Les boomers célèbrent religieusement l’anniversaire du vieil enculé de communiste Renaud

La rédaction
Démocratie Participative
31 mai 2022

 

Les boomers sont déchaînés.

Le meilleur d’entre eux, Renaud, a miraculeusement survécu à la plus longue biture de l’histoire de la musique française, 35 ans et toujours en cours.

Pour ses 70 ans, ils écoutent en boucle ses pires titres sur Facebook. C’est atroce. C’est une inondation.

Le communisme, même pas avec modération

Ce type incarne le mieux cette génération d’enculés.

Vaguement pro-palestinien dans les années 80, quand c’était à la mode, il est devenu ultra pro-juif à l’approche de la retraite.

Il y a deux semaines, le mec a apparemment pu être tenu à distance d’un verre pendant une après-midi, suffisamment longtemps pour le poser sur une scène.

Ce vieux con était, comme de juste, nappé d’un drapeau ukrainien pour chanter la paix dans le monde et l’avènement final du bolchevisme.

Son cerveau est tellement cramé par l’alcool qu’il ne voit aucune contradiction à chanter son titre anti OTAN en Afghanistan et l’expansion belliciste de l’OTAN en Ukraine. Après, il est tellement ravagé par l’alcool qu’on ne peut plus vraiment le considérer comme conscient de ses actes.

Les boomers sont tous conçus sur ce modèle de jouisseur nihiliste posant en moraliste universel, Renaud est uniquement la version la plus complète de la panoplie.

Ce qui faisait que ça marchait, c’est que les poncifs gauchistes qu’il déblatérait passaient à cause de sa gueule de Gavroche.

Par le passé, il a pu chanter un ou deux trucs décents, mais accidentellement. Il arrive à une horloge pétée de donner deux fois l’heure juste, comme on dit.

Par exemple, son « Hexagone » antifa écrit dans les années 1970 n’a trouvé sa pertinence que dans la France macrono-covidiste sous la botte des juifs de 2022.

Ce sont ces vieux-là qui nous ont plongés dans la fosse à purin actuelle que l’on appelle la France.

Ils n’ont aucune conviction fixe, si ce n’est de détruire l’avenir de leurs petits-enfants pour les remplacer par l’immigration débordante venue d’Afrique, et d’une manière générale tout ce qui peut-être marron.

Ils veulent tout saccager, le cul confortablement installé dans le salon de leur résidence secondaire offerte par l’inflation qu’ils ont organisé sur un demi-siècle.

Le plus odieux, c’est qu’ils sont plus sûrs d’eux-mêmes que jamais, dans leurs certitudes à la con.

C’est d’ailleurs ce qu’il chante, ce vieil enfant de pute : la victoire des métèques.

J’espère qu’il crèvera dans les pires tourments.

Comme toute cette génération.

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