Captain Harlock
Démocratie Participative
11 décembre 2018
Macron l’a annoncé par omission : il n’y aura pas de baisses massives des taxes et des impôts. Ce qui veut dire que le pillage fiscal exigé par la finance juive est maintenu, intégralement.
Quand vous étudiez le détail de cet exercice d’intoxication des masses hier, vous vous rendez compte que la cible est la même : la classe moyenne blanche. Ce sont donc les goyim qui vont payer.
Elle fait partie des annonces les plus importantes d’Emmanuel Macron : l’augmentation de 100 euros du salaire d’un travailleur au smic, « et sans qu’il n’en coûte rien à leur employeur ». Mais la phrase du président de la République a suscité beaucoup d’interrogations.
Qu’a vraiment dit le président ? « Le salaire d’un travailleur au smic augmentera de 100 euros par mois dès 2019 sans qu’il en coûte un euro de plus pour l’employeur », a déclaré Emmanuel Macron lors de son « adresse à la nation ».
D’abord, il ne s’agit pas d’un coup de pouce au smic comme le réclament les gilets jaunes et comme l’ont cru beaucoup d’internautes. Au 1er janvier 2019, le salaire minimum – actuellement de 1 184,93 € net et touché par 1,655 M de salariés sera revalorisé d’environ 1,8 % comme confirmé ces derniers jours par l’exécutif.
Cette augmentation correspondrait à une vingtaine d’euros.
Autrement dit, l’équivalent de la stricte application de la règle de calcul automatique appliquée au smic. Par ailleurs, selon l’Elysée, s’ajouteront à cela 20 euros de baisse de charges salariales.
D’où sortent alors les 60 € restant ? En fait, le président ajoute à son calcul le coup de pouce de 50 % de la prime d’activité pour les 3,2 millions de travailleurs qui touchent le smic ou un peu plus, auquel il s’était engagé pendant la campagne. Mais au lieu de procéder comme prévu à une augmentation par vagues successives de 20 € par an étalée sur tout le quinquennat, décision a été prise d’accorder en une fois, au 1er janvier 2019, ce coup de pouce non négligeable de 60 € d’augmentation aux allocataires de la prime d’activité.
Autre subterfuge de cette annonce : tous les salariés rémunérés au niveau du smic ne bénéficieront pas forcément de ce coup de pouce intégral à la prime d’activité. En effet, cette aide est calculée en fonction de la situation familiale et des revenus pour les personnes qui gagnent jusqu’à 1,2 smic, donc jusqu’à 1 379 € nets mensuels.
Ce chiffre de 100 euros n’est que le fruit de ce qui était déjà prévu.
#giletsjaunes Les 100 euros de plus pour salariés au #smic. Tenez vous bien 1) la hausse légale de 1,8% du smic > 20€net + 20€ de baisses de charges salariales + 3) augmentation de prime d’activité versée one shot soit 60 € au lieu de l’étalement de 20€ x sur 3 ans =100€ ?
— Catherine Gasté (@catherinegaste) 10 décembre 2018
Et il sera payé par les contribuables, c’est-à-dire la classe moyenne blanche.
L’histoire de la défiscalisation des heures supplémentaires était déjà en place sous Sarközy et a simplement été rétablie dans l’urgence.
Le total de cette manoeuvre s’élève à 15 milliards d’euros à trouver dès janvier. En levant de nouvelles taxes, obligatoirement.
Les annonces d’Emmanuel Macron devraient coûter 15 milliards d’euros selon le service économie de RTL #macron20h #GiletsJaunes https://t.co/LWgOUC0pEY
— RTL France (@RTLFrance) 10 décembre 2018
Bref, Macron et ses maîtres de la finance internationale ne bougent pas d’un millimètre. Le programme est la réduction en esclavage par la dette. Et la plèbe blanche qui s’est révoltée a d’ores et déjà été avertie que la répression arrivait à grands pas.
C’est comme ça qu’il a commencé son allocution avec son ton de petite fiotte arrogante.
Enfin, vous avez le sujet de l’immigration, le jour où il signe en douce le Pacte de Marrakech.
L’arnaque de #Macron sur l’immigration!
Il dit vouloir un débat sur l’immigration, le jour où il fait signer le pacte sur les migrations de l’ONU sans aucun débat! Et alors que les médias ont accusé de complotisme les opposants. On sait à quoi s’attendre pour le futur débat.. pic.twitter.com/TU5cWSXHB3— Patrick Edery (@patrick_edery) 10 décembre 2018
Macron veut du sang.
Il se dit, « bon, j’ai donné à ces paumés quelques miettes qui seront payées par les autres paumés, maintenant ils vont voir qui est le maître. »
Il prévoyait déjà de balancer des armes chimiques sur le peuple, samedi dernier.
Marianne :
C’est dire si le pouvoir a eu peur. Samedi 8 décembre, certains des blindés de la gendarmerie disposés pour la première fois dans Paris étaient secrètement équipés d’un dispositif radical, qui n’aurait été utilisé « qu’en dernier recours » : une réserve de liquide incapacitant. Selon nos sources, la pulvérisation de ce liquide sur une foule de gilets jaunes aurait été capable de « les arrêter net, mettant les gens à terre, même avec des masques ». Chaque engin aurait pu « neutraliser » une surface de plusieurs terrains de football… « Heureusement, que l’on n’en est pas arrivé là », ajoute cette source haut placée dans le dispositif policier. « L’autorité politique », comme le disent les fonctionnaires, aurait approuvé l’éventuel emploi d’un tel produit, qui n’aurait été utilisé qu’en cas de « débordement ultime ». Une sorte de « dernier rempart », utilisable sur décision politique… Interrogée, la préfecture de police de Paris renvoie au ministère de l’Intérieur.
De toute façon, nous n’en sommes plus à des histoires de smic.
Les juifs veulent piller la France et la plonger dans l’état économique de la Grèce en quelques années.
Les taxes et impôts ne peuvent qu’augmenter et ce système devenir de plus en plus policier.
La révolution est l’unique option.
Et avec le ton que prend cette pédale, je n’imagine pas un instant que le peuple accepte de capituler.