Captain Harlock
Démocratie Participative
26 juillet 2018
Le sale crouille assoiffé de sang Redouane Faïd, lié comme on l’a déjà dit à la pègre juive, a été localisé en banlieue parisienne.
Qu’il soit aux abois ou poussé par un sentiment d’invulnérabilité, l’évadé doit financer sa cavale et n’hésitera pas à prendre tous les risques, selon une source policière.
Redoine Faïd est-il un fuyard aux abois ou un fugitif trop sûr de lui ? Le déplacement en plein jour de l’homme le plus recherché de France, non grimé, dans une voiture volée chargée de pains d’explosifs, et accompagné possiblement d’un de ses frères interroge. Certes, le caïd de Creil (Oise) avide de sensations fortes s’est souvent mis en danger durant sa carrière de voyou. Mais les enquêteurs de la Direction centrale de la police judiciaire pensaient que le voyou se tiendrait un peu plus longtemps au vert avant d’essayer de passer à l’action.
Une certitude : l’hypothèse privilégiée par les enquêteurs depuis l’évasion du braqueur, il y a trois semaines, se vérifie. Redoine Faïd n’a pas quitté le territoire, ni même la région, et cherche sans aucun doute à commettre un braquage pour financer une cavale plus lointaine, et peut-être même payer ses complices de l’évasion.
Déjà, en 2013, après sa première évasion de la maison centrale de Lille-Sequedin, le fugitif était resté dans sa « zone de travail » qui s’étend de Paris à Bruxelles. Originaire de Creil, il avait été interpellé dans un hôtel pour représentants commerciaux en Seine-et-Marne alors qu’il préparait un « coup », selon un enquêteur de l’époque.
Le sac du commando retrouvé par un chasseur dans une forêt de l’Oise dimanche 8 juillet avait apporté de précieux indices aux policiers. Les hommes qui avaient été surpris en cherchant à enterrer les armes et l’équipement ayant servi à l’évasion avaient aussi abandonné sur place du matériel susceptible de servir à un braquage.
L’hypothèse privilégiée par les enquêteurs, c’est que Faïd n’a plus rien perdre. « Il a besoin d’argent, et de façon urgente. Il est donc prêt à tous les risques », commente une source proche du dossier. Autre explication possible, le caractère « mégalo » de l’individu. « Après son évasion spectaculaire, il est dans la tout puissance, et se pense invulnérable », estime une source policière. Une expertise psychiatrique réalisée dans le cadre de l’instruction du braquage raté ayant coûté la vie en 2010 à la policière municipale Aurélie Fouquet, – le voyou a été condamné à 25 ans de prison – notait chez Redoine Faïd « une certaine surestimation de soi » « Monsieur Faïd apparaît sûr de lui, se montre parfois discrètement présomptueux […]
Le braqueur est considéré comme un « homme dangereux » par la police, même s’il s’est toujours défendu d’avoir du sang sur les mains. « Je n’ai jamais tiré sur quelqu’un, je n’ai pas l’âme d’un assassin, jamais je ne le ferai… »
Et Dieu sait que l’on peut croire sur parole un arabe.
Ce rat, équipé d’explosifs et très probablement d’armes de guerre, s’apprête à commettre un braquage quelque part en Ile-de-France. Ce qui ne peut que dans le sang pour d’innocentes victimes françaises.
Hélas, les flics n’ont pas l’air déterminé à abattre ce chien mais bien à continuer l’éternel petit jeu qui consiste à le mettre à l’ombre jusqu’à ce qu’il recommence, encore et encore. La Gueuse étant soucieuse de protéger la canaille métèque.
Tout pourrait être réglé si facilement.