Captain Harlock
Démocratie Participative
15 août 2019
Le financier juif new-yorkais est toujours le coupable
L’économie mondiale est en plein crash.
L’Allemagne est au bord de la récession.
Le Monde :
Alors que l’Allemagne craint une récession, l’heure est à la contraction. L’économie allemande s’est de nouveau légèrement contractée au deuxième trimestre, avec un recul de 0,1 % du produit intérieur brut (PIB) par rapport aux trois mois précédents, freinée par le commerce extérieur, a annoncé mercredi l’Office fédéral des statistiques Destatis.
Ce chiffre marque un coup de froid après le rebond de 0,4 % du PIB allemand au premier trimestre, alors que l’Allemagne avait échappé d’un cheveu à la récession pendant la seconde moitié de 2018. L’agrégat, corrigé des variations saisonnières, est conforme aux attentes des analystes interrogés par la société de gestion de données financières Factset.
Le chiffre du PIB allemand « marque définitivement la fin d’une décennie en or pour l’économie allemande », commente Carsten Brzeski, économiste chez ING Bank, qui rappelle que depuis la fin de la récession de 2008-2009 l’économie allemande a progressé en moyenne de 0,5 % en glissement trimestriel.
« Inévitablement, la discussion sur les mesures de relance budgétaire va se raviver », ajoute-t-il, bien que la chancelière allemande Angela Merkel ait d’emblée écarté mardi l’idée d’un plan de relance qui passerait par un endettement.
La fin de Merkel va être réellement atroce.
Je ne crois pas que l’Allemagne, avec sa montagne de Boomers antifas et ses millions d’ingénieurs analphabètes d’Afghanistan, soit en mesure de s’endetter davantage.
Ni la France d’ailleurs.
Vu les taux zéro actuels de la BCE, je ne vois pas ce que Lagarde peut faire. Probablement interdire l’argent liquide, imposer des taux ultra-négatifs et racheter un maximum de dettes. Ce qui ne servira à rien.
Donc l’Allemagne entre en récession, entraînant toute l’UE dans la récession à son tour. Y compris des pays aussi solvables que la Grèce, l’Italie, l’Espagne ou le Portugal.
Sauf que cette fois, nous avons Salvini prêt à conquérir l’Italie.
Nous avons tout simplement besoin de détruire pour reconstruire.
Le pire, ce sont les taux d’intérêts américains qui vont ravager les marchés mondiaux de la dette souveraine. Tous les états qui ont emprunté depuis 2008 en dollars vont voir le service de leur dette s’envoler en quelques mois.
Au cœur des préoccupations des marchés en décembre dernier, l’inversion de la courbe des taux sur les bons du Trésor américains à deux et dix ans a fini par devenir effective en début d’après-midi, mercredi, pour la première fois depuis 2007. Régulièrement annonciateur d’une récession économique, cet indicateur inquiète particulièrement Wall Street, qui a ouvert en net repli.
Le taux d’intérêt sur les bons du Trésor américains à dix ans est passé temporairement mercredi sous celui des bons à deux ans, un phénomène connu sous le nom d' »inversion de la courbe des taux ». Ce mouvement, qui reflète la différence de rendement accordé par l’État américain aux investisseurs misant sur sa dette à court ou à long terme, est particulièrement redouté des marchés financiers car il est généralement l’indicateur avancé d’une récession.
L’inversion s’est produite vers 13h40, quand le taux à 10 ans est tombé juste en-deçà de celui du taux à 2 ans, autour de 1,62%. Il s’agit de la première fois, depuis 2007, que la courbe des taux s’inverse outre-Atlantique. Dans le même temps, le taux de l’emprunt à 30 ans est lui tombé à son plus bas niveau historique, à 2,0139%. La nouvelle a immédiatement fait chuter les indicateurs de tendance de l’ouverture à Wall Street, qui pointait alors vers un début de séance en baisse de plus de 300 points pour le Dow Jones, tandis que la Bourse de Paris s’est aussi enfoncée dans le rouge, perdant brièvement plus de 2%.
Alors que les Etats-Unis ont encore des taux positifs, la zone euro est dans « une situation inédite », avec des rendements obligataires négatifs qui flanchent de jour en jour et vont de record en record. Le taux d’emprunt allemand à 10 ans, le Bund, qui fait référence sur le marché de la dette en zone euro, a touché un nouveau point bas historique mercredi descendant à -0,654%. Celui de la France a suivi le même schéma, atteignant -0,373%.
Ce qui se passe, c’est que le capital international privé fuit l’Europe et l’Asie et se réfugie en Amérique. Le dollar va donc se renchérir – ce qui va ruiner la politique d’exportation de Trump et briser le dollar comme monnaie de réserve mondiale – et la bourse américaine devrait s’envoler plus tard.
Avec cette fuite de capitaux et la hausse des taux américains, les états vont se retrouver en situation virtuelle de banqueroute.
Tout comme les Boomers avec leurs retraites à la con.
Surtout les Boomers.
Si vous avez du capital en euros, vous pouvez le placer en dollars. D’une manière générale, le capital va quitter le marché des bonds souverains au profit des actifs privés.
Cette crise sera l’occasion pour les victimes des manipulations de la finance juive internationale de sortir de leur torpeur.