La rédaction
Démocratie Participative
15 septembre 2022
L’analyse que vous allez lire est produite par un journaliste actuellement recherché par de très nombreuses polices du monde au service du pouvoir juif international en raison des analyses indépendantes qu’il offre au public de langue française.
Des rumeurs faisant état d’une tentative d’assassinat commanditée par le gangster juif Zelensky contre le président Vladimir Poutine ont émergé.
Newsmax :
La limousine personnelle du président russe Vladimir Poutine a récemment été « attaquée » lors d’un incident au cours duquel une « forte détonation » et une « fumée épaisse » se sont échappées de la roue avant gauche du véhicule, selon les médias.
Il y a également des spéculations selon lesquelles l’attaque apparente était une tentative d’assassinat de Poutine, impliquant peut-être des événements de la guerre actuelle entre la Russie et l’Ukraine.
D’après le canal Telegram du SVR russe, un certain nombre d’arrestations ont été effectuées à la suite de l’incident. En outre, certains des gardes du corps de Poutine ont « disparu », selon le SVR.
M. Poutine, qui s’en est sorti indemne, a regagné sa résidence officielle à bord d’un cortège de renfort, dans un contexte de fortes craintes pour la sécurité, selon le SVR, via le Daily Mail.
Le Daily Mail rapporte qu’une source a déclaré que le grand cortège comprenait cinq véhicules blindés, Poutine occupant la troisième limousine de la file.
Voici le récit d’une source du SVR, via le Mirror : « Sur le chemin de la résidence, à quelques kilomètres de là, la première voiture d’escorte a été bloquée par une ambulance, [et] la deuxième voiture d’escorte a roulé sans s’arrêter [en raison de] l’obstacle soudain, et pendant le détour de l’obstacle. »
Et dans la voiture de Poutine, « une forte détonation a retenti depuis la roue avant gauche, suivie d’une épaisse fumée », selon la source du SVR.
Le drame ne s’est pas arrêté là, puisque le SVR rapporte que le corps d’un homme « conduisant [l’]ambulance, qui a bloqué la première voiture du cortège » a été retrouvé peu après l’incident.
Malgré des problèmes de « contrôle », la limousine de Poutine a quitté le lieu de l’attaque en relativement bon état et a atteint sa destination en toute sécurité.
La diffusion des détails pourrait ne pas se faire rapidement, car l’incident serait marqué comme « classifié » au sein du gouvernement russe.
« Le chef du service des gardes du corps du président et plusieurs autres personnes ont été suspendus et sont en détention », a indiqué le SVR, sans toutefois identifier qui que ce soit.
Le rapport du SVR poursuit : « Un cercle étroit de personnes était au courant du déplacement du président dans ce cortège, et toutes faisaient partie du service de sécurité présidentiel. »
« Après l’incident, trois d’entre eux ont disparu. … Ce sont exactement les personnes qui se trouvaient dans la première voiture du cortège. »
Depuis le début de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, qui s’est déclenchée le 24 février, les rumeurs non fondées selon lesquelles Poutine, 69 ans, verrait sa santé décliner ont afflué.
C’est une triste nouvelle, si elle est avérée, mais elle ne peut pas nous surprendre.
Ces bêtes sauvages à la botte de Washington sont prêtes à tout, pour peu que leurs maîtres le leur ordonnent. Assassiner le chef d’une grande nation est le dernier de leurs scrupules.
Ces derniers jours, j’avais pris connaissance de rapports faisant état d’un déploiement de troupes russes sur le périphérique de Moscou. Les bouches folles à la solde des juifs affirmaient déjà qu’un putsch était en cours. En fait, en toute probabilité, la première phase dudit putsch a échoué, mais les bots n’en étaient pas informés et ont tout de même annoncé le coup d’état.
La prudence m’a convaincu de m’abstenir de tout commentaire. Les juifs, auxquels on apprendra pas davantage l’art du putsch que celui du silence, ont observé la même retenue, ce qui ne fait que confirmer leur culpabilité.
Il est désormais clair qu’un réseau très large d’espions, de traîtres et de saboteurs est déployé à Moscou, attendant le moindre revers sur le front pour procéder à l’assassinat du leader de la nation russe.
Le président Poutine, par sa bienveillance, a retenu sa main, afin de ne pas troubler le peuple. Je pense que c’est une erreur. L’honnêteté m’oblige à dire que jamais Staline n’aurait permis qu’une telle situation survienne grâce à son expérience révolutionnaire. Des arrestations de masse auraient déjà lieu dans toute la capitale pour dénicher les agents étrangers qui se démènent contre la Russie et sa direction politique.
D’une certaine façon, la Russie vit encore dans l’ère de paix post-URSS, et non pas dans l’ère nouvelle qui s’ouvre.
Cela ne veut pas dire que la Russie est désarmée.
De manière assez intéressante, Zelensky a lui-même été percuté par un véhicule cette nuit.
ACTUALITÉ :
Zelensky a été évalué par des médecins après un accident de voiture.
Heureusement, le président ukrainien n’a subi aucune blessure.
BREAKING:
Zelensky has been evaluated by doctors after a car crash.
Fortunately, the Ukrainian President didn’t suffer any injuries. pic.twitter.com/eABUW0f7Iz
— Visegrád 24 (@visegrad24) September 15, 2022
C’est une réponse calibrée.
Vous voyez, chers camarades, nous-mêmes n’avons pas de culture révolutionnaire, parce que nous ne menons pas de révolution. Nous sommes comme des enfants sur le chemin de l’école à notre premier jour. Dans ce domaine, nous devons faire preuve d’humilité. Nous devons aussi apprendre.
La question actuelle est celle-ci : révolution ou non ?
Le gros du peuple, endormi par le confort matériel et son nihilisme, n’en veut pas, quitte à en mourir d’overdose.
Si nous choisissons la révolution, nous nous disons prêts à frapper l’ennemi.
Alors, nous devons comprendre ce que cela implique et ne pas nous laisser endormir par le poison démocratique, le chant des sirènes de la tolérance, ou pire, le poison hébraïque de l’indifférence. Ou alors, nous serons anéantis.
Si je vous dis cela, c’est parce que les Russes, malgré les difficultés immenses, ont choisi de dire non, grâce à un seul homme, et cet homme porte un nom : Vladimir Poutine.
Mais est-ce qu’en France, et même en Europe, il existe un seul groupe d’hommes que l’on peut qualifier de révolutionnaires ?
Je pense que oui. Parce que la situation actuelle est intenable, spirituellement et matériellement, parce que l’ancien monde est en train de crever, que le nouveau tarde à naître, mais que tous, parce que nous restons des hommes et que la condition humaine est celle de la volonté de vivre, nous pousse à agir et à agir vrai.
Je dirais que la première chose qu’il faut savoir avant le reste, c’est qui haïr et qui détruire, qui aimer et qui protéger. Plus on aime avec passion, plus on détruit avec passion. Ces deux choses sont indissociables, elles se nourrissent mutuellement. Seuls les êtres tièdes, sans amour sincère, éprouvent cette expérience honteuse si chère à cet ordre finissant qu’on appelle la tolérance. Tolérer n’est pas une vertu, c’est une honte.
Les tolérants sont des salauds et la place des salauds professionnels est devant un tribunal.
Chaque homme vit et meurt, mais chaque homme peut décider de ce que sera ou non la direction de sa vie. Mourir pour rien ou mourir pour quelque chose ? Et quel est ce quelque chose ?
Après tant de lâchetés multiples servies par ces démocraties comme autant d’actes de courage, il est temps d’inverser l’ordre moral et de saccager cette société pourrie. Cette guerre à l’est peut allumer mille foyers qui seront autant de torches pour abattre l’ordre actuel.
C’est à souhaiter, mais cela n’arrivera pas seul. L’idole démocratique ne crèvera pas seule, elle devra être abattue, comme on abat un chien malade.
Nous avons besoin d’une année Zéro.
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