consacrer plus d’effort pour réaliser leurs tests, ils ont essayé de répondre à plus de questions avec à la clef un nombre de réponse correctes plus élevé.
La température n’a pas affecté les résultats du test de réflexion cognitive.
« Des variations de température ordinaires dans une pièce peuvent affecter significativement et différemment les performances des hommes et des femmes » ont relevé les chercheurs Tom Chang et Agne Kajackaite qui n’ont spéculé sur les raisons pour lesquelles la température pourrait avoir une influence différente sur les cerveaux des hommes et des femmes.
« Nos résultats suggèrent que ce n’est pas seulement le confort mais implique également les performances cognitives et la productivité » écrivent-ils.
La réponse est assez facile à deviner.
La génétique de la femme européenne a été conditionnée par des dizaines de millénaires de survie sous l’ère glaciaire.
La femme était essentiellement cantonnée au foyer, c’est-à-dire, au sens propre, près du feu, à température constante.
En outre, sa masse de graisse est nettement plus élevée en moyenne que celle de l’homme afin de nourrir sur ses réserves les bébés qu’elle élève au foyer. L’homme pour sa part chasse en milieu hostile et développe en conséquence sa musculature.
Le muscle produisant plus de chaleur que la graisse, la femme a toujours besoin de plus de chaleur que l’homme.
Cette condition maternelle élémentaire forge la morphologie du corps de la femme et conditionne ses besoins.
Les traînées féministes qui refusent d’avoir des gosses se révoltent contre leur propre biologie. Ce qui n’aboutit qu’à produire des tarées hystériques.
Depuis la préhistoire, ce besoin de chaleur n’a pas changé.
C’est la source de chaleur qui a varié.
Les gonzesses sont des lézards.
Que veut faire une nana en vacances ? Rien. Mais au soleil. Une femme peut rester des journées entières sous un soleil de plomb, allongée.
Ce qui est ésotérique pour la plupart des mecs qui veulent faire quelque chose, même à la plage.
Du genre pêcher.
Et ensuite, les mecs postent sur leur Facebook le fruit de leur chasse histoire de montrer aux autres mâles qui c’est qui maîtrise.
Le genre de prises qui laissent Sandra de marbre sauf le soir, une fois préparées par Maxime
Ce comportement, personne ne l’apprend à l’école. C’est la mémoire raciale qui s’exprime.
Dans l’environnement moderne, ces acquis biologiques demeurent. Les gonzesses veulent des pièces surchauffées pour pouvoir jacasser tranquillement tandis que les hommes veulent pouvoir respirer normalement sans entendre les derniers ragots de la journée.
Elles peuvent exécuter des tâches de détail mais rien qui nécessite de la planification complexe et des efforts intenses dans la durée.
De quoi découle, très concrètement, que la mixité, en milieu scolaire comme en milieu professionnel, affecte les performances puisque la balance ne sera jamais la bonne étant donné qu’en premier lieu les hommes et les femmes ne devraient jamais travailler ensemble.
Au reste, le froid, pour l’homme blanc, est une bénédiction : il rend son cerveau plus vif et ses sens plus aiguisés.
La chaleur, sur la longue durée, rend stupide et fainéant.
On dirait bien que les femmes recherchent naturellement ce que les nègres recherchent naturellement : un hamac.