Captain Harlock
Démocratie Participative
15 Février 2020
Le progrès est une notion relative qui est manipulée par (((ceux))) qui veulent nous faire croire que tout ce qui est produit aujourd’hui est par définition meilleur que ce qui était produit par nos ancêtres.
Tout spécialement quand il s’agit d’armement.
Les ingénieurs biomédicaux de l’université de Duke ont démontré que, malgré les progrès importants réalisés en matière de protection contre la balistique et les impacts contondants, les casques militaires modernes ne sont pas plus efficaces que leurs homologues de la Première Guerre mondiale pour protéger le cerveau contre les ondes de choc créées par les explosions proches. Et un modèle en particulier, le casque français Adrian, a en fait obtenu de meilleurs résultats que les modèles modernes en matière de protection contre les explosions aériennes.
Un siècle de « progrès » n’a pas permis de faire mieux que ce qu’a produit en urgence l’ingénieur Louis Adrian en 1915 pour sauver les millions de soldats français pris sous les feux de l’artillerie allemande.
Glorieux casque Adrian made in France by des Français
Casque pédé produit sous licence et produit par des chinetoques pour engraisser des juifs avec plein de machins en plastique pour faire genre c’est efficace
Dans d’innombrables cas, ce truc juif qu’on appelle le « marketing » a fait croire à des millions de gogos que des produits merdiques « modernes » surclassaient ce que l’on faisait il y a cent ans ou plus.
Il y a cent ans, trouver des marchés en roulant les gens n’étaient pas encore la règle. Le bon sens paysan étant la règle, les gens exigaient que quelque chose dure longtemps et marche.
Aujourd’hui, les gens exigent des écrans plus grand de deux centimètres carré.
Ce n’est pas la définition sérieuse du progrès.
La recherche pourrait contribuer à améliorer la protection des futurs casques contre les explosions en choisissant différents matériaux, en superposant plusieurs matériaux d’impédance acoustique différente ou en modifiant leur géométrie.
Les résultats ont été publiés en ligne le 13 février dans la revue PLOS ONE.
« Nous avons constaté que tous les casques offraient une protection substantielle contre les explosions, mais nous avons été surpris de constater que les casques vieux de 100 ans fonctionnaient aussi bien que les casques modernes« , a déclaré Joost Op ‘t Eynde, doctorant en ingénierie biomédicale à Duke et premier auteur de l’étude. « En effet, certains casques historiques ont été plus performants à certains égards ».
Les chercheurs n’ont commencé que récemment à étudier les dommages cérébraux qu’une onde de choc peut causer par elle-même – et pour de bonnes raisons. Les casques ont été conçus à l’origine pour protéger des objets pénétrants comme les balles et les éclats d’obus, et les ondes de choc tuent par traumatisme pulmonaire bien avant de causer des dommages cérébraux même mineurs.
Avec l’arrivée des gilets pare-balles, cependant, les poumons des soldats sont beaucoup plus protégés contre de telles explosions qu’auparavant. C’est pourquoi l’incidence des traumatismes pulmonaires consécutifs à une explosion est bien inférieure à celle des lésions cérébrales ou vertébrales dans les conflits militaires modernes, malgré la différence de tolérance aux explosions.
Si certaines études suggèrent que les casques modernes offrent un certain degré de protection contre les ondes de choc, aucun casque actuellement déployé n’a été spécifiquement conçu pour la protection contre les explosions. Et comme les soldats d’aujourd’hui qui subissent des ondes de choc lorsqu’ils portent des gilets pare-balles ne sont pas si différents de ceux d’il y a 100 ans qui subissaient des ondes de choc dans les tranchées, l’opération Eynde a décidé de voir si ces anciennes conceptions offraient des leçons à tirer.
« Cette étude est, à notre connaissance, la première à évaluer les capacités de protection de ces casques de combat historiques contre les explosions », a déclaré l’Op ‘t Eynde.
En collaboration avec Cameron « Dale » Bass, professeur associé de recherche en génie biomédical à Duke, l’Op ‘t Eynde a créé un système pour tester les performances des casques de la Première Guerre mondiale provenant du Royaume-Uni/des États-Unis (Brodie), de France (Adrian), d’Allemagne (Stahlhelm) et d’une variante de combat actuelle des États-Unis (Advanced Combat Helmet).
Les chercheurs ont placé à tour de rôle différents casques sur la tête d’un mannequin équipé de capteurs de pression à différents endroits. Ils ont ensuite placé la tête directement sous un tube de choc, qui a été pressurisé à l’hélium jusqu’à ce qu’une paroi membranaire éclate, libérant le gaz dans une onde de choc. Les casques ont été testés avec des ondes de choc de force variable, chacune correspondant à un type différent d’obus d’artillerie allemand explosant à une distance de un à cinq mètres.
La quantité de pression subie au sommet de la tête a ensuite été comparée aux tableaux de risque de lésions cérébrales créés dans le cadre d’études précédentes. Si tous les casques ont permis de réduire de cinq à dix fois le risque d’hémorragie cérébrale modérée, le risque pour une personne portant un casque français « Adrian » des années 1915 était inférieur à celui de tous les autres casques testés, y compris le casque de combat moderne et avancé.
Testé et approuvé.
Même si le Stalhelm a un style et une conception indéniablement supérieurs.
Le Stalhelm renvoie naturellement un reflet martial et mortel.
Si vous mettez un Stalhelm, vous avez l’air d’être envoyé par Mars le dieu de la guerre pour tuer des tas de gens.
Et c’est bien ce dont il est question quand on parle d’une armée.
« Le résultat est intriguant car le casque français a été fabriqué avec des matériaux similaires à ceux de ses homologues allemands et britanniques, et avait même une paroi plus fine », a déclaré l’Op ‘t Eynde. « La principale différence est que le casque français avait un écusson sur le sommet de sa couronne. Bien qu’il ait été conçu pour dévier les éclats d’obus, cette caractéristique pourrait également dévier les ondes de choc ».
Il se peut aussi que, comme le capteur de pression était monté directement sous la crête, celle-ci ait fourni une première couche supplémentaire pour réfléchir l’onde de choc. Et le casque français n’a pas montré le même avantage pour les capteurs de pression à un autre endroit. Pour des endroits tels que les oreilles, la performance semblait être dictée par la largeur du bord du casque et la quantité de tête qu’il couvrait réellement.
Quant au casque moderne, Op ‘t Eynde pense que sa structure en couches pourrait être importante pour sa performance. Étant donné qu’une onde de choc est réfléchie chaque fois qu’elle rencontre un nouveau matériau ayant une impédance acoustique différente, la structure en couches du casque moderne pourrait contribuer à sa protection contre les explosions.
Mais quel que soit le casque testé, les résultats ont clairement indiqué que les casques pourraient jouer un rôle particulièrement important dans la protection contre les traumatismes cérébraux légers provoqués par une explosion. Selon les chercheurs, cette seule constatation montre l’importance de poursuivre ce type de recherche pour concevoir des casques capables de mieux absorber les ondes de choc des explosions aériennes à proximité.
C’est encore plus édifiant quand on sait que ces casques ont été inspirés par des casques du moyen-âge.
La bourguignotte pour le casque Adrian.
Et le chapel de fer pour les casques anglais.
Nous regardons avec trop d’arrogance les machines de mort produites par nos ancêtres.
Généralement en raison de leur esthétique à l’ancienne.
Elles ont pourtant prouvé leur redoutable efficacité en anéantissant des millions de vies.
Mais plus globalement, c’est une approche culturelle erronée.
Il y a bien sûr des avancées technologiques gigantesques qui ont eu lieu en un siècle mais il y a également eu des reculs spectaculaires.
C’est le paradigme même de notre dystopie : le « progrès technologique » démultiplie les causes du recul de la civilisation.
Paris était une des plus belles villes du monde en 1900.
Tandis qu’aujourd’hui, c’est une poubelle.
Tout simplement parce que les vols internationaux permettent désormais de transplanter des nègres au beau milieu de l’Europe.
« Technologiquement », Paris est théoriquement plus avancée qu’en 1900. En pratique, jamais l’impression de vivre dans une ville tiers-mondisée n’avait été aussi forte.
Qu’un nègre hébété du Soudan zonant près du Jardin du Luxembourg dispose d’un Iphone 11 ne constitue pas un « progrès » en soi. Ou qu’il dispose d’une AK-47 à la place d’une sagaie. Au contraire, cela démultiplie le pouvoir de destruction des races de boue.
Comme un levier.
C’est l’essence même de la dégénérescence moderne : une basse humanité au cerveau archaïque dispose de moyens technologiques bon marché mis à disposition par les races productives du monde, blanche et asiatique.