Captain Harlock
Démocratie Participative
16 Décembre 2020
Le crime commis, les empoisonneurs internationaux planifient leur fuite. La juive Buzyn guette une opportunité pour faire vivre cette très ancienne tradition hébraïque qu’est la disparition nocturne après le meurtre de goyim.
Gala :
Attaquée de toutes parts, Agnès Buzyn tente de se faire oublier. L’ancienne ministre de la Santé, qui avait quitté son poste au pied levé pour remplacer Benjamin Griveaux dans la course à la mairie de Paris, a tout perdu. Emmanuel Macron, sa famille politique, et même son mentor… Tous lui ont tourné le dos. Acculée, l’hématologue souhaite désormais « passer à autre chose », confie un de ses confidents au Parisien.
Si en France, Agnès Buzyn est persona non grata, l’ex belle-fille de Simone Veil n’est pas contre l’idée de mettre les voiles. « Elle aurait plusieurs possibilités dont une à l’étranger apparemment », lance un intime, avant de nuancer son propos : « mais rien n’est fait ». Particulièrement éprouvée par les attaques dont elle a été la cible, l’hématologue souhaite en tout cas « passer à autre chose ». « Elle a vécu une année horrible : la pandémie, les auditions parlementaires, la perquisition à son domicile… c’est beaucoup ! », souffle son confident, et d’évoquer l’avenir de l’ancienne candidate à la mairie de Paris : « Elle se consacre à sa vie familiale et sa vie professionnelle ».
En mai dernier, Agnès Buzyn brisait le silence pour dénoncer « un emballement médiatique d’une violence inouïe, des propos complotistes, antisémites, sur les réseaux sociaux » à son encontre. « J’ai pu apparaître comme un bouc émissaire », déplorait-elle auprès du Figaro après son craquage dans les colonnes du Monde. « Cette période a marqué ma famille, mes enfants, et cela leur tient à cœur que la vérité soit rétablie », soufflait alors celle qui avait été nommée « personnalité politique suscitant le plus de rejet », et de conclure, incrédule : « Je connaissais la difficulté de la vie politique, je ne m’attendais pas à la brutalité, à la violence ».
Il y a des choses qui ne changeront jamais.
Cette juive ressort la vieille chanson hébraïque des persécutions antisémites pour justifier sa très prochaine dérobade.
C’est ce que font toujours les juifs après avoir empoisonné un puits.
Avant que la France ne tombe totalement aux mains des juifs comme c’est le cas aujourd’hui, la population était parfaitement informée des menées mortelles de cette race maudite. Les Français se voyaient constamment rappeler la liste interminable des crimes commis par les juifs contre leurs ancêtres.
Il est une méthode criminelle que les révolutionnaires juifs ont fréquemment utilisé à travers les siècles : l’empoisonnement de masse.
Dans son ouvrage fondamental « La France juive », le grand Edouard Drumont, un des plus farouches combattants des libertés françaises face à l’hydre hébraïque, rappelle l’usage par la cinquième colonne juive de l’arme bactériologique contre les goyim pour le compte de puissances étrangères.
Prenez le temps de lire le passage qui suit, vous ne serez pas déçu et surtout, vous serez informé sur ce qui se trame actuellement. Cela se déroule au XIVe siècle, en France.
Il n’est point douteux davantage que les Juifs, d’accord avec le roi de Grenade et le sultan de Tunis, n’aient organisé une conspiration de lépreux pour empoisonner les fontaine et de cette façon jeter partout l’affolement, créer un de ces états de crise, une de ces périodes d’inquiétude vague et de trouble qui ont rendu possible l’immense bouleversement de 93 qui a été si profitable à Israël
De ces faits les preuves abondent. Je sais bien, encore une fois, qu’on est convenu aujourd’hui de déclarer apocryphes tous les documents qui ne sont pas favorables aux Juifs, mais l’homme qui me lit n’est pas tenu d’obéir à ce mot d’ordre, il lui est permis de se servir de sa raison, de juger les événements d’autrefois à la lumière des événements contemporains.
L’existence même d’un soulèvement général de lépreux est attesté par tous les auteurs du temps, par le continuateur de Guillaume de Nangis notamment. « Nous-mêmes,dit-il, dans un bourg de notre vasselage, nous avons de nos yeux vu un de ces sachets. Une lépreuse qui passait, craignant d’être prise, jeta derrière elle un chiffon lié qui fut aussitôt porté en justice, et l’on y trouva une tête de couleuvre, des pattes de crapaud, et comme des cheveux de femme enduits d’une liqueur noire et puante, chose horrible à voir et à sentir. Le tout mis dans un grand feu, ne put brûler, preuve sûre que c’était un violent poison… »
Il y eut bien des discours, bien des opinions. La plus probable, c’est que le roi des Maures de Grenade, se voyant avec douleur si souvent battu, imagina de s’en venger en machinant avec les Juifs la perte des chrétiens. Mais les Juifs trop suspects eux-mêmes, s’adressèrent aux lépreux… Ceux-ci, le diable aidant, furent persuadés par les juifs. Les principaux lépreux tinrent quatre conciles, pour ainsi parler, et le diable, par les Juifs, leur fit entendre que, puisque les lépreux étaient réputés personnes si abjectes et comptés pour rien, il serait bon de faire en sorte que tous les chrétiens mourussent ou devinssent lépreux. Cela leur plut à tous, chacun, de retour, le redit aux autres… Un grand nombre, leurré par de fausses promesses de royaume, comtés et autres biens temporels, disait et croyait fermement que la chose se ferait ainsi.
Le sire de Parthenay, lisons-nous dans Michelet, écrit au roi qu’un grand lépreux, saisi dans sa terre, avoue qu’un riche juif lui a donné de l’argent et remis certaines drogues. Ces drogues se composaient de sang humain, d’urine, à quoi on ajoutait le corps du Christ [une hostie consacrée, ndlr], le tout était séché et broyé, mis en un sachet avec un poids, était jeté dans les fontaines ou dans les puits.
Quoi d’étonnant à ce que les lépreux aient été excités par les Juifs ? Ne retrouve-ton pas là les procédés habituels, la manière, le système constant du Sémite ? Pour les Juifs, les lépreux, les malheureux prolétaires, ces parias, ces lépreux de la civilisation moderne, les moujiks de Russie sont des instruments tout trouvés qu’ils montent, qu’ils agitent, qu’ils trompent, qu’ils déchaînent sur la société avec de grands discours contre les tyrans et qu’ils abandonnent aux répressions impitoyables, lorsqu’Israël a tiré d’une révolution tout le profit qu’on en pouvait tirer.
Ne faites pas attention à ce mélange singulier d’urine et de sang humain, supposez qu’il s’agisse de pétrole, de nitroglycérine ou de dynamite et vous serez en plein mouvement moderne. Que ce soit Naquet prêchant l’emploi du fulmi-coton sous l’Empire, les Juifs Goldeberg, Hartmann ou la Juive Jessa Heffmann employant la nitroglycérine en Russie, vous trouverez toujours le Sémite dans toutes ces affaires spéciales. Le tempérament aryen ne se trouve là nulle part. L’Aryen donne un coup de poignard ou tire un coup de fusil mais ne comprend rien à toute cette chimie.
Les relations des Juifs du XIV avec les étrangers ne sont guère plus discutables. Je ne vois pas très bien sur quelles raisons on a pu s’appuyer pour contester l’authenticité des lettres adressées aux israélites par le roi de Grenade et le roi de Tunis. L’authenticité ne peut faire l’ombre d’un doute.
La plus importante de ces lettres, c’est-à-dire la traduction originale en langue française certifiée par cinq notaires royaux et scellée est conservée dans le trésor des Chartes (Archives nationales, carton J, 427, n° 18).Pour nous guider dans l’appréciation de ce qui c’est passé, écrit M. Rupert dans son savant ouvrage l’Église et la Synagogue, nous avons sous les yeux un monument tiré des compilateurs des Fastes de Bohème et publié par Marquar et Freher. L’exposé des faits est joint à la lettre de leprosis du pape Jean XXI. Dans cette lettre, qui date de l’année même de 1351, le souverain Pontife reproduit un rapport qui lui est adressé par Philippe, comte d’Anjou et qui parle des divers moyens mis en œuvre par les juifs pour nuire aux chrétiens.
« Enfin le lendemain, dit Philippe, les gens de notre comté ont fait irruption chez les Juifs au sujet des boissons (impotationes) qu’ils avaient composées à l’usage des chrétiens. En se livrant à d’actives recherches dans la maison des juifs, dans une des habitations qui appartenaient au juif Bananias, en un lieu obscur de la maison, dans un petit coffre où se trouvaient ses trésors et ses secrets, on trouva une peau de mouton ou parchemin couverte d’écriture des deux côtés. Le sceau, qui était d’or et du poids de 19 florins, était retenu par un cordon de soie rouge. Sur le sceau était représentée la figure du crucifix, devant lequel un juif se montrait dans uneposture si ignominieuse et si déshonnête, que j’ai honte de la décrire.
« Nos gens n’auraient pas fait attention au contenu de la lettre, si tout à coup et par hasard ils n’avaient été frappés de la longueur et de la largeur de ce sceau. Des juifs nouvellement convertis traduisirent la lettre. Bananias lui-même et six autres juifs suffisamment instruits firent la même traduction, non point d’eux mêmes, mais contraints par la crainte et par la force. Séparés ensuite et mis à la torture, Bananias et ses compagnons persévérèrent à présenter la même traduction. Trois clercs instruits dans la science théologique et dans la langue hébraïque traduisirent enfin la lettre en latin. »
La lettre était adressée au prince des Sarrasins, maître de l’Orient et de la Palestine, siège de la nation juive, et dont le pouvoir s’étendait jusqu’à Grenade, en Espagne. On y demandait qu’un traité d’amitié fût conclu entre les Juifs et les Sarrasins [les musulmans, ndlr], et montrant l’espoir de voir les deux peuples réunis un jour dans la même religion, on priait le prince de vouloir bien restituer aux Juifs la terre de leurs ancêtres. On y lisait :
« La nation chrétienne obéit au fils d’une femme vile et pauvre de notre peuple, qui a injustement usurpé notre héritage et celui de nos pères. Lorsque nous aurons pour toujours réduit cette nation sous le joug de notre domination, vous nous remettrez en possession de notre grande cité de Jérusalem, de Jéricho et d’Ai, où repose l’arche sacrée. Et nous pourrons élever votre trône sur le royaume et la grande cité de Paris, si vous nous aidez à parvenir à ce but. En attendant, et comme vous pourrez vous en assurer par votre noble vice-roi de Grenade, nous avons travaillé à cette œuvre en jetant adroitement dans leurs boissons des substances empoisonnées, des poudres composées d’herbes amères et pernicieuses, en jetant des reptiles venimeux dans les eaux, dans les puits, dans les citernes, dans les fontaines et dais les cours d’eau, afin que les chrétiens, les uns après les autres et chacun suivant sa constitution, périssent prématurément nous les effets des vapeurs corrompues exhalées par ces poisons.
Nous sommes venus à bout de ce projet particulièrement en distribuant des sommes considérables à quelques pauvres gens de leur religion que l’on appelle des lépreux. Mais ces misérables se sont tout à coup tournés contre nous, et se voyant surpris par les autres chrétiens, ils nous ont accusés et ont dévoilé tout le fait. Néanmoins, il reste ce point glorieux pour nous, c’est que ces chrétiens avaient empoisonné leurs frères, marque certaine de leurs discordes et de leurs dissolutions.«
Cette lettre contient encore un passage significatif.
« Vous pourrez bientôt, avec l’aide de Dieu, passer la mer, vous rendre à Grenade, et étendre sur le reste des chrétiens votre magnifique épée avec une main puissante et un bras invincible. Et ensuite vous serez assis sur le trône à Paris, et dans le même temps, redevenus libres, nous posséderons la terre de nos pères que Dieu nous a promise et nous vivrons dans la concorde sous une seule loi et un seul Dieu. Il n’y aura plus jamais à partir de ce temps, ni angoisse, ni chagrins, car Salomon a dit : « Celui qui marche uni avec un seul Dieu, celui-là n’a qu’une volonté avec lui. » David ajoute : « Oh ! qu’il est bon, qu’il est doux d’habiter ensemble comme des frères ! » Notre saint prophète Osée a ainsi parlé par avance des chrétiens : « Leur cœur est divisé et à cause de cela ils périront. »
La haine du crucifix qui est le sentiment dominant du Juif est là tout entière, la politique sémitique est là également très clairement exposée. Se servir d’un prince étranger, que ce soit un Napoléon 1er contre l’Allemagne ou un Guillaume contre la France, comme d’un point d’appui, faire battre les chrétiens entre eux et amener par ces divisions le triomphe d’une race dont tous les enfants se tiennent étroitement par la main, — telle a été la doctrine constante des Juifs et c’est à elle qu’ils ont dû tous leurs succès.
C’est un tableau qui n’a pas pris une ride.
Drumont relate une vaste campagne d’empoisonnement orchestrée par les juifs dans tout le royaume de France. Comme aujourd’hui, les juifs s’étaient offerts les services de la lie de la société qu’étaient les lépreux, excitant leur haine pour le propre compte de Jéhovah. L’objectif ? Obtenir du chef des musulmans un état juif en Palestine en échange d’un affaiblissement tel de la France que les juifs pourraient en ouvrir sans difficulté les portes aux armées islamiques, jusqu’à Paris.
Cela ne vous rappelle rien ?
Que faut-il de plus pour faire tomber les écailles des yeux des plus crédules ?
C’est une offensive internationale dont l’objectif est la destruction des nations occidentales.
La première mesure à prendre est de procéder à l’arrestation de tous les juifs présents au sein de l’Etat, dans tous les ministères, dans toutes les administrations, centrales comme régionales. Cette mesure doit être étendue à tous les juifs opérant dans les médias.
Des perquisitions de masse doivent être entreprises pour découvrir les liens entre la juiverie organisée en France et son quartier général international.
Nous aurions très rapidement les détails de cette conspiration globale dont la fausse pandémie est l’élément déclencheur.
Il est hors de question de laisser la juive Buzyn s’enfuir tandis que les Français sont séquestrés chez eux, pas plus que son mari Lévy et la bande hébraïque actuellement impliquée dans cette énorme opération de désinformation. Ces blouses blanches savent beaucoup de choses et doivent être interrogées très rapidement.