Captain Harlock
Démocratie Participative
04 décembre 2019
Bonne nouvelle, nous sommes tous devenus mentalement des nègres
J’en parlais en août dernier. Personne ou presque dans nos milieux ne semblait avoir mesuré à quel point tous les genres musicaux avaient grosso modo disparu en France au profit du rap.
C’est unique dans le monde occidental, il n’y a pas d’équivalent. États-Unis compris.
Le Mouv’ :
Pour la fin de l’année 2019, Spotify vient de publier un communiqué officiel dévoilant la liste des dix artistes les plus écoutés en France (et dans le monde) sur la dernière décennie. On sait que le rap a connu une belle ascension ces dernières années en France, il s’agit désormais du style le plus écouté, comme en atteste ce top 10 complètement dingue avec uniquement des rappeurs.
Le rap n’a rien de neuf.
Il est présent en France depuis au moins 30 ans, y compris le rap hardcore.
Il était déjà promu à grande échelle par le juif Jack Lang sous Mitterrand. Tout comme il était promu par le juif Bellanger sur Skyrock dès le début des années 90.
Pour mesurer le caractère surréel du phénomène, c’est comme si le hardrock des années 70 était devenu la musique la plus écoutée en 2019.
Ça s’explique très bien : la créativité a disparu. C’est l’encéphalogramme plat. Pourquoi ? Parce que la part des nègres et des maghrébins dans la jeunesse est de plus en plus grande, impactant le marché proportionnellement. Et ces gens-là, laissés à eux-mêmes, végètent.
1995 :
2019 :
Dans cent ans, le rap sera toujours la musique la plus écoutée de ces populations parce qu’il combine l’agressivité, la sauvagerie destructrice et la brutalité sexuelle qui irrigue naturellement le système nerveux des arabes et des noirs.
C’est la musique de leur âme raciale.
Les 10 artistes les plus écoutés en France sur Spotify de la décennie :
Jul
PNL
Ninho
Damso
Nekfeu
Booba
Niska
Drake
Gims
OrelsanEn première place du classement on retrouve le rappeur marseillais Jul qui multiplie les projets (avec onze albums à son actif). Sur ces dix premières places, pratiquement que des artistes francophones,mis à part le canadien Drake en huitième place.
Vous pouvez écouter et comparer, c’est uniforme. Monolithique.
Comme vous l’entendez, ces derniers temps, le rap nègre, par nature primitif, est modéré par l’électro et les chants femelles venus d’Orient.
La proximité avec les « nasheed » qu’affectionnent les maghrébins est frappante.
C’est fatal.
Les sémites adorent les lamentations lancinantes. Il est inévitable que ça tourne à la bouillabaisse saoudo-guinéenne.
L’impact chez les jeunes Blancs est dévastateur car le nivellement se fait par le bas, surtout avec la musique qui relève de la sensibilité spirituelle.
Le standard arabo-nègre et son « imaginaire » deviennent la norme à une vitesse stupéfiante, porté par tout l’appareil d’état juif et ses relais médiatiques.
Associée à la promiscuité raciale, l’idéologique ambiante, inspirée de l’antiracisme, du misérabilisme social, de la négrophilie et du tiers-mondisme, achève les cervelles.
La phase suivante sera la conversion massive à l’islam salafo-banlieusard, par mimétisme, les tronches ayant été totalement déchaussées culturellement par les coups de boutoir du beat nègre.
« Boom boom, han-han, boom boom, han-han »
La négrification mentale la plus totale.
Ce décrochage culturel et cette chute vertigineuse ne peut qu’amener la population française blanche la plus jeune à une rupture à peu près complète avec le reste de l’Europe.
Si vous avez des gosses, rendez-leur un service : pas de télé ni de smartphones avant 16 ans et de la musique blanche. Post-rock, électro, métal, médiévale ou classique, peu importe, mais pas cette merde qu’on appelle le rap. Sous aucune forme.