LÉGENDE : le héros Jean-Régis Julien injustement condamné à perpétuité pour avoir explosé de trois balles la cervelle de la garce qui voulait le priver de son fils

Captain Harlock
Démocratie Participative
09 octobre 2020

De la même façon que l’homme doit restaurer son autorité politique sur son état, il doit restaurer son autorité politique sur la femme

Les hommes savent à quel point il est dur d’être un homme au XXIe siècle.

Mais Jean-Régis Julien n’a eu que faire des épreuves et des difficultés, il a voulu devenir un héros de la cause masculine en envoyant un avertissement aux succubes émancipées qui veulent ruiner leurs vies.

Ouest-France :

Jean-Régis Julien a été condamné jeudi 8 octobre 2020 à la réclusion criminelle à perpétuité assortie de 22 ans de sûreté par la cour d’assises du Gard pour avoir assassiné Carine, son ex-compagne de trois balles dans la tête devant leur fils.

La cour d’assises a également ordonné le retrait total de l’autorité parentale de l’ex-policier âgé de 39 ans sur son fils Mathis, aujourd’hui âgé de 7 ans et élevé par sa tante maternelle.

La cour a infligé la peine maximale, en allant au-delà des réquisitions de l’avocat général Hervé Poinot qui avait demandé 30 ans de réclusion criminelle, assortis de 20 ans de sûreté et le retrait total des droits parentaux.

« Ce que vous avez à juger c’est un féminicide, ce n’est pas un terme juridique tiré du Code pénal, ça ne me dérange absolument pas », a lancé M. Poinot aux assises du Gard.

À plusieurs reprises, il cite ce terme à propos de la mort de Carine, éducatrice spécialisée abattue sans un mot à l’âge de 24 ans dans sa voiture sur la rocade d’Alès (Gard) le 27 février 2016.

Dénonçant un « crime de propriété » et une « exécution », l’avocat général a demandé une mesure de sûreté des deux tiers, afin de « garantir la protection » de la société et plus particulièrement de futures femmes qui pourraient croiser la route de M. Julien, policier radié et ex-pompier volontaire qui multipliait les liaisons.

C’est exact, Jean-Régis a rappelé la seule et unique loi : la femme appartient à l’homme.

En 2019, 146 femmes ont été tuées par leur conjoint ou ex-compagnon, soit 25 de plus que l’année précédente, selon les derniers chiffres officiels. Selon un décompte de l’AFP, 58 femmes ont été tuées dans les mêmes circonstances en 2020.

« La défense refuse que le procès de M. Julien soit le procès du féminicide. Ce ne doit pas être le procès du meurtre des femmes, mais du meurtre d’une femme », a pour sa part plaidé en défense Me Clémence Cottineau.

L’avocate a par ailleurs assuré pour expliquer les regrets tardifs et maladroits de son client et ses demandes de remises en liberté qu’il était « en décalage complet avec la réalité ».

« Il se croit propriétaire à vie de sa femme. Il la massacre quand elle tente de lui échapper », a pour sa part martelé l’avocat général à propos de Jean-Régis Julien.

J’ajouterai qu’il a réussi à marquer définitivement son titre de propriété.

Cette garce n’a pas pu se recycler sur le marché de l’occasion.

M. Poinot a estimé que ces faits avaient été « prémédités » après la plainte de Carine, une semaine avant d’être tuée, pour des appels malveillants et des intrusions nocturnes à son domicile et après la révélation qu’elle avait un nouveau compagnon.

L’accusé a continué jeudi lors de son interrogatoire à contester toute préméditation.

« Je pense qu’il a vu son fils » à l’arrière du véhicule, a ajouté M. Poinot, contrairement aux assertions de l’accusé. « Ça ne l’arrête pas parce que sa volonté est actée ».

L’avocat général relève « des failles béantes » chez l’accusé « qui ne sont ni pour lui ni pour personne un permis de tuer ». « Il harcèle et violente toutes celles qui l’ont quitté », s’indigne-t-il.

« Je regrette sincèrement au nom de l’institution que tout n’ait pas pu être fait à temps », a-t-il déclaré, notamment à propos d’une plainte pour violences d’une ex-compagne de l’accusé classée sans suite en 2005, après un harcèlement similaire à celui que Carine a connu avant d’être tuée.

Hervé Poinot a qualifié l’accusé de « père dangereux » en réclamant le retrait total de ses droits parentaux.

« Quelque part Jean-Régis Julien a aussi tué Mathis », a-t-il souligné, rappelant que le petit garçon avait « assisté au meurtre de sa mère dans le bruit et la fureur… et reçu des éclats de sang et de cervelles de sa mère ».

C’est triste, bien sûr.

La guerre est triste en général. Mais tout le monde comprend que la guerre vient avec son lot de malheurs. Elle est parfois inévitable quand l’injustice atteint son comble.

Les féministes ont voulu cette guerre, ce sang est sur leurs mains.

« Il vivra le reste de son existence avec ce fardeau », a-t-il conclu, estimant que l’accusé ne devait pas être en position un jour de lui réclamer une prise en charge financière.

« Ses émotions sont feintes. Son narcissisme l’aveugle. Il n’a aucun remords », a lancé à l’accusé Me Anaïs Farget, défendant Mathis et sa tante Christelle, qui l’élève. Tous deux ont « peur… de ce que cet homme serait capable de faire s’il sortait », a-t-elle assuré dans sa plaidoirie.

Mathis « refuse l’héritage de mort que lui a laissé son père », a ajouté la pénaliste. « Il ne veut devenir ni policier ni pompier mais astronaute pour rejoindre » sa mère, « cette étoile qui brille dans le ciel ».

Cette traînée ne brille nulle part, elle est à six pieds sous terre pour avoir cherché à ruiner la vie d’un homme qui, dans la police et les sapeurs pompiers, voulait dédier sa vie à servir les autres. Il attendait simplement qu’une femme lui dédie sa vie en échange pour l’aider dans sa mission. C’est ce que les femmes ont toujours fait pendant des millénaires pendant que les hommes bâtissaient des états et des civilisations.

Depuis des années ce policier cherchait une compagne avec qui avoir des enfants et faire ce que ses ancêtres ont fait avant lui mais au lieu de cela il tombait sur une traînée manipulatrice après l’autre. L’homme était progressivement détruit de l’intérieur par les trésors de vice que déployaient ces garces.

Finalement, il a rencontré cette créature démoniaque qui a su le piéger. Après avoir paru être une femme responsable et sembler vouloir fonder un foyer, elle a arraché son masque pour révéler son visage de gorgone et lui arracher ce qu’il a de plus précieux : son fils.

Cette créature du Diable pensait le torturer toute sa vie durant en le privant de son fils, se sachant protégée par un inique système judiciaire tenue par des magistrates aussi sadiques et destructrices qu’elle.

Mais le héros, pratiquement détruit par des années d’humiliation, a trouvé en lui la force nécessaire pour se révolter et brutalement rétablir la justice en éclatant la cervelle de celle qui avait noué un pacte avec les forces des ténèbres pour perdre un homme innocent. De trois balles, pour laisser un message devant l’histoire.

Si 10% des hommes blancs agissaient ainsi, les femmes blanches se comporteraient à nouveau dignement et les divorces n’existeraient pour ainsi dire plus. C’était d’ailleurs la loi romaine que de donner au Pater Familias le pouvoir de vie et de mort sur sa femme. Les familles seraient solides, comme il y a 50 ans avant que les femmes ne vouent leurs âmes au féminisme juif. C’est pourquoi Jean-Régis est diabolisé par ces magistrates et cette presse infernale. Parce qu’il est du côté de la justice, la véritable justice.

Jean-Régis Julien est la Jacqueline Sauvage de la cause masculine, à ce détail près qu’il est du côté des forces du bien.

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