Captain Harlock
Démocratie Participative
23 juillet 2019
Il est temps de nous faire une idée plus claire de la dynamique démographique qui nous attend pour savoir dans quel environnement racial, social et politique va se situer la France – et les Blancs – dans les décennies à venir.
Il y a beaucoup de spéculations à ce sujet.
La méthode suivante me semble offrir une méthode de projection extrêmement crédible. Elle consiste à utiliser les projections démographiques japonaises pour établir celles de la France puis de les coupler avec les projections relatives aux flux d’immigration extra-européens.
La plupart des lecteurs auront pour réflexe de se dire, « mais ça n’a rien à voir ».
Ce réflexe est d’abord dû à l’exotisme du pays cité : le Japon.
Le second argument est le suivant :
« Le taux de fécondité japonais est beauuuuuucoup plus merdique que le nôtre ! »
En fait, non. C’est l’inverse et peu de gens le savent.
Le taux de fécondité japonais est supérieur au taux de fécondité français, mais pour le savoir, il faut débunker les statistiques des rouges de l’Insee.
Et c’est là tout l’intérêt des projections japonaises : en raison de la quasi absence d’immigration depuis la guerre dans l’archipel, les statistiques nippones nous permettent de voir l’évolution de la natalité autochtone d’un pays industrialisé au 20ème et au 21ème siècles.
Alors bien sûr, il y a des nuances ici et là. Mais l’évolution générale est globalement identique pour ce qui concerne le taux de fécondité des femmes autochtones.
Le taux de fécondité japonais est de 1,37 enfant par femme en 2018.
Le taux de fécondité français est officiellement de 1,9 enfant par femme. Mais il faut corriger ce chiffre pour obtenir le taux de natalité des Françaises de souche européenne. Ce qui a été déjà fait dans notre article sur le sujet, lequel aboutit à 1,2 enfant par Française de race blanche.
C’est 12% de moins que le taux de fécondité japonais. En dépit de cette différence, je vais baser mes calculs sur l’hypothèse d’un taux identique. Ce sont donc des projections plutôt optimistes.
Projections calculées sur la base du taux de fécondité japonais (1,4 enfant par femme)
Japon, 2015 : 127 millions d’habitants.
Japon, 2100 : 60 millions dont 20 millions de 65+ (33%)
Soit une baisse de 52,5% de la population sur la période 2015-2100
Prenons ces 52,5% de la population autochtone sur la période 2015-2100 comme base de calcul.
2015 en France : 66 millions en 2015 dont 51 millions de Blancs
2050 en France :
- baisse de 21% du total de la population autochtone (10,7 millions d’habitants), soit 40 millions de Blancs dont 40% de 65+ (16 millions). Seulement 24 millions de Français de moins de 65 ans en 2050.
- 30 millions d’extra-européens en France sur la base d’un doublement sur les 30 prochaines années.
Les projections officielles de l’Insee confirment ce scénario.
Bien qu’elles n’intègrent pas officiellement l’origine ethnique des populations, elles avancent un « scénario central » à 72 millions d’habitants en 2050.
Ce chiffre peut paraître étonnant au vu du niveau d’immigration actuel mais pas si on a l’esprit la dénatalité très forte des Français de souche.
Il vous suffit de méditer sur les deux tableaux ci-dessus : la forte baisse de la population japonaise d’un côté, le gain de 10 millions d’habitants en France dans le scénario « fécondité haute » de l’Insee.
Si l’on prend le scénario « moyen » de l’Insee, la France compterait 72 millions d’habitants en 2050 dont 32 millions d’extra-européens. C’est-à-dire 44% du total.
La décennie cruciale 2050-2060
En 2060, la baisse totale de la population par rapport à 2015 serait de 30%. La population autochtone compterait alors environ 35 millions d’individus.
Il est probable que c’est durant la décennie 2050-2060 que la France deviendra à majorité non-blanche.
En 2080 en France : si l’on reste sur la base d’un doublement tous les 30 ans comme actuellement, le nombre d’extra-Européens passerait de 30 millions en 2050 à 60 millions en 2080. A cette date, la population autochtone aura diminué d’environ 40% et s’élèvera à 30 millions de Français de souche européenne pour une France totalisant 90 millions d’habitants.
Si l’on préfère un scénario où le nombre d’extra-Européennes n’augmente « que » de 50% entre 2050 et 2080, la France serait peuplée de 75 millions d’habitants dont 45 millions de non-Blancs. Les Français de souche selon ce scénario ne serait plus que 40% du total de la population.
En 2100 en France : on dénombrerait 24,2 millions de Blancs dont 8 millions de 65+ (33%) et 1,2 millions d’enfants (plus ou moins 5%). Seulement 16 millions de Français auraient moins de 65 ans.
En parallèle, si la population non-blanche augmentait encore au rythme de 50% tous les 30 ans, elle se situerait à 67 millions d’individus en 2110.
Soit seulement 1 Français sur 4 de race blanche.
Les conséquences électorales
Contrairement à une perception trompeuse, 2100 n’est pas très éloigné. Une personne née en 2020 aura 80 ans en 2100. En d’autres termes, c’est une réalité qui peut prendre corps en une vie d’homme.
Mais il n’est pas nécessaire d’attendre 2100 pour voir la France être totalement libanisée et conquise par les peaux sombres.
Puisque nous sommes dans un système démocratique, seule la loi du nombre et les urnes déterminent la marche du pouvoir. L’immigration de masse aura neutralisé l’Etat Français, d’un point de vue autochtone, bien avant 2100.
En France, en 2016, le corps électoral s’élevait à 45 millions d’électeurs potentiels pour 66 millions d’habitants. C’est-à-dire 66% du total.
En 2017, le total des électeurs ayant voté pour Marine Le Pen était de 10,5 millions. Pour gagner, elle aurait dû rassembler 51% des voix soit 23 millions d’électeurs, c’est-à-dire 55% d’électeurs de plus que ceux qu’elle a pu séduire au second tour des élections présidentielles.
Son taux de pénétration dans l’électorat était, en mai 2017, de 23%.
Sur la base de nos projections (optimistes) d’une France de 72 millions d’habitants en 2050, le corps électoral augmenterait légèrement pour atteindre 47 millions d’électeurs potentiels. Mais la composition raciale de l’électorat aurait déjà été profondément bouleversée.
Même si l’on peut discuter du détail, partons de l’hypothèse que, comme pour l’électorat général, 66% de la population allogène soit en âge de voter en 2050 : 20 millions de non-Blancs participeraient aux élections à cette date.
Pour gagner les élections en 2050, le RN – ou son éventuel successeur, voire une coalition anti-immigration – devrait obtenir 24 millions de voix blanches sur les 27 millions disponibles.
Autrement dit, le RN ou son équivalent en 2050 devrait avoir un taux de pénétration de 89% parmi les Blancs pour gagner.
Formulé autrement : en 2050, 9 Français sur 10 devraient voter RN ou apparenté pour espérer gagner une élection présidentielle.
En 2060, plus aucune élection présidentielle ne pourra être gagnée même si 100% des Français de race blanche votent RN.
C’est-à-dire dans 40 ans.
Pourquoi cette pénétration est impossible ? Une réponse : les Boomers
Notez qu’une telle pénétration traduirait un profond basculement culturel et idéologique au sein des masses blanches qui aboutirait à la formation de deux grands blocs raciaux homogènes quant à leur hostilité réciproque.
Le système politique n’y survivrait pas.
Mais une telle pénétration électorale, qui condamne le RN à obtenir 23 millions de voix à toutes les élections présidentielles de ces 30 prochaines années pour gagner, est impossible.
Pour une seule raison :
Il y a, au bas mot, 10 millions de Baby-Boomers nés entre 1945 et 1955 en France. En réalité, on peut étendre jusqu’à 1960 cette génération (en âge de voter Mitterrand en 1981).
Ce stock de Boomers diminue bien évidemment mais pas au point d’être anecdotique lors de la phase électorale cruciale dont je parle : 2020 – 2040.
Leur importance est centrale car, en votant centre-gauche et centre-droit ou Macron, leur vote a un effet retardant extrêmement puissant. Pour la raison qui suit : au rythme actuel, le nombre d’électeurs que peut potentiellement gagner le RN annuellement est effacé par les quelques 400 à 500,000 nouveaux immigrés que le gouvernement importe chaque année.
Ces derniers sont inévitablement naturalisés au fil des ans tout comme l’est automatiquement leur progéniture.
Des quelques 15 millions de Boomers nés entre 1945 et 1960, les deux tiers (10 millions) voire la moitié (7,5 millions) seront encore vivants ces 20 prochaines années pour bloquer le passage électoral, le temps pour les allogènes de les remplacer dans l’électorat.
Vous croyez que des gens devenus séniles en plus d’être compulsivement antifascistes se mettront à voter RN ou nationaliste arrivé à 75 ou 80 ans ?
Aucune chance.
C’est pour ça que le vote des Boomers est crucial : celui qui le contrôle, en raison de la dynamique démographique, s’assure de récupérer progressivement le vote allogène qui le remplace au fil des décennies.
Je sais que cela ressemble à une énorme pilule noire mais mieux vaut être réaliste.
Certains pourront objecter, à quelques millions près, à quelques années près. Mais pas sur la tendance générale.
Cependant, il va sans dire qu’une tendance finit toujours par changer. Ces projections se basent sur les évolutions actuellement observées et ne sont pas gravées dans le marbre.
Seuls les idiots croient qu’une tendance haussière ou baissière restera haussière ou baissière.
Elles montrent uniquement ce qui arriverait à moyen et long terme si la tendance actuelle ne varie pas au cours de ces 30 prochaines années.
Géographiquement parlant, on sait où le désastre sera d’abord consommé par département.
La démographie allogène couplée à l’immigration de masse et à la dénatalité blanche, dans le cadre d’un régime démocratique fondé sur la loi du nombre, condamne à mort la France française à moyen terme. C’est-à-dire trois décennies.
Au fil des ans, « démocratie » rimera toujours plus avec « tyrannie afro-musulmane » appuyée par une caste de politiciens blancs mandatés par la bourgeoisie pour accompagner notre mise en minorité.
La Cisjordanie sera probablement plus pacifique que la France, par comparaison.
C’est sur cette base qu’il va falloir agir et anticiper.