Captain Harlock
Démocratie Participative
04 décembre 2018
Compagnie (((Républicaine))) de Sécurité
Avec cette annonce absurde de « moratoire » sur la future saignée que ce gouvernement à la solde de la finance juive internationale vient d’annoncer, le peuple français a pris la mesure du problème que nous affrontons.
Aussi peu politisés soient-ils, les Français ont compris que ce gouvernement d’occupation ne reculerait pas et qu’il misait simplement sur la fatigue du peuple pour mieux le vider de son sang dans quelques mois.
Les manoeuvres dilatoires de ce gouvernement vont amener le peuple à une exaspération totale, le poussant à devenir de plus en plus violent.
Les flics, à l’exception des CRS, n’ont pas envie d’affronter la population pour ce régime et mettront crosse en l’air dès que la situation deviendra réellement insurrectionnelle.
Et sans ces CRS, les juifs sont finis.
Le juif Cohn-Bendit les adore d’ailleurs beaucoup depuis que les juifs ont pris le pouvoir.
Pour Dany le Rouge, aucun rapport entre mai 68 et décembre 2018. Invité sur France Inter ce mardi 4 décembre, l’ancien député européen Daniel Cohn Bendit a mis en garde contre la « tentation autoritaire » qu’il perçoit dans le mouvement des gilets jaunes, tout en appelant Emmanuel Macron à « se remettre en cause ».
« On n’est pas dans une période révolutionnaire. On est dans une période de tentation autoritaire« , prévient l’écologiste qui fut un soutien du chef de l’Etat pendant la campagne présidentielle. « Il y a une véritable crise sociale, un véritable problème de fracture sociale, d’illégalité et d’injustice dans ce pays. Mais il y a aussi une tentation pour répondre à ça, parce que la démocratie n’a pas réussi, une tentation autoritaire et totalitaire« , insiste-t-il.
L’éthique juive.
Pour ces agitateurs judéo-communistes, une révolution est juive par définition. Toute forme de bouleversement porté par les masses blanches est perçu par eux comme un recul dramatique de leur pouvoir.
Ce monopole que les juifs s’arrogent sur la marche du monde est la simple traduction de leur activisme messianique contre les sociétés aryennes qu’ils veulent subjuguer et détruire.
Ce Cohn-Bendit voit donc ce qui peut devenir notre révolution, populaire et anti-financière, comme potentiellement désastreuse.
Une « contre-révolution » en somme.
Une révolution objectivement antisémite.
Il n’est d’ailleurs pas le seul.
C’est un véritable choeur hébraïque qui se déchaîne contre la France en rébellion.
Vive (l’égalité devant) la loi. Vive le patrimoine. Vive le droit. Vive le débat d’idées. Vivent l’ordre et la liberté. Vivent les impôts. Vive l’écologie.
A bas les démagogues.
Et vive la police républicaine.
??❤️— Raphaël Enthoven (@Enthoven_R) 3 décembre 2018
« Police républicaine » se traduit par « police aux ordres des juifs » en yiddish.
Il faut que ces choses soient dites. Il faut que cesse cette génuflexion dévote, sans critique ni recul, devant les #GiletsJaunes. Et il faut qu’eux, les Gilets Jaunes, disent, vite, s’ils sont ou non républicains. https://t.co/JXJD5ckfau
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) 3 décembre 2018
Il faut d’ailleurs prendre des assurances et préparer une éventuelle cohabitation en cas de dissolution de l’assemblée nationale, un artifice habituel de cette république juive.
#Guest – Ce mercredi nous recevrons @laurentwauquiez, Président du parti Les Républicains.
Cette rencontre sera animée par @G_Roquette, directeur de la rédaction du @Le_Figaro Magazine.Dernières places : https://t.co/LIwNINz3v4 pic.twitter.com/L6v7ClCYaN
— Les Amis du Crif (@AmisDuCrif) 3 décembre 2018
Le gouvernement juif ne tient plus que sur une chose : le mince fil de CRS qui entoure le Palais de l’Elysée. Et c’est tout.
La discussion parmi les hauts cadres de la police du régime est désormais la suivante : faut-il tirer sur la population si elle parvient à franchir le dispositif ? C’est-à-dire si elle est en mesure de déferler sur l’Elysée.
Un avocat reconnu et proche du ministère de l’Intérieur a mis carte sur table sur Facebook.
Mais je vous invite à bien réfléchir, à titre personnel, à ce que vous êtes prêts à mettre en œuvre si samedi les évènements se reproduisent.
Appliquer un tir létal sur un manifestant ou un casseur peut conduire directement à la guerre civile et au chaos total.
Plus que jamais, l’usage de la force létale doit être le recours ultime et le seul moyen, l’unique moyen, de sauver des vies.
Si vous décidez de recourir à votre armement létal c’est parce que c’est INDISPENSABLE A SAUVEGARDER DES VIES.
Sans doute n’aviez vous pas besoin de ce rappel, mais j’ai peur que la fatigue ne vous conduise à commettre l’irréparable.
Continuez à montrer à tous votre valeur professionnelle. Vous portez seuls et fièrement les valeurs de notre République. Courage à vous tous.
Abattre des manifestants déterminés et prendre le risque d’un chaos absolu.
Parlons franchement : les CRS sont payés directement par Macron et son gouvernement pour maintenir ce régime en place. Si ces gens veulent saigner le peuple en revanche ils savent se montrer généreux avec leur dernière option.
Ce régime qui pilote l’invasion de nos terres, comme le prévoit le traité de Marrakech, organise des guerres juives au Moyen-Orient, traque les patriotes sans relâche, ruine la vie des Français.
Ces CRS auxquels le gouvernement d’occupation a accordé une prime ont choisi leur camp : le camp du pouvoir juif, de la finance juive, de la trahison. Qu’ils en aient conscience ou non n’a aucune espèce d’importance.
A ce stade, je ne vois pas ce qui peut empêcher l’inévitable, à savoir la liquidation de manifestants samedi par ces CRS. Ou le samedi d’après.
Ce régime criminel n’a plus que les armes pour se maintenir. Il a perdu le peuple depuis longtemps.
Si des CRS veulent éviter cette responsabilité, qu’ils restent dans leur caserne et disent à ce gouvernement d’occupation d’assumer ses actes.