Captain Harlock
Démocratie Participative
19 Mai 2020
Je ne joue plus aux jeux vidéos depuis longtemps. Paradoxalement, c’est assez bizarre compte tenu du fait que j’appartiens à la génération qui a inauguré la console de salon à grande échelle. Pendant des années j’ai acheté chaque nouvelle console avant d’abandonner à la PlayStation 2.
Je dois dire que la machine qui m’a le plus donné le sentiment d’un changement de paradigme est la PS1. Cette console a révolutionné un marché qui était tenu jusque là par Sega et Nintendo. Les premières images furent une vraie claque visuelle. Evidemment, aujourd’hui, la machine est obsolète mais l’arrivée de Playstation a constitué une rupture.
Exploser les crânes de zombie au shotgun, nostalgie
J’ai arrêté d’être un gamer tout simplement par perte d’intérêt. Être un gamer est hyper chronophage et il y a tellement de jeux de nos jours que ça devient impossible de vraiment suivre ce qui se fait et se dit sans être dedans 7 jours sur 7. Et puis, ça donne l’impression de vivre dans une sorte d’illusion.
Mais quand on est adolescent, c’est vraiment excitant si les jeux choisis sont intellectuellement exigeants.
Les jeux de stratégie ou de planification m’ont toujours parus les meilleurs.
Un autre truc qui m’a découragé est le fait que les machines qui ont suivi, type Xbox, me paraissaient être des sortes de PS1 upgradées. Quand je voyais des amis acheter les Battlefield 1,2,3,4,5 etc., les améliorations n’étaient pas spectaculaires au point de me convaincre d’y jouer ou même de m’y intéresser.
La valeur ajoutée des machines actuelles réside surtout dans l’offre multijoueurs en ligne. Ce qui fait que ce sont surtout les FPS qui sont moteurs sur le marché pour ces machines. Mais les FPS m’ennuient. Si vous avez fait du paintball de manière régulière, vous ne retrouverez jamais 10% du fun que vous pouvez avoir IRL (je ne parle pas de manier une arme même factice mais de chasser en groupe contre un autre groupe). Notre cerveau primitif nous conditionne pour la chasse et nous n’aurons jamais l’adrénaline que peut procurer tout ce qui se rapproche de la chasse physique.
Si on joue à des jeux type Elder Scrolls ou World of Warcraft, vous devez laisser tomber des tas de trucs de votre vie quotidienne pour vraiment vous y investir. Et je n’ai certainement pas le temps pour ça. Ni l’envie.
Ceci étant dit, les premières images de la PlayStation 5 semblent démontrer que l’on se rapproche du moment où la réalité virtuelle méritera légitimement son nom.
Vous pouvez regarder ci-dessous ce que les développeurs arrivent maintenant à faire. La vidéo démo est disponible en 2160p, ça vaut la peine de la visionner. Si vous comprenez l’anglais, les deux développeurs expliquent comment leur programme de création de jeu fonctionne et ce que ça rend sur PS5. Mathématiquement, c’est de la folie furieuse.
Vous aurez remarqué que ces développeurs sont des Blancs.
Les races de boue n’ont aucune capacité dans ce domaine et ce sera de plus en plus visible à mesure que l’IA révolutionne notre environnement.
Ici, une autre démo.
Et encore une autre.
Vous avez encore des jeux scénarisés mais d’ici 10 ou 20 ans, un « jeu » ne sera plus vraiment un jeu. Vous achèterez l’accès à un univers et cet univers n’aura plus vraiment de règles ou « d’histoire ». Il sera dynamique au point où il évoluera différemment selon chaque joueur. Vous deviendrez en quelque sorte votre propre programmeur. Vous avez déjà quelque chose qui s’approche de ça dans les jeux de rôle, mais ce sera à niveau très supérieur.
Il y a des aspects positifs à ça et des aspects négatifs.
Le principal aspect négatif est que la vie quotidienne deviendra encore plus ennuyeuse. Si vous pouvez faire des expériences intellectuelles voire un jour émotionnelles sans équivalent dans le monde réel, vous préférerez allumer votre machine plutôt que de sortir et voir des gens. Surtout en milieu ethniquement sinistré comme c’est le cas dans toutes les villes occidentales.
Je comprends qu’on ne veuille pas voir de gens mais disons qu’il faut quand même interagir avec des êtres humains pour ne pas devenir un sociopathe intégral. Donc, ça encourage l’isolement et le phénomène de dissociation sociale.
Nous sommes tous, les Blancs sortis de la Matrice, en état de dissociation simultanée permanent. Tous les jours nous devons montrer une apparence conformiste tout en étant intérieurement totalement découplé de cette société névrosée. C’est pour ça que ce n’est pas la peine d’en rajouter.
L’aspect positif est qu’aucune limite ne pourra empêcher l’esprit aryen de mettre en forme ou en mouvement ce qu’il veut mettre en forme ou en mouvement dans le domaine virtuel. Un peu comme ici où, en dépit des efforts du gouvernement, nous faisons des blagues sur les nègres et les juifs. Et les fiottes. Mais à un niveau démultiplié.
Ce sera davantage une expérience spirituelle, à un certain moment de ce processus, qu’un simple moment de loisir.
C’est assez ambigu comme situation puisque plus nous sombrons dans la dystopie tyrannique que l’on peut appeler la Matrice, plus ce genre de passe-temps permet au Système d’hypnotiser les masses de goyim en les vissant à leurs écrans. Et je ne parle pas des quantités de cannabis et d’antidépresseurs qu’injecte le Système dans l’organisme de ces mêmes goyim. En même temps, si les jeunes Blancs expérimentent mentalement un vrai moment de liberté intérieure à la faveur d’un jeu vidéo – qui, encore une fois, ne sera plus un « jeu » mais plutôt un nouveau type d’art -, leur frustration face à la réalité ambiante ne fera que grandir.
Comme toujours, rien n’est tout blanc ou tout noir, bon ou mauvais.
Tout dépend de l’usage que chacun fait d’une technologie.
Ceci dit, j’ai confiance dans le génie aryen. Il trouvera un moyen de s’exprimer.