La rédaction
Démocratie Participative
12 septembre 2023
Agresser sexuellement des enfants de 3 ans lorsque l’on est un homosexuel déguisé en femme est un droit de l’homme.
La démocratie ne transigera pas avec ses valeurs.
CNews :
Six mois de prison ferme ont été requis ce lundi contre l’organisateur d’une manifestation d’extrême droite venue perturber une lecture pour des enfants animée par des drag queens, en mai dernier en Bretagne.
En mai dernier, un atelier de lecture pour enfants de 3 à 6 ans, animé par trois drag queens, avait été perturbé par des militants d’extrême droite. Une vingtaine d’individus cagoulés s’était postés, fumigènes à la main, devant la médiathèque de Saint-Senoux, en Ille-et-Vilaine, où était organisé l’atelier. L’animation avait finalement pu se tenir malgré les perturbations des manifestants.
N’appelez pas ça du harcèlement sexuel sur des enfants.
Appelez ça un atelier d’animation.
L’organisateur de cette manifestation illégale avait été identifié au cours de l’enquête de la gendarmerie comme étant le fondateur de L’Oriflamme Rennes, un groupuscule d’héritiers de l’Action française.
C’est exact.
La république se défend contre l’hétérosexualité fasciste.
Le ministère de l’Intérieur dispose d’une unité spécialement créée pour défendre les homosexuels qui veulent toucher les enfants : FLAG.
Comme « flagrant délit ».
Ne touchez pas aux pédophiles, si la république vous surprend vous rendrez des comptes.
📍Montoir de Bretagne
Les élus et la police municipale ont été réunis à la brigade de gendarmerie par notre bénévole également référente égalité diversité. Au programme les violences LGBTphobes et présentation des dispositifs existants pour libérer la parole des victimes. pic.twitter.com/OM4JGkLzQT— FLAG! (@flagasso) June 27, 2023
📍Bourgogne-Franche-Comté
FLAG! intervenait aujourd’hui devant les élèves sous-officiers à l’école de gendarmerie de Dijon. Au delà du vocabulaire sur la thématique LGBT+, les pratiques métiers (audition, fouille, encellullement) ont également été abordées. pic.twitter.com/RvxvCXqDjj— FLAG! (@flagasso) June 26, 2023
Ce 17 mai, la Région de Gendarmerie Nouvelle-Aquitaine organisait une conférence police-gendarmerie-justice sur la thématique LGBT+.
L’occasion également pour FLAG! de présenter ses actions du quotidien ainsi que les dispositifs #SignalementFLAG! et #EnLieuSûr. pic.twitter.com/F5HZp4IC8K— FLAG! (@flagasso) May 17, 2023
La police aussi est mobilisée.
📍Saint-Cyr-au-Mont-d’Or
FLAG! était ce matin devant la promotion des commissaires de police. Ces futurs chefs sont maintenant mieux outillés sur l’accompagnement de nos collègues en transition de genre et plus globalement pour prendre en compte sur le terrain la thématique LGBT+ pic.twitter.com/WDdNWkpieT— FLAG! (@flagasso) July 20, 2023
Autant dire que les forces de police et de gendarmerie sont mobilisées à 100% contre les extrémistes qui veulent empêcher les homosexuels déguisés en femmes de toucher les enfants.
Ce lundi 11 septembre, devant le tribunal de Rennes, six mois de prison ferme ont été requis à l’encontre du militant âgé de 24 ans.
Selon le parquet de Rennes, l’homme, «connu de l’institution judiciaire», avait proféré des «slogans haineux» à l’encontre de la communauté LGBT+ et des tracts, distribués «sur place en plusieurs exemplaires» contenaient «d’autres termes de la même teneur». «Ces mêmes tracts comportaient également des termes injurieux visant la mairie de Saint-Senoux, accusée notamment de faire des enfants « une chair malléable pour ses délires décadents »», a ajouté le procureur Philippe Astruc.
Alors qu’il avait nié jusque-là, l’ex-étudiant en sciences politiques a finalement reconnu être le porteur du mégaphone ce jour-là.
Pour rappel, il est poursuivi pour «organisation d’une manifestation publique sans autorisation», «dissimulation volontaire du visage lors d’une manifestation accompagnée de troubles ou risques de troubles à l’ordre public», «provocation publique à la haine ou à la violence en raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre» et «injure publique envers dépositaire de l’autorité publique». Il risque jusqu’à un an de prison et 45.000 euros d’amende.
C’est scandaleux.
Le procureur juif Astruc a raison de s’indigner.
Les enfants des goyim appartiennent à Moloch, que ça plaise ou non à leurs parents.
Un châtiment exemplaire doit être prononcé par le Sanhédrin contre les ennemis du progrès pédo-LGBT.