Le Libre Panzer
Démocratie Participative
28 août 2019
Le terme « travail d’arabe » vient de prendre une nouvelle dimension
La nation marocaine vient de donner une leçon de dignité à l’Europe sous occupation juive.
Un mémorial dédié à la Shoah construit par une association allemande à Marrakech, au Maroc, a été démoli par les autorités qui affirment n’avoir jamais donné d’autorisation à sa construction, a indiqué le ministère marocain de l’Intérieur.
Les autorités marocaines ont procédé à la destruction d’un mémorial de la Shoah construit à leur insu dans la localité d’Aït Faska, à proximité de Marrakech, a indiqué un communiqué du ministère de l’Intérieur, relayé par la presse locale.
Les informations véhiculées par certains sites électroniques et sur des réseaux sociaux au sujet de l’établissement d’un mémorial dédié à l’Holocauste par un ressortissant étranger comprenant un musée et plusieurs installations, ainsi qu’un mémorial sous forme de tableaux artistiques dans la commune d’Aït Faska, sont dénuées de tout fondement, ont indiqué les autorités locales de la province d’Al Haouz», a précisé le communiqué, selon le site d’information H24.
Vers la fin de la journée du lundi 26 août, des agents se sont rendus sur les lieux et ont rasé avec un bulldozer ledit mémorial.
Selon le Time of Israël, le projet a été lancé en 2018 et est intégralement financé par l’association allemande PixelHELPER.
Le projet visait à «montrer aux Marocains, notamment aux élèves, et aux juifs d’Israël l’horreur de l’Holocauste», a affirmé au média Oliver Bienkowski, fondateur de PixelHELPER, qui vit au Maroc depuis 2014. Selon lui, des stèles consacrées aux victimes LGBT étaient prévues, celles-ci devant être peintes aux couleurs de l’arc-en-ciel.
Il a suffi d’un seul juif ashkénaze récemment arrivé dans le pays pour qu’une première base de subversion soit créée dans le but de promouvoir le suprémacisme juif et la dégénérescence homosexuelle.
Mais les autorités marocaines ont réagi rapidement, contrairement à l’Europe occupée depuis 1945.
Il ne reste plus qu’un terrain vague.
Il est possible de libérer un pays de l’occupant juif si on le veut.
Un simple bulldozer suffit.
Il ne reste plus qu’à entamer le chantier.