Captain Harlock
Démocratie Participative
01 novembre 2018
ENFIN !
Un président blanc d’un état créé par des Blancs a décidé de se lever pour stopper, par l’usage de la force blanche, les ennemis de la race blanche.
C’est homme, c’est Donald J. Trump.
La Croix :
Le président américain Donald Trump a annoncé, mercredi 31 octobre, l’envoi de 15 000 soldats à la frontière avec le Mexique pour bloquer l’entrée sur le territoire de migrants centraméricains. Ce durcissement sur l’immigration intervient à moins d’une semaine des élections législatives de mi-mandat.
« En ce qui concerne la caravane, notre armée est déployée à la frontière avec le Mexique. Nous avons environ 5 000 soldats et nous irons jusqu’à 10 000 ou 15 000 », a déclaré Donald Trump depuis la Floride, mercredi 31 octobre. Le président américain multiplie les déclarations et les tweets sur le thème de l’immigration, à l’approche des élections législatives du 6 novembre.
15,000 tueurs entraînés à abattre un maximum de vieillards, de femmes et d’enfants à la seconde où ils violeront le sol de la patrie.
Tout le matériel et la puissance de l’armée US ENFIN utilisés par et pour les Américains et non pas pour une guerre juive quelque part dans le monde.
Une vague d’acier et de flammes contre la boue du tiers-monde.
J’appelle ça un président.
« Il y a beaucoup de types redoutables dans ces caravanes, ce ne sont pas des anges », a-t-il lancé mercredi 31 octobre depuis Fort Myers, évoquant les migrants originaires de pays pauvres d’Amérique centrale qui se dirigent vers le nord en quête d’une vie meilleure ou pour échapper à la violence.
Non, pour trouver la mort.
J’espère que ces animaux vont oser franchir par la force cette frontière.
Et j’ai tout aussi hâte de voir tous ces juifs qui ont applaudi à l’éradication de centaines d’arabes à la frontière avec Gaza hurler à la mort contre un gouvernement blanc qui fait de même après avoir toléré pendant un demi-siècle l’invasion.
Alors qu’une première caravane de 7 000 migrants dont la plupart partaient le 13 octobre du Honduras pour se diriger vers la frontière américaine, une deuxième notamment constituée de Salvadoriens, est entrée lundi 29 octobre au Mexique pour progresser aussi vers les États-Unis.
À ce jour, le Pentagone a autorisé le déploiement de quelque 5 200 soldats à la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Dans cette ligne, une opération baptisée « Patriote fidèle » doit permettre de renforcer les postes-frontières du Texas à la Californie, et apporter un soutien logistique aux agents du service des douanes et de la protection des frontières (CBP) sur d’autres zones moins bien protégées.
L’armée pour stopper des métèques sous la bannière « patriote fidèle ».
Putain, les communistes et les juifs doivent exploser.
Selon les autorités américaines, les soldats déployés sur la frontière mexicaine seront armés, mais ils ne sont pas supposés entrer directement en contact avec les migrants. Leur rôle sera d’apporter un soutien logistique aux garde-frontières.
Ils n’étaient pas censés entrer au Cambodge non plus.
Le général Terrence O’Shaughnessy, chef du commandement nord (Northcom) de l’armée américaine, a indiqué que les soldats seraient là pour « renforcer » les postes-frontières et les zones avoisinantes, avec notamment la construction de barrières provisoires.
Des rouleaux de fils de fer barbelé ont déjà été déployés sur 35 kilomètres à la frontière, et le Pentagone peut en déployer d’autres sur 240 autres kilomètres, a précisé Terrence O’Shaughnessy. De plus, le Pentagone a envoyé dans cette région des membres de la police militaire et trois compagnies d’hélicoptères équipées de capteurs high-tech et de capacités de vision nocturne.
Du barbelé.
Des centaines de kilomètres de barbelés.
Des compagnies d’hélicoptères.
Pour écraser cette vermine.
Il est temps que l’Armée US fasse enfin couler le sang pour une cause juste : la défense des frontières des Etats-Unis.
Ce précédent doit figurer dans notre arsenal programmatique : l’armée aux frontières pour stopper l’invasion.
Si Trump le fait, nous pouvons le faire.