J+3 : les boomers et les gauchistes (et les juifs) continuent de fondre un plomb après l’hommage nationaliste à Sébastien Deyzieu

La rédaction
Démocratie Participative
09 mai 2023

 

Comme chaque année depuis des décennies, sauf durant la phase covidiste, les nationalistes défilaient le 6 mai pour commémorer la mort de Sébastien Deyzieu, décédé en 1994 lors d’une manifestation du Groupe Union Défense (GUD). Sébastien Deyzieu a selon toute vraisemblance été assassiné par la police de Pasqua, ancien cadre du SAC gaulliste rompu aux meurtres politiques.

D’ordinaire, cette manifestation traditionnelle n’attire pas particulièrement l’attention du régime, des médias ou des gauchistes. Cette année, les choses étaient différentes.

Présenté par eux comme un défilé de « neon nazis », les gauchistes ont longuement pleurniché sur l’absence de répression policière.

Le média juif Street Press a longuement vociféré sa colère.

Bane a fait forte impression et ces gauchistes n’y peuvent rien, bien au contraire.

L’amertume des phasmes gauchistes vient du fait que leur cirque inoffensif à base de casseroles est interdit à proximité des déplacements de Macron. Du coup, ils pensent que toutes les manifestations doivent être interdites, surtout celles des gens qui ne souffrent pas de leur pathologie mentale.

La rage de cette crasse mélenchoniste composée de syndicalistes obèses, d’homosexuels et de camés est assez divertissante à observer. Trois jours après, ils crisent encore sur Twitter.

Quelques centaines de Blancs faisant des trucs de Blancs suffisent à leur faire extrêmement mal au rectum pendant des jours.

Le gouvernement a dû longuement et péniblement expliqué  qu’en l’état du droit actuel, les gens ont le droit de défiler pacifiquement après avoir déclaré en préfecture une manifestation.

L’Andalou rouge Nuñez, qui avait déjà essayé d’interdire une manifestation nationaliste de l’association Paris fierté en février dernier, sans succès, a confessé ne rien pouvoir faire pour séquestrer les participants.

Il faut dire que les nationalistes ne détruisent aucun magasin, ni ne brûlent vifs les flics qu’ils croisent au hasard de leur défilé. Les nationalistes n’affectionnent pas particulièrement les flics – qui ne se font jamais prier pour les harceler -, mais ils aiment l’ordre.

Ce n’est pas tellement que l’extrême-gauche pleurniche qui retient l’attention, mais tous ces gens qui croient que le monde a commencé avec Twitter. C’est tout spécialement vrai pour les boomers souverainistes qui font mine de contester l’ordre en place 365 jours par an pour mieux faire avaler leur antifascisme de bazar à la première vue d’un rebelle blanc dans la rue.

Entre les Gilets Jaunes et le Covid, ces vieilles ordures ont fait passer leur marxisme en contrebande en se cachant derrière un discours antimacroniste de convenance.

Comme cette vérole de Maïsto.

Il a suffi de quelques centaines d’hommes blancs à Paris pour que soudainement ce machin venu de son Afrique du Nord vomisse sa haine des Blonds et sa soif de France multiraciale.

Il y en a toute une bande de ce calibre, fanatiquement arqueboutés sur leur rêve de communisme marron.

Vous reprendrez bien une tranche du chant juif « Le chant des partisans » ?

Les juifs Kessel-Shmuel et Kessel-Lesk l’ont écrit pour vous, goyim !

Les juifs de De Gaulle étaient acerbes, après s’être faits mis au pas en France. Ils appelaient leurs nombreux congénères des réseaux terroristes pro-soviétiques à assassiner les Français qui ne voulaient pas voir leur pays retomber entre les mains de la démocratie hébraïque.

Ohé, les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite
Ohé, saboteur, attention à ton fardeau, dynamite

Pour parler franchement, c’est Russia Today qui, en recyclant en douce les agitateurs du Parti communiste, a grandement contribué à donner à ces vieux cocos une audience qu’ils n’auraient jamais eu autrement.

L’ambassade de Russie ne s’était pas cassée la tête, elle avait pris la liste de tous les relais d’influence de l’Union Soviétique encartés au Parti communiste durant les années 1980 et les a mis à l’écran pour prêcher aux électeurs mélenchonistes la nécessité d’établir une utopie bolcheviste dans la France islamo-négrifiée du 21e siècle. De ce point de vue, la disparition de cette chaîne a été une des rares retombées positives de la guerre en Ukraine. Nous n’avions pas besoin d’un énième média pour resservir la vulgate judéo-communiste en France. France Télévision et Radio France suffisent amplement (en plus de Médiapart, BFM, Libération, Le Monde, etc.).

Le confusionnisme apparu avec les Gilets Jaunes et la résistance au covidisme avait atteint un niveau intolérable. Le marigot pédé-coco souverainiste, essoufflé après la foirade du Brexit, s’est recyclé à cette occasion pour continuer de parasiter de l’attention.

D’ailleurs, il n’y a pas de « souverainisme » en France au sens nationaliste, uniquement de vieilles tantes gaullo-communistes nostalgiques de l’URSS qui agitent un tricolore.

Et des métèques rouges, pour des raisons raciales.

Il suffit que des nationalistes mènent une simple action pour que ces parasites baissent le masque. L’action du GUD aura été salutaire de ce point de vue, même si ce n’était pas l’objectif du défilé.

Après cette séquence, les juifs ont décrété que cette manifestation serait interdite. Ils comptent provoquer suffisamment de troubles pour y parvenir.

Je serais très surpris que le GUD ne soit pas prochainement dissout par Moussa Ouakid-Darmanin.

Le forum EELB sera prochainement de retour