L’empire d’Erdogan en pleine déconfiture

Captain Harlock
Démocratie Participative
11 août 2018

Il y a de sérieux développements en Turquie et nous allons devoir dégager une analyse de la situation.

Le Monde :

La devise turque s’est effondrée de près de 20 % vendredi. En cause : les tensions avec les Etats-Unis et les fragilités économiques du pays.

« Si vous avez des dollars, des euros ou de l’or sous votre oreiller, allez dans les banques pour les échanger contre des livres turques. C’est une lutte nationale. » Vendredi 10 août, le président turc Recep Tayyip Erdogan, qui ne cesse de dire qu’un « complot » étranger est responsable de l’effondrement de la livre turque, a une nouvelle fois appelé ses concitoyens à se rendre aux bureaux de change pour soutenir leur devise.

La dégringolade de celle-ci est vertigineuse et laisse désormais craindre une contagion aux marchés financiers. Elle a en effet plongé de près de 20 % sur la seule journée de vendredi, un dollar s’échangeant brièvement contre 6,87 livres, son plus bas historique. Depuis le début de l’année, elle a perdu 40 % de sa valeur.

L’hémorragie de la livre a accéléré ces derniers jours sous l’effet de la grave crise diplomatique avec les Etats-Unis, liée à la détention en Turquie d’un pasteur américain. Vendredi, le président américain Donald Trump a annoncé une augmentation sévère des taxes à l’importation sur l’acier et l’aluminium turcs. Celles-ci vont respectivement passer de 25 % et 10 % à 50 % et 20 %. « Nous ne perdrons pas cette guerre économique », a assuré M. Erdogan.

Cette escalade inquiète les investisseurs : ils retirent leur argent d’Istanbul et Ankara, ce qui accentue encore la chute de la livre, déjà fragilisée par les faiblesses de l’économie.

La Turquie est minée par d’importants problèmes structurels. Ses banques sont en mauvaise santé. L’inflation galopante (16 % en juillet en rythme annuel) rogne le pouvoir d’achat des ménages. Ces dernières années, l’endettement des entreprises turques a explosé : elles ont beaucoup emprunté en dollar, ce qui les rend vulnérables aux variations de taux de change. « Le pays affiche un important déficit courant : il dépend des financements étrangers, notamment en dollar », ajoute Christopher Dembik, économiste chez Saxo Banque.

Le financement de ce déficit est devenu plus compliqué et cher depuis que la Réserve fédérale américaine, face à la bonne santé économique des Etats-Unis, a commencé le relèvement de son taux directeur. Celui-ci tire le billet vert à la hausse face aux autres devises et renchérit le coût des emprunts pour les entreprises turques endettées en dollar. « Là encore, cela pousse les investisseurs doutant de la solidité de la Turquie – comme des autres pays émergents fragilisés – à quitter le pays pour aller placer leur argent aux Etats-Unis, où la hausse des taux offre de meilleurs rendements », explique Philippe Waechter, chef économiste d’Ostrum Asset management.

Vous voyez, c’est ce qui se passe quand vous commencez à danser avec les juifs.

Car oui Erdogan n’a jamais lutté contre les juifs, bien au contraire.

L’Iran résiste aux assauts des juifs et pour le savoir, il suffit de rappeler que ce pays n’a aucune relation diplomatique avec l’organisation criminelle juive internationale établie en Palestine. La Turquie, de son côté, reconnaît cette colonie juive.

Dites-moi : pourquoi cet Erdogan, qui se lamente si souvent sur Jérusalem occupée par les juifs, reconnaît-il par ailleurs l’état juif qui supervise cette occupation ?

Erdogan n’a jamais cessé de développer ses liens économiques avec les juifs de Tel Aviv. Et surtout, Erdogan a accepté de mobiliser tous les cafards djihadistes pour le compte des juifs en Syrie et en Libye depuis 2011, acceptant de faire là une politique intégralement juive.

Son idée de restauration du califat ottoman supposait de le faire sous la bannière des USA et des juifs. Ses sorties publiques contre Israël sont d’abord destinées à la foule de ses militants.

A présent que Bachar al-Assad a gagné en Syrie, Erdogan se retrouve avec un chaos indescriptible à ses frontières qu’aucun succès ne vient compenser.

Il a réveillé la vermine kurde.

Il rampe devant la Russie après l’avoir menacée et attaquée.

En se rapprochant de Poutine, il est devenu suspect aux yeux des Américains et des juifs qui veulent désormais s’en débarrasser.

Et puis il a ses centaines de milliers d’égorgeurs d’allah sur les bras auxquels il n’a aucun os à ronger à donner.

Il ne veut bien sûr rien assumer des choix désastreux qui ont été les siens.

Après s’en être servi, les juifs veulent désormais abattre Erdogan

Erdogan et la Turquie actuelle sont donc désormais un obstacle pour les juifs en raison du fait que, pour sauver le régime, Erdogan pourrait définitivement changer de camp et s’allier à la Russie et à la Chine.

La Chine a annoncé qu’elle allait envoyer des soldats, pour la première, hors de ses frontières pour aider Bachar al-Assad à liquider la poche djihadiste d’Idlib. Pour Erdogan, cela veut dire que l’armée chinoise sera à quelques kilomètres de ses frontières.

Il a donc laissé entendre très récemment qu’il pourrait basculer dans le camp russo-chinois.

Sputnik :

«Alors que le mal se répand en cachette dans le monde entier, les actions unilatérales des États-Unis, notre allié depuis des dizaines d’années, visant la Turquie ne feront que miner les intérêts et la sécurité de cet État. Tant qu’il n’est pas trop tard, Washington doit abandonner sa conception erronée de nos relations asymétriques et accepter que la Turquie possède des alternatives. La poursuite de cette tendance aux relations unilatérales et irrespectueuses pourrait nous obliger à rechercher de nouveaux amis et alliés», a mis en garde le chef de l’État turc.

Les juifs n’entendent certainement pas laisser la Turquie leur échapper.

Erdogan nous est utile

Erdogan est probablement la meilleure chose qui nous soit arrivée : sans lui, l’intégration de quelques 80 millions de turcs au sein de l’Union Européenne serait extrêmement avancée, voire actée.

Pendant longtemps Bruxelles a vendu aux masses européennes cette idée absurde d’une intégration turque au sein de l’UE. Aujourd’hui, Erdogan est le principal obstacle à ce projet. Si les juifs veulent l’abattre, ce n’est que pour mieux ouvrir les vannes de l’immigration musulmane en Europe en s’appuyant sur une Turquie judéo-démocratique.

On peut même dire que les juifs nourrissent probablement le projet de plonger la Turquie dans la guerre civile, sur le modèle libyen. D’une part pour effacer un état potentiellement ennemi et d’autre part pour faire déferler des millions de musulmans sur l’Europe, qu’il s’agisse de turcs ou des millions de mahométans qui s’engouffreraient dans la brèche pour rejoindre les Balkans. Bref, un gouvernement turc sous domination juive ressemblerait au gouvernement espagnol actuel.

Avec Poutine pour surveiller et contrôler ce cafard, Erdogan nous est utile. Du moins, dans le contexte actueL