L’Empereur Salvinius lance le nettoyage ethnique des villages rouges où se planquent les nègres clandestins

Captain Harlock
Démocratie Participative
15 octobre 2018

Salvini a décidé de lancer le nettoyage ethnique d’un village communiste qui s’était transformé en colonie africaine.

20 Minutes :

La colère montait dimanche en Italie après que le ministère de l’Intérieur, dirigé par le leader d’extrême droite Matteo Salvini, eut ordonné le transfert dans des centres d’hébergement de migrants qui avaient été accueillis dans un village de Calabre, présenté comme un modèle d’intégration. «Honte. Ce n’est pas l’Italie», a notamment déclaré sur Twitter l’ancien Premier ministre Enrico Letta.

La colère monte, effectivement.

Contre les nègres.

La Ligue est le premier parti du pays depuis que Salvini s’est lancé dans la persécution des envahisseurs.

Mais pour une raison curieuse, la presse juive prétend que le peuple italien est en colère parce qu’on veut le libérer des nègres.

Samedi, après l’arrestation début octobre du maire du village de Riace, Domenico Lucano, sous l’accusation d’avoir commis des irrégularités au profit des demandeurs d’asile, le ministère de l’Intérieur a ordonné le transfert vers des centres d’hébergement des migrants qui se sont installés dans le village.

Le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini (extrême droite) et son parti la Ligue ont fait de Riace un exemple de leur «guerre contre le business de l’immigration» alors que ce village est présenté par les partisans du maire comme une expérience phare d’intégration de nouveaux venus dans une commune moribonde.

Connaissez-vous les partisans du maire communiste ?

Des nègres.

Et des communistes.

«Stop Salvini. Ne fermez pas les yeux», a lancé pour sa part l’Association nationale des partisans d’Italie (ANPI) dans un appel au Mouvement 5 étoiles (M5S), parti antisystème membre de la coalition au pouvoir aux côtés de la Ligue. L’ANPI a estimé que le gouvernement devrait plutôt partir en guerre contre le crime organisé en Calabre, bastion de la mafia.

Ah, en effet.

Si cette organisation des terroristes rouges formée en 1945 demande de regarder ailleurs, il faut regarder ailleurs.

Bien sûr, oui.

L’initiative du maire Domenico Lucano, dont le programme d’accueil des migrants a été accompagné de la restauration de maisons abandonnées et de la réouverture d’ateliers d’artisans, a été présentée comme un modèle pouvant être reproduit pour faire revivre d’autres communes moribondes.

Un modèle pour repeupler l’Italie de nègres et de musulmans.

C’est justement tout le problème.

Le problème que veut résoudre Salvini.

M. Lucano a été placé en résidence surveillée notamment sous l’accusation d’avoir organisé des «mariages de convenance» au profit de demandeurs d’asile. Ses avocats s’apprêtent à faire appel contre le ministère. «Les priorités de Salvini en Calabre sont d’envoyer ailleurs les familles et les enfants et de démanteler un modèle d’intégration qui a fonctionné et qui est reconnu partout dans le monde», a déclaré l’ancienne présidente du parlement Laura Boldrini.

«Si Lucano est (considéré comme) le danger en Calabre, ça veut dire que la mafia est en train de gagner», a averti de son côté l’ancien maire de Naples, Luigi de Magistris, qui a été pendant neuf ans procureur en Calabre. «Si le gouvernement décide de déporter les victimes fragiles et persécutées de régimes d’oppresseurs dans le monde, Riace doit devenir un bastion de la résistance», a-t-il ajouté.

Le vice de ces rouges. Quel putain de rapport avec la mafia ?

Le seul rapport possible, c’est précisément les réseaux de passeurs chapeautés par ces mafieux.

D’ailleurs s’il fallait choisir entre les nègres et la mafia, mieux vaut effectivement choisir la Mafia.